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Les informations proposĂ©es sont donc peut-ĂȘtre expirĂ©es, les commandes ne sont peut-ĂȘtre plus idĂ©e dingue sortie de mon cerveau encore embrumĂ© au rĂ©veil vous expliquer comment fonctionne l’auto-censure grĂące Ă  la surveillance de masse qu’est en train de mettre en place notre gouvernement avec le projet de loi Renseignement actuellement dĂ©battu » Ă  l’AssemblĂ©e Nationale. Et tout ça en parlant d’une activitĂ© bien inoffensive chanter sous la douche. L’exemple vous paraĂźtra absurde, mais lisez jusqu’au bout, parce qu’aprĂšs, on verra oĂč en est la rĂ©alitĂ©, et ça fait peur. Vous adorez chanter sous la douche. Mal trĂšs probablement, d’ailleurs votre conjointe n’a jamais pensĂ© Ă  vous inscrire Ă  The Voice. Mais tant pis, Total Eclipse of the heart en se frottant les aisselles, c’est le pied. Pratique tout Ă  fait innocente, tout Ă  fait privĂ©e, Ă  part quand les murs de votre appartement sont trop fins, mais peu importe c’est chez vous, vous ĂȘtes Ă  poil sous la douche, personne n’a normalement l’idĂ©e de venir vous chercher des poux. Petit dĂ©tail vous habitez Paris sisi ça aura son importance. Et un jour, patatrac suite Ă  trois semaines de pluies diluviennes non-stop, Paris est inondĂ©e, est pas qu’un peu, au point de devoir murer des stations de mĂ©tro pour Ă©viter l’effondrement de toute la ville. Suite Ă  une enquĂȘte pourtant plus que bancale, le gouvernement dĂ©crĂšte que c’est la faute aux mauvais chanteurs sous la douche j’avais prĂ©venu que c’est absurde. Et pour ça, ils vont mettre en place des mesures secrĂštes pour repĂ©rer les chanteurs sous la douche pour les empĂȘcher de dĂ©clencher un nouveau dĂ©luge. Comme ces mesures sont secrĂštes, pas moyen de savoir si quelqu’un va effectivement chercher Ă  savoir si ou quand vous chanterez sous la douche. Et les consĂ©quences sont graves, puisque vous finirez en prison. Alors que faire ? Beaucoup de gens arrĂȘteront effectivement de chanter sous la douche, par simple crainte de se faire enfermer. Certes ça fera du bien aux oreilles des conjointes, mais le chanteur, lui, perdra un peu de sĂ©rĂ©nitĂ© Ă  chaque douche, car chanter lui faisait du bien. Vous, vous dĂ©cidez que non, c’est trop dĂ©bile comme justification, et vous cherchez des moyens de mieux insonoriser votre douche pour continuer Ă  massacrer les classiques de la pop music. ProblĂšme, parmi les moyens qu’ont mis en place les enquĂȘteurs du gouvernement, ils surveillent tous ceux qui se renseignent sur l’isolation phonique. Donc vous tombez dans leur viseur, et un jour, lorsque vous penserez que votre douche est Ă  l’abri, aux premiĂšres notes, on dĂ©fonce votre porte, vous menotte Ă  poil et vous embarque pour plusieurs annĂ©es. Du coup, vos voisins, qui peut-ĂȘtre eux aussi pensaient pouvoir trouver un moyen de continuer Ă  chanter sous la douche, arrĂȘteront de le faire. Et perdront eux aussi un moyen de se sentir bien dans un endroit aussi privĂ©, du moins le pensait-on. C’est ça, l’auto-censure parce qu’on risque Ă©normĂ©ment sans mĂȘme ĂȘtre sur d’ĂȘtre responsable de quoi que ce soit et si c’était que les chanteurs de Metal les responsables ? Ou les adorateurs de Mireille Matthieu ?, on s’interdit soi-mĂȘme quelque chose qui paraissait normal, inoffensif. On arrĂȘte de rĂ©flĂ©chir. L’exemple est peut-ĂȘtre absurde, la rĂ©alitĂ© est autrement plus triste et alarmante. J’en veux pour preuve les attentats de Janvier par les frĂšres Kouachi note ce blog va bientĂŽt ĂȘtre mis sous surveillance, grĂące Ă  ce mot-clĂ© », qui servent de justification au PJLRenseignement. Le Ministre de l’IntĂ©rieur a brandi pendant plusieurs semaines un chiffre dĂ©bile avant mĂȘme de l’analyser 90% des personnes quittant le pays pour des zones de guerres jihadistes » je sais le terme est maladroit, jihad Ă©tant dĂ©jĂ  un terme signifiant guerre se sont radicalisĂ©s » sur Internet. Sachant qu’Internet est dans pratiquement tous les foyers, que le marchĂ© français de la tĂ©lĂ©phonie mobile dispose d’un taux aberrant de plus de 100% de pĂ©nĂ©tration plus d’un abonnement par habitant, avec donc Internet directement dans la poche, comment ne pas trouver ça Ă©vident, et donc nĂ©cessairement hors de propos ? Dans ce cas, ils considĂšrent forcĂ©ment la totalitĂ© de la population comme radicalisable ». Pire, cette Ă©tude ne portait finalement que sur 160 familles. What ? 65 Millions d’habitants, et on va voter une loi sur la base d’une Ă©tude de 160 familles ? On parle pas d’un produit de beautĂ© testĂ© sur 88 femmes ou des culs de babouin4 ou les deux, on parle de l’avenir de la dĂ©mocratie. Je parlais d’étude dĂ©bile, je n’inventais rien finalement. En clair, non seulement l’échantillon est trop faible pour ĂȘtre valable, mais en plus, la corrĂ©lation est bancale du fait de l’omniprĂ©sence d’Internet sur le territoire. D’autant plus que les faits contredisent ça les auteurs de la tuerie de Charlie hebdo se sont radicalisĂ©s
 en prison. Prisons qu’on sait surpeuplĂ©es depuis des dizaines d’annĂ©es, et pour lesquelles la course aux chiffres instaurĂ©e par Sarkozy et jamais supprimĂ©e n’aide en rien. Le scĂ©nario vous parait toujours autant incongru ? Le projet de Loi compte entre autres lĂ©galiser des pratiques actuellement interdites d’aprĂšs le droit Français. Oui, notamment dans le cadre d’écoutes tĂ©lĂ©phoniques, les services de renseignement français se sont autorisĂ©s des choses qui Ă©taient interdites, et plutĂŽt que de condamner ça, on va simplement lĂ©galiser. Pire, toutes les dĂ©cisions qui sont liĂ©es Ă  ces pratiques ne passeront pas par la Justice. Car elle est presque totalement absente de ce projet de Loi. L’État, par le biais du Gouvernement, s’octroie pratiquement les pleins pouvoirs sur ces pratiques. Et vous, citoyen vivant pourtant en thĂ©orie en dĂ©mocratie, n’avez plus de pouvoir dessus. Les juges non plus. Premier exemple votre voisin s’est plaint du bruit horrible que vous faisiez lorsque vous tentiez de chanter Caruso. Donc les services savent qu’au moins une fois vous avez chantĂ© sous votre douche par le passĂ©, vous ĂȘtes donc susceptibles de recommencer. Ils s’installent donc devant chez vous, et utilisent un IMSI Catcher, une fausse » antenne relais qui dĂ©tourne le trafic de tous les tĂ©lĂ©phones mobiles dans la zone, et Ă©coutent tout. Vous, vous prenez votre smartphone pour appeler un ami qui travaille dans le bĂątiment parce que plus personne ne retient un numĂ©ro de nos jours, avec les carnets d’adresses de ces appareils, et qui peut vous conseiller sur les meilleurs matĂ©riaux pour insonoriser votre douche. Paf, une preuve de plus que vous cherchez Ă  contourner l’interdiction de chanter. Au choix, soit le gouvernement dĂ©cide de vous arrĂȘter tout de suite, soit ils attendent de vous cueillir avec le matĂ©riel dans le coffre Ă  la sortie du Brico DĂ©pĂŽt du coin. À ce stade, Ă  part acheter du matĂ©riel de bricolage, vous n’avez toujours rien fait d’illĂ©gal, juste vous avez PENSÉ Ă  le faire. DeuxiĂšme exemple votre voisin ne s’est pas plaint, par contre, vous avez utilisĂ© Internet pour vous renseigner sur les forums d’échange entre bricoleurs et les fiches pratiques de Castorama sur la meilleure façon d’insonoriser une piĂšce d’eau avec une anecdote croustillante sur le volume sonore de la femme de ce bricoleur du Cantal lors de leurs galipettes dans la dite piĂšce. Paf, vos mots clĂ©s insonorisation » et douche » titillent les algorithmes des boites noires posĂ©es par le gouvernement chez votre FAI pour espionner TOUS ses abonnĂ©s. LĂ  encore, mĂȘme procĂ©dure qu’aprĂšs l’écoute tĂ©lĂ©phonique illĂ©gale devenue lĂ©gale, soit on vous enferme tout de suite, soit on attend Ă  la sortie du magasin. Dans tous les cas l’objectif est le mĂȘme inscrire dans la loi une interdiction sur la base de mauvais rapports, et se donner les moyens d’appliquer cette loi, en dehors de toute Justice. Et surtout, on vote une loi qui ne vous condamne pas pour quelque chose que vous avez fait, mais quelque chose que vous pourriez faire. J’emploie le conditionnel Ă  raison normalement en France, la Loi fonctionne sur un principe fondamental, la prĂ©somption d’innocence. Ou dit autrement, innocent tant qu’on a pas prouvĂ© le contraire. Je n’ai pas mis l’emphase dessus, mais les IMSI catcher attrapent TOUS les smartphones dans la zone oĂč ils opĂšrent. Et donc TOUTES les conversations des gens sont surveillĂ©es, y compris celles qui n’ont rien Ă  voir avec le chant sous la douche. Pareil pour les boites noires, elles sniffent TOUT le trafic de TOUS les abonnĂ©s. Quand on procĂšde de cette maniĂšre, TOUT le monde devient suspect/coupable par dĂ©faut, et non plus innocent. Les services de renseignement eux-mĂȘmes estiment Ă  5000 le nombre de personnes d’intĂ©rĂȘt quelqu’un pour me retrouver un lien qui Ă©voque ce chiffre ? qui devraient donc ĂȘtre concernĂ©es par de tels dispositifs de surveillance. À la place, on prĂ©fĂšre surveiller les 65 Millions. Une pĂȘche au chalut qui va ramasser des dauphins et des baleines Ă  la pelle pour capturer cinq piranhas. Vous allez me dire oui mais lĂ  on parle de terrorisme, c’est grave ». Il n’est absolument pas question de remettre en question la volontĂ© de cette lutte, il est seulement question des moyens et de la finalitĂ©. Le gouvernement est en train de tuer la dĂ©mocratie, son fonctionnement le plus Ă©lĂ©mentaire — sĂ©paration des pouvoirs lĂ©gislatif, exĂ©cutif, judiciaire — en espĂ©rant qu’on croie qu’ils ne vont se garder cette situation que pour un cas exceptionnel, la lutte contre le terrorisme. Impossible, et lĂ  encore l’actualitĂ© nous le prouve juste aprĂšs les attentats de Janvier, le trĂšs dĂ©criĂ© dĂ©cret de censure administrative toujours sans juge judiciaire des sites Ă  caractĂšre pĂ©dopornographique et faisant l’apologie du terrorisme est publiĂ©. À peine deux semaines aprĂšs, un dĂ©putĂ© proposait dĂ©jĂ  d’étendre le blocage aux sites profĂ©rant des injures envers les Ă©lus. Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©tendu aux sites de proxĂ©nĂ©tisme. Toujours sans dĂ©cision judiciaire, la seule normalement dĂ©signĂ©e pour dire qui est coupable ou pas. Parmi les motifs invoquĂ©s pour l’application de la future loi, le Ministre de l’IntĂ©rieur a refusĂ© de supprimer les mouvements sociaux. Ceux qui permettent justement de dĂ©noncer des abus de situation. Ambiance. À peine la porte entrouverte, certains cherchent dĂ©jĂ  Ă  coller un gros coup de pied dedans pour s’autoriser tout et n’importe quoi en matiĂšre de censure. Et lĂ  encore, on parle de condamner, de censurer des idĂ©es, pas des faits. Chanter sous la douche est un fait, certes, qu’on a dĂ©clarĂ© illĂ©gal sous un mauvais prĂ©texte. Chercher Ă  contourner l’illĂ©galitĂ© est une idĂ©e, qu’on cherche Ă  supprimer. Ce que j’ai Ă©voquĂ© ici, le fait que les raisons utilisĂ©es pour supprimer la dĂ©mocratie Française sont bancales, dĂ©biles, dangereuses, est une idĂ©e. Une idĂ©e qui sera bientĂŽt peut-ĂȘtre interdite, et ce blog masquĂ© » par l’unique jugement non pas d’un juge il porte bien son nom, mais bien d’un Ministre. J’ai tort ? Pourtant, notre Ministre de l’ÉDUCATION Nationale s’insurgeait que les enfants pensent diffĂ©remment, quand ils ont refusĂ© la minute de silence post-Charlie ». Avec convocation directe Ă  la gendarmerie de gamins de huit ans. Ce n’est pas un fantasme de ma part, c’est une rĂ©alitĂ© qu’on constate jour aprĂšs jour. Et ne pensez pas que je serais le seul touchĂ© le gouvernement a dĂ©jĂ  cherchĂ© Ă  sanctionner la simple consultation des sites Ă  caractĂšre djihadiste. Oui, on ne tape plus sur moi, mais bien sur vous qui me lisez. magnifique non ? fort heureusement le projet a Ă©tĂ© abandonnĂ©; pour l’instant. Vous pensez que cette surveillance ne vous affectera pas ? Lors des rĂ©vĂ©lations sur les dispositifs de la NSA par Edward Snowden, 31% des amĂ©ricains ont modifiĂ© leur comportement en ligne. 1 personne sur 3. Pas parce que ces personnes font de mauvaises choses, mais parce que comme tout le monde elle considĂšrent qu’une surveillance constante de la part d’un État n’est pas normal. C’est Ă©norme Ă  l’échelle des plus de 300 millions d’habitants du pays. Pour rappel, ça a Ă©tĂ© instaurĂ© en 2001, et ça n’a pas empĂȘchĂ© Boston de souffrir en 2006. Et donc deux ans aprĂšs Snowden, on chercher Ă  installer ça en France. On a de l’expĂ©rience notez, on a dĂ©jĂ  vendu de tels systĂšmes Ă  de gentils pays comme la Libye, du temps de Kadhafi. Il s’en servait pour traquer ses opposants politiques. Ça vous va comme fantasme ? L’État Islamique n’a finalement plus besoin de chercher Ă  annexer ou dĂ©truire la France, ses idĂ©es sont dĂ©jĂ  en cours de mise en place par nos propres gouvernants, aveuglĂ©s par leur propre paranoĂŻa de la pensĂ©e diffĂ©rente, libre, en utilisant le prĂ©texte de l’extrĂ©misme. Seulement, les seuls qui paieront les consĂ©quences de ce dĂ©lire, ce ne seront pas eux, mais bien nous, et nos enfants enfin j’en ai pas, mais c’est pas une raison pour ne pas penser Ă  ceux des autres. La derniĂšre police de la pensĂ©e en France, c’était la Stasi, y’a 70 ans. C’est pas si loin, moi qui pensait pourtant que l’Histoire nous servait Ă  Ă©viter de rĂ©pĂ©ter les erreurs
 PS Le dossier est lourd, parfois difficile Ă  comprendre, mais pitiĂ©, lisez ce rĂ©capitulatif par l’infatiguable Marc Rees. Parce qu’aprĂšs, il ne sera pas question de dire que vous ne pouviez rien faire ou ne pas ĂȘtre au courant. PPS L’idĂ©e de la crue de Paris m’est venue en Ă©coutant l’excellent podcast Comptoir SĂ©cu, et plus prĂ©cisĂ©ment l’épisode 26 sur les crues majeures et le problĂšme de la centralisation de la France. Le Deal du moment -20% OnePlus Nord CE 2 5G – 8GB RAM 128GB – ... Voir le deal 239 € Bleach Highway PREMIERE SAISON AuteurMessageTempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mer 7 Oct - 2339 Lorsque Tempa se rĂ©veilla, il Ă©tait dans sa chambre. Les mĂ©decins l’avaient guĂ©ri entiĂšrement mais il devait se reposer quelques jours dans son lit. De toute maniĂšre, mĂȘme s’il lavait voulu, ces forces l’avaient quittĂ©. Une petite semaine passa et il put se mettre debout. Son adversaire avait tout bonnement disparu, signe qu’il avait Ă©tablit une retraite au moins de sa personne. Le rapport s’arrĂȘtait lĂ . La suite, c’est Sistia qui lui raconta la plus jeune shinigami de la compagnie une adolescente d'une douzaine d'annĂ©es. Elle l’avait hissĂ© sur son dos et l’avait amenĂ© jusqu'Ă  son lit, et avait demandĂ© des soins d’urgences puis avait glissĂ© dans sa poche la prĂ©cieuse photo de la soeur de Tempa. Quand Ă  l’arme, elle Ă©tait revenu d’elle-mĂȘme dans le fourreau de son maĂźtre et attendait son venait de dormir toute la journĂ©e d’un sommeil sans rĂȘve ou plutĂŽt 4 jours consĂ©cutif. Quelque instants dĂ©filĂšrent et le troisiĂšme siĂšge ouvrit les yeux, il passa ces bras derriĂšre sa tĂȘte. Il admirait certaine peintures qu’il avait accrochĂ© dans sa donnait un air colorĂ©, enjouĂ© qui Ă©clairait la chambre de leurs teintes lorsque le soleil se montrait. Toutefois, il ne s’agissait pas de peinture habituelle au monde spirituel. En effet plutĂŽt que de reprĂ©senter de la calligraphie, c’était de l’art abstrait. Le premier tableau reprĂ©sentait une piĂšce d’échiquier de loin, alors que de prĂšs, il ne s’agissait que de flĂšches et de ponts qui ne se finissait jamais, un peu comme le ying et le yang. Les principes couleurs Ă©taient alors le noir et le jaune, l’orange et le rouge. La seconde peinture Ă©tait plus froide mais toute aussi belle, en effet, elle reprĂ©sentait deux sirĂšnes mais dont le visage Ă©tait masquĂ©. Leur couleur Ă©tait le bleu clair, le rouge, et le blanc. La troisiĂšme et derniĂšre peinture reprĂ©sentait la justice sous les traits d’une statue portant une balance. En fait, l’image Ă©tait le rĂ©sultat d’un millier d’image identique. Bref, ces trois Ɠuvres furent achetĂ©s sur terre lors de l’une de ces missions passĂ©s. Toutes ces couleurs lui redonnĂšrent l’envie de s’amuser. Il fallait qu’il sorte. Aussi, se leva-t-il, il prit une de ces Ă©tranges pilules qui vous donne un corps dans le monde rĂ©el et parti en direction des portes. Et puis, une faim Ă©pouvantable lui tirailla le ventre, un restaurant oĂč l’on se servait Ă  volontĂ© serait parfait. Alors qu’il allait sortir et rencontrer nombres de personnes, Tempa vu quelqu’un dans la pĂ©nombre. Une silhouette plutĂŽt Ă©lancĂ©, fine. Une dĂ©marche Ă©lastique et en mĂȘme temps langoureuse, Tempa avait les sens tout qui cela pouvait bien ĂȘtre. Dans quelques secondes, elle arriverait sous une douche de lumiĂšre qui rĂ©vĂšlerait son identitĂ©. Il n’était pas pressĂ©, cela donnait du piment d’attendre, de voir et avant cela de devinerde qui il s’agissait?*Bon, Tempa tu fais pas d’idiotie cette fois ci*-Bonsoir charmante demoiselle. Puis-je vous proposez une promenade dans le monde rĂ©el ou toute autre activitĂ© qui se rĂ©vĂšleras agrĂ©able Ă  nos envies? *c’est que j’ai une envie de bouger d’ici moi *Finalement, peut ĂȘtre n’aura-t-il pas Ă  chercher trop loin finalement pensa t’il. *Et aprĂšs mes loyaux services, on ne me reprochera pas ce petit plaisir. *Sa jolie Ă©charpe de soie verte le distinguait de Byakuya qui en avait une blanche. La nuit s’annonçait magnifique. On aurait dit une sublime couronne dont se parait la terre et ou se cachait nombre de diamants Ă  la place des Ă©toiles. Le monde s'offrirait il a ces deux jeunes gens?[post assez court mais je ne suis pas trop douĂ© pour dĂ©buter les rp] InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Sam 10 Oct - 1917 [court ? Tu blagues ?]InĂȘs avait trĂšs bien entendu parler de cet horrible adversaire avec qui son supĂ©rieur avait dut se sĂ»r elle Ă©tait inquiĂšte et ne quittait pas l'idĂ©e de voir l'homme qu'elle portait dans son coeur que de le savoir mal au point faisait son coeur se serrer a un tel point qu'elle ne pouvait plus retenir ses dans son appartement,la fragile jeune femme Ă©tait assise entourĂ©e de quatre murs de couleurs cyan ayant pour dĂ©coration des armes en tout genre en passant du katana au plus simples d'un kimono blanc dĂ©corĂ© de fleurs de cerisier et les cheveux mal attachĂ©s en un ne pensait pas sa tenue a sa pose et en passant au fait qu'elle aie le visage ruinĂ© par faute de son mascara ainsi que des pauvre enfant ne fut capable de se lever quand elle se rendit compte qu'un papillon de l'enfer portant un message de la quatriĂšme division que le patient dont elle avait demandĂ© des nouvelles Ă©tait a nouveau en ne pensait pas deux fois !En arrachant son kimono,InĂȘs prit une simple jupe noire/blanche ,un t-shirt et sa veste serrĂ©e pour partir chercher ses bottes a talons [voir image].En dĂ©maquillant son visage et en le lavant InĂȘs ne pensait plus qu'a une chose Le ses lĂ©gĂšres boucles d'oreille en diamants ,elle fonçait dĂ©jĂ  vers la quatriĂšme division lorsqu'elle vit avait arrĂȘtĂ© sa course pour se mettre derriĂšre un arbre ne voulant pas dĂ©ranger son qu'il l'avait remarquĂ©e,InĂȘs sortit de l'ombre en Ă©vitant tout en priant pour ne pas rougir et encore moins de tomber dans les voix douce,elle rĂ©pondit InĂȘs"Bonjour ne me dĂ©rangerait pas nĂ©anmoins vous ne devriez pas rester dans votre lit afin de vous reposer ?"Bien sĂ»r comme toutes forme humaine pourrait deviner que le visage de la demoiselle n'Ă©tait pas rouge par la chaleur mais bien parce qu'elle Ă©tait extrĂȘmement gĂȘnĂ©e. Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mar 13 Oct - 1927 Tempa sur le coup avait du mal Ă  deviner de quel personne il s’agissait, il faut dire qu’il Ă©tait Ă  peine rĂ©veillĂ©, que toute les voix fĂ©minines qu’il adorait se mĂ©langeait. En bref, c’était un cauchemar de ne pas rĂ©ussir Ă  distinguer a qui appartenait celle-ci, surtout que la jeune femme se trouvait devant lui. Elle se trouvait dans l’ombre et l’ombre de l’arbres ainsi que la pĂ©nombre du soir qui venait faisait que Tempa ne voyait pas Ines rougir*Mais attend voir, rĂ©flĂ©chit donc, cette femme, tu la dĂ©jĂ  vu, et elle t’appelle Shakkam Sama. Donc, soit c’est une inconnu, soit elle est timide. Peu m’accorde autant de gentillesse dĂ©s lors qu’elle me voit donc c’estune fille de la compagnie. Hummm, ce doit ĂȘtre Ines. Ouais c’est elle j’en suis sur.*-Voyons ma chĂšre quatriĂšme siĂšge, ne m’appelle pas par mon nom, c'est si protocolaire, il n’y a que nous deux. Dans ces moments, tu peux m’appeler Tempa. Il rit un peu de maniĂšre gĂȘnĂ© mais franc. Et ne t’inquiĂšte pas pour ma santĂ© je suis fort comme un buffle ajouta t’il en affichant un sourire colgateoups pardon pour la publicitĂ©.*Bon tu ne vas pas faire de connerie, Tempa hein.* Alors qu’il pensait cela, qu’il pensait dĂ©jĂ  Ă  s’approcher puis enlacer de romantique façon Ines, que le souffle chaud et agrĂ©able caressait ces cheveux, malheureusement pour lui, une petite tĂȘte d’enquiquineuse fit son apparition. -Sistiaaaa, tu va m’espionner longtemps ? Alors qu’il avait dit cela, il s’était pris dans la tĂȘte, une petite glace en plastique que l’on donnait aux enfants lorsqu’il voulait se maquiller, un petit galet, un fer Ă  repasser et pour finir 
 un canapĂ©. Mis Ă  part le canapĂ©, il avait encaisser le tout avant d’avoir comprit ce qu’il luiarrivait. Pour le plus gros projectile, il l'Ă©vita de justesseUn pli de contrariĂ©tĂ© apparut sur le cĂŽtĂ© de sa tempe. -RAaaaaaah va jouer les reporters sur quelqu’un d’autre, je ne veux pas ĂȘtre dans tes articles. -Bouarf, je vais pas te lĂącher maintenant, les articles people sont ce qui marche le mieux dans la compagnie. *Mais pourquoi Matsumoto-chan avait t’elle voulu absolument dans sa compagnie une peste comme cette vingt-cinquiĂšme siĂšge. En plus c'est mĂȘme pas une femme, c'est une gamine.*DĂ©jĂ  la derniĂšre fois, elle l’avait prit en traĂźtre, l’avait prit en photo, dormant d’un sommeil d’ivrogne avec des amis Ă  lui et Matsumoto s’était mĂȘme joint Ă  la parti, si la seconde siĂšge n’avait pas marchandĂ© et acquĂ©rit une cinquantaine de sucette, il se serait prit une belle rĂ©primande de la part de l’autre fois ou il avait volĂ© la culotte de cinq filles de l’école de shinigamis, elle l’avait prit en photo et avait rigolĂ© avant de tendre la photo le reprĂ©sentant aux victimes en questions. Il portait alors une culotte rouge sur la tĂȘte, Deux sur les bras tel des brassards, et deux derniers en boucle d’ s’était fait tuer par son capitaine Ă  l’époque mais, hihihi il avait gardĂ© la photo ainsi que le souvenir de ces charmantes demoiselle qui pendant la rouste l’avait regardĂ© d’un peu trop prĂšs, du coup il pus voir leur culotte du jour d’un peu plus prĂšs, et elles Ă©taient ma fois forte petit sourire tout les deux dit Sistia. A peine avait t’elle lever son appareil photo, que Tempa lui avait saisit d’un shunpo, l’avait attachĂ© au collier d’un chat rayĂ© passant par lĂ . Le chat eut plus que peur en voyant la tĂȘte de Tempa qui venait de faire une grimace. D’un cĂŽtĂ©, le chat avait l’air de se marrer, de l’autre, et bien il eut la frousse de sa vie du moins le montra t’il. Il feula puis s’ en profita donc pour aller dans la direction inverse Ă  celui du chat s’arrĂȘter, il s’était saisit de sa charmante interlocutrice, un bras portant les jambes l’autre son dos. Alors, il se rendit compte que sa main avait Ă©pousĂ© la forme gĂ©nĂ©reuse et galbĂ© de la cuisse d’ s’empressa de rĂ©primer un saignement de nez, sa aurait eut mauvais effet sur la jolie poitrine de la fille. Alors il eut une idĂ©e qu’il lui parut gĂ©nial. -Oulalalaaaaaaaaaaaaaaaaaa, que j’ai froiddddd, ce vent il va me donner un rhume vieux mensonge vus qu’il dispose d’une Ă©charpe. Alors il baissa la tĂȘte, et tenta tout en gardant les yeux mis clos tout en tentantd’admirer le trĂ©sor qu’il faillit se manger un mur qu’il Ă©vita au dernier moment, vĂ©rifia que la quatriĂšme siĂšge n’avait pas la moindre Ă©gratignure tout en continuant sa course. *Mieux vaut pour moi d’éviter ce comportement dans les routes sinueuse et Ă©troite. Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaa c’est trop agrĂ©able* Enfin, il arrivait a vitesse grand V auprĂšs des portes menant au monde les porte vers la ville et refermez les juste aprĂšs que je sois passééééééééééééé , c’est un ordre les l’instance et la force de la voix de Tempa, les gardes de faction l’ouvrir sans tunnel noir, puis enfin la porte s’ouvrant sur la 
 Enfin*Trop fort, on a atterri dans un endroit magiquement romantique.*Alors il tourna la tĂȘte a 380 degrĂ©s afin de vĂ©rifiĂ© que personne Ă©tait au alentour. Personne n’était lĂ  Ă  part elle et lui, sublime photo d’une carte postale sur le soleil rocher fit office de trĂŽne. La mer eut le rĂŽle de premier seigneur devant ses majestĂ©s du moment La belle Ines et l’éternel gardien de la dixiĂšme compagnie, Tempa dĂ©posa donc la noble princesse ou la reine selon votre convenance, sur le dit fauteuil tout juste large pour deux personnes. AprĂšs un soupir de soulagement et d’aise il regarda sa superbe compagne dont les cheveux prenaient une teinte dorĂ©. En effet, le soleil, second courtisant venait de dĂ©poser sur les cheveux d’Ines une parure d’or Ă©toilĂ©, telle une couronne aux multiples pierres prĂ©cieuses.*Qu’elle est merveilleuse ce soir.* [le chat est animal ou shinigamis transformĂ© mais ce n’est pas Yoruichi hein^^.] InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mer 14 Oct - 1558 [j'ai compris]InĂȘs fut trĂšs surprise par la voix de son supĂ©rieur mais encore plus des mots qui quittĂšrent la bouche tant adorĂ©e et surtout tant convoitisĂ©e dans ses rĂȘves les plus sang ses joues seraient sans doute une bonne provocation pour les dĂ©nomĂ©e Sistia aparu pour sauver InĂȘs de l'horrible gĂȘne qui commençait a s'en emparer d' cela InĂȘs Ă©tait aussi un peu en colĂšre briser un tel moment Ă©tait la chose que la gamine allait regreter car les Watanabes n'aimaient pas trop que des rumeurs courent sur leurs plus InĂȘs Ă©tait proche d'un branche trĂšs haute du clan a un tel point qu'elle avait faillit ĂȘtre hĂ©ritiĂšre si le chef de son clan n'avait prĂ©fĂ©rĂ© de rester encore au trone de la famille,la brunette serait sans doute a la tĂȘte des jolie quatriĂšme siĂšge fit un petit sourire forcĂ© dans la photo en prometant que plus jamais elle ne s'approcherait d'une crĂ©ature ayant en sa possesion un appareil heureusement Tempa rĂ©ussit a s'en emparer et a obliger un pauvre chat a le porter afin d'Ă©loigner la petite son supĂ©rieur la prit comme on porte une mariĂ©e la jeune femme avait frĂŽler l'attaque que c'Ă©tait une excuse bidon InĂȘs pensitInĂȘs*Je crois que si sa continue comme ça je vais finir a la 4°division sans avoir a combattre!*Lorsqu'ils arrivĂšrent a Kurakura et que la mer fut la maĂźtresse des yeux de la belle,InĂȘs ne put s'en empĂȘcher le sourire qu'elle rĂ©servait qu'a son Ă©tait sublime accompagnĂ©e de ce coucher de soleil parfait cela la rendait plus le fait que Tempa soit a ses cĂŽtĂ©s et que le moment Ă©tait idĂ©al pour une belle dĂ©claration,InĂȘs prĂ©fĂ©ra se taire et fermer ses yeux pour profiter de la melodie des vagues ainsi que pour mieux sentir le vent fouetter ses cheveux et son la belle ne tenu pas longtemps assise,elle se releva et sauta dans la mer cela faisait longtemps qu'elle revait d'atteindre l'eau que les humains en rafollaient dans une saison tĂ©rriblement chaude nommĂ© l'Ă©tĂ© pour ses simples sentant l'eau agrĂ©ablement chaude contre sa peau InĂȘs ne put rĂ©primender un soupire de dĂ©sirait sortir de son envellope de sabre dommage que cela ne puisse pas ĂȘtre possible,elle s'aurait bien amusĂ© avec sa cheveux flottant dans l'eau InĂȘs avait l'air d'une quatriĂšme siĂšge se tourna vers les rocher pour voir son supĂ©rieur a qui elle offrit un magnifique sourire. Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Dim 18 Oct - 115 [manque d'inspiration, dĂ©solĂ©]Ines ressemblait vĂ©ritablement Ă  une sirĂšne. Ces yeux donnaient donnait l’impression de briller comme des Ă©toiles. Peut ĂȘtre Ă©tait ce le reflet de l’eau, peut ĂȘtre Ă©tait ce elle qui donnait cette aspect brillant Ă la mer du moins dans les yeux de Tempa. Les hommes sont parfois de vrais enfants, les shinigamis Ă©galement et Tempa ne faisait pas exception. Aussi, dĂ©noua-t-il nĂ©gligemment les bandelettes tout de façon plus que discrĂšte. Puis lorsque celle-ci revint de son bain qui l’avait drapĂ© d’un voile Ă©toilĂ© l’ tu peux m’aider, le mĂ©decin m’a demandĂ© de garder ces bandes pendant une petite semaine mĂȘme si les blessures sont en bonne voie de guĂ©rison."Il y avait trois buts derriĂšre cette technique, la premiĂšre Ă©tait de pouvoir montrer son corps harmonieusement dĂ©veloppĂ© Ă  Ines, la seconde, de se faire toucher voir mĂȘme masser on sait jamais ainsi que de pouvoir montrer quelques blessures de guerres. Pourvus que cette saletĂ© de morveuse de Sistia ne les retrouve pas avant une semaine, il avait besoin de libertĂ© aprĂšs tout.*HĂ©hĂ©hĂ©hĂ©, au moment elle plaquera ces mains contre mon torse pour serrer le bandage, j’en profiterais un maximum.*Comme vous l’imaginez, Tempa n’était pas de ceux qui savaient vraiment parler et dire de grande et belle dĂ©claration. A son grand dam, il agissait sans prĂ©venir. Parfois, cela marchait, mais souvent il seprenait des baffes, voir toute premiĂšre fois ou il s’était brulĂ© les ailes sur le soleil de l’amour, il avait dit simplement je t’aime. En rĂ©ponse Ă  cela, elle Ă©tait partit dans un Ă©clat de rire irrĂ©pressible, moquerie et honte avait fusĂ© sur Tempa Ă  l’époque. Le dernier rĂąteau qu’il avait eut, au lieu de dire bonjour comme tout le monde, il avait roulĂ© ce que l’on appelle communĂ©ment une pelle. Elle y avait rĂ©pondit par un coup de savate en plein visage.Et la chaussuren’avait pas quittĂ© son pied.Il espĂ©rait sincĂšrement que cette fois ci, sa se passe diffĂ©remment. AprĂšs tout, ok, il suivait ces instincts qui n’étaient pas forcĂ©ment trĂšs bon, mais il avait toujours Ă©tait sincĂšre, n’avait jamais jouer des sentiments des autres. Et parfois, il arrivait qu’il touche les attributs fĂ©minins sans le vouloir.*Rhoooooooooo, c’est trop bon de tomber amoureux aussi rapidement pensait il.* Certain appelle ça ĂȘtre sĂ©duit. Pour Tempa, c’était tomber de mĂȘme, elle Ă©tait sacrĂ©ment belle, et elle semblait remarquablement Ă©panouie dans l’eau. Quand aux intentions de notre jeune hĂ©ros elle Ă©tait aussi limpide que la puis aprĂšs tout, le cadre du lieu devrait lui avoir mit la puce Ă  l’oreille. Il fallait que sa rĂ©ussisse, cette fois ci ou la secondes attendant le moment opportun paraissait des heures entiĂšre ce qui Ă©quivalait Ă  une vĂ©ritable torture pour le troisiĂšme siĂšge. Mais bientĂŽt, trĂšs bientĂŽt, il aurait sa rĂ©ponse. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Dim 18 Oct - 1933 [dommage que tu n'aies pas dit qu'elle Ă©tait la partie blessĂ©e donc je prend le torce]La brunette Ă©tait sensible et intelligente mais l'eau semblait lui avoir lavĂ© le cerveau vu ce qui lui plus elle avait eut un peu peur vu la maniĂšre dont il avait prononcĂ© le son prĂ©nom,on dirait un peu un serpent vu les "S" quoique a force de voir le capitaine Mayuri qui habite pas trĂšs loin de chez elle cela pouvait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme attirant vu que InĂȘs a dĂ©jĂ  eut le malheur de tomber amoureuse du capitaine de la 12° sourire aux lĂšvres InĂȘs s'approcha de son supĂ©rieur et lui prit les moi si je vous fait du mal d'accord ?"Enlevant le haut de son supĂ©rieur la brunette ne put empĂȘcher un hoquet de que c'Ă©tait que ces abdos sortis d'un magazine pour femmes ?En plus sa tĂąche ne pouvait ĂȘtre que plus intĂ©ressante vu le corps qu'elle avait sous ses se rendre compte elle passa ses doigts lĂ©gĂšrement sur les blessures de celui qui la hantait jour et se reprit seulement quand elle se rendit compte de ce qu'elle touchait en effet la blessure Ă©tait grande et l'endroit qu'elle allait visiter bas du ventre n'Ă©tait pas des plus joues furent vite rouge sang,passant ses mains pour serrer doucement les bandages InĂȘs ne pourrait jamais dire que la vue ne lui plaisait pas bien au le corps de Tempa lui donnait un air de femme bien trop "dirty" a son goĂ»t pourtant elle se damnerait pour pouvoir le se concentra dans sa tĂąche faisant en passant des caresses au corps de cet ĂȘtre bien trop que la retenue Ă©tait dans ces qualitĂ©s sinon elle l'aurait certainement embrassĂ© sur le moment. Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Jeu 22 Oct - 1247 Tempa s’était retenu jusqu’au bout et finalement il fit une boulette qui vint chambouler tout ces plans. Alors qu’il se faisait soigner. Enfin, disons qu’il faisait le grand malade. Il fit semblant de tomber sur sa jolie mĂ©decin ». Elle avait serrĂ© de façon solide son bandage, il fit semblant de chuter, et posa ces lĂšvres sur celle qui se trouvait devant j’ai pas fait exprĂšs. Humm, par contre, j’ai bien aimĂ© le gout que j’ai eut surles lĂšvres mais il faut que je regoĂ»te pour ĂȘtre sur. *J’ai senti un petit gout de fraise des bois, soyons gourmant et rĂ©-essayons avant qu’elle ait le temps de me faire encore plus de fractures.* Telle la nuit autour de l’étoile, le feu du foyer attirant les hommes lors des nuits d’hiver, la mer embrassant les Ăźles, le continent, son chakra avait alors entourĂ© de reaitsu doux et inoffensif la zone autour d’eux. La nuit devenu noire s’était teintĂ©e d’un bleu azurĂ© avec, en fond, les joyaux Ă©toilĂ©s donnant une teinte un peu irrĂ©elle Ă  la silhouette des deux jeune reaitsu avait donnĂ© des airs de tentacules Ă  ces bandelettes qui avaient parcouru son torse, ces bras et ces gens. Puis alors que tous se passait si bien. Quatre hollows firent irruption certainement attirĂ© par cette concentration de chakra. Jusqu'Ă  prĂ©sent, Tempa avait un reaitsu doux puis tout cessa d’un regard plus terrible que n’importe quel bĂȘte fauve, il aurait fait reculer n’importe qu’elle ĂȘtre si vous tenez Ă  votre misĂ©rable vie. Deux avait reculĂ© puis s’était stoppĂ©, le troisiĂšme avait fui, et le dernier est bien avait chargĂ©. Son sabre, avait littĂ©ralement coupĂ© en deux partie Ă©gale les deux hollows qui Ă©taient indĂ©cis sur le fait de frapper ou de fuir. En effet il venait d’avancer d’un pas lorsque la lame les dĂ©coupa. Alors il comprit la technique du dernier hollow. Il n’avait pas le temps de dĂ©gainer Ă  nouveau sa lame, car il risquait de blesser celle dont les lĂšvres l’avaient emmenĂ© si technique qu’il maitrisait bien qui pouvait la protĂ©ger c’était le hado. Les Ă©normes pattes du hollow se rapprochait peu Ă  peu d’elle, et alors que l’horrible allait se produire, il avait bloquĂ© d’une main les puissantes griffes. Ces mains Ă©taient devenus des Ă©taux. -Je devrais te tuer pour ce que tu viens de faire. Le hollow commença Ă  craindre pour sa vie et il n’arrivait toujours pas Ă  s’ la colĂšre de Ines devrait ĂȘtre suffisante pour te punir, et crois moi ce n’est pas un cadeau de ma part. Lorsque toute cette action serait fini, il verrai la sentence qui lui tomberais dessus
 ou la rĂ©compense. Au bout de la plage, un groupe de jolie lycĂ©enne se baladait. Il y avait trois uniformes. La premiĂšre avait descheveux bleus, la seconde des cheveux rouges, la troisiĂšme des cheveux identique Ă  ceux de Matsumoto. Il lĂącha le hollows et galopa a quatre pattes le haut d’une dune afin de mieux les voire. Le calvaire commença, il regardait Ă  nouveau la jolie Ines. Ces sentiments pour elle Ă©tait trĂšs fort. Il ne voulait pas gĂącher tout ça mais les jeune fille, c’était agrĂ©able de les regarder. Puis il regarda encore une foisInes, ces formes gracieuses, ces jambes galbĂ©es Ă  souhait, sa jolie poitrine. Finalement les jeunes filles disparurent avalĂ© par la grande ville. Et Tempa avait besoin de douceur, d’amour comme on dit. Il revint tout contre Ines, et plaça sa tĂȘte contre le bassin et les cuisses da la jeune il ferma les yeux, apaisé  [ a toi de voir si tu massacre le hollow ou de le faire fuir la queue entre les jambes, tu as aussi le droit d’éduquer Tempa hein huhuhu] InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Ven 23 Oct - 1734 La brunette rougit immĂ©diatement en sentant les lĂšvres de aurait bien voulut profiter du contact encore une fois mais malheureusement des hollows durent bien sĂ»r se pointer pour tout ne fut jamais aussi en colĂšre que sur le moment hollow semblait de mauvais poil malheureusement pour lui,InĂȘs l'Ă©tait aussi et pas qu'un Watanabe ne pensit pas deux fois,elle sortit Esperanza de son Ă©tui et libĂ©ra le ME SENTIR VIVA ESPERANZA!"AussitĂŽt son zanpakuto devint blanc et recouvert de magnifiques l'eau l'entourait et attendait des ordres qu'InĂȘs ne tarda pas a affoga-os!"L'eau entourait a prĂ©sent son adversaire et le blessait pendant qu'InĂȘs utilisa le shunpĂŽ pour aller derriĂšre l'hollow afin de le tuer en un seul terminĂ© son combat esperanza reprit sa forme Tempa vint se coller a elle,InĂȘs sourit doucement et lui caressa la fut dans ce soupire qu'elle rĂ©ussi a prononcer le prĂ©nom de son supĂ©rieur sans avoir a rougir ou a tomber dans les pommes. Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Dim 25 Oct - 2047 Tempa se sentait toujours bien dans les bras d’une femme comment aurait pu en ĂȘtre aimait toute la tendresse qu’elle dĂ©gageait. Le temps s’était ralentit autour de lui, sa main caressait doucement ces cheveux, son prĂ©nom fut Ă©noncer. Avait-elle dit cela pour ne jamais oublier ce moment magique ? Avait-elle dit cela comme pour dire je t’aime ? La douceur, la sĂ©rĂ©nitĂ© Ă©manait de ces yeux. -Ines, je tiens Ă  toi. L’homme qui te parle actuellement, est celui qui t’aime plus que ton supĂ©rieur. Lorsque tu combats, Ă©vite au plus possible d’utiliser le shikai, et plus tard, le bankai. Moins les gens verront tes rĂ©elles capacitĂ©s, plus de cartes maitresse, tu auras dans ta carte importante que tu dispose Ă  prĂ©sent, c’est de mon soutien comme petit ami. Du moins si tu y tiens toujours. Le fait d’éclaircir notre relation nouvelle peut te sĂ©curiser car les gens sauront qu’il risque de pĂ©rirent par ma main s’il te touchait. Mais inversement, ils peuvent s’en prendre a toi pour me faire c’est Ă  toi de dĂ©cider de cette formalitĂ©, puisque je te suivrais dans ta dĂ©cision. Puis-je goĂ»ter Ă  nouveau Ă  tes lĂšvres, j’aimerais ne pas avoir Ă  voler ce baiser. Sa me manque dĂ©jĂ  ajouta t'il dans un il s’approcha lentement, sensuellement, et c’est d’une pression souple, douce, maĂźtrisant sa puissance, qu’il embrassa le dĂ©sir qui venait d’ĂȘtre dĂ©crit. Il caressa le bassin de celle qui risquait fort de partager sa vie pour un certain temps qui il l’espĂ©rait serait assez long, il l’a fit lentement basculer sur le sable, ferma les yeux, posa sa tĂȘte contre la poitrine la jeune s’endormit et dans son sommeil, il parla clairement en ces termes je t’aime, je te protĂ©gerais. La nuit sans nuage, les Ă©toiles pouvaient veiller sans encombre sur le couple nouvellement former. Il se rĂ©veilla lĂ , au petit matin, sa compagne semblait dormir. Alors Tempa se mit Ă  distance d’elle afin de ne pas la rĂ©veiller. Puis il s’enferma dans une mĂ©ditation, en parfaite harmonie, cela dura bien une demi heure. Il n’y avait plus personne sur la plage. Puis l’invocation eut et son bankai restĂšrent l’un en face de l’autre sans avoir besoin de parler pour se avança la main vers le griffon majestueux, alors, celui-ci avança son bec et dĂ©ploya les ailes. Vu d’arriĂšre, on aurait dit que Tempa eut Ă©tĂ© dotĂ© d’une paire d’ailes comme s’il Ă©tait un ange. La main rencontra le bec de son bankai. Puis le bankai fit tomber deux plumes et disparut dans un nuage de fumĂ©e. Tempa revint alors vers sa compagne. Il l’enlaça du regard, glissa une de ces prĂ©cieuses plumes dans les cheveux d’Ines, rangea la derniĂšre sous sa ceinture prĂšs de son en attendant qu’Ines se rĂ©veille, il se dĂ©vĂȘtit le haut de sa tenue de shinigamis devenant ainsi torse nu, pris son sabre et s’exerça en pensant Ă  l’un des doyen de l’école. Celui-ci Ă©tait venu a lui avant de partir, il lui avait tenue ces propos Lorsque tu sera mĂ»re et que tu auras quelqu’un de cher Ă  protĂ©ger, exerce toi au laido, et tu deviendra plus que puissant. Sur le coup Tempa n’avait pas comprit ce que cela signifiait. Mais en arrivant sur terre et en lisant les anciens Ă©crits de l’école, il avait comprit ce que c’était Rare Ă©tait les gens qui connaissait cette laido, c’est la voie du corps et de l’esprit. On disait dans les reliques qu’elle permettait de trancher son propre Ă©go. Toute en pensant Ă  cela, son sabre fendait l’air Ă  une vitesse incroyable. Le laido commençait Ă  ĂȘtre apprit. C'est-Ă -dire qu’il paraissait serein, calme et en mĂȘme temps d’une dangerositĂ© sans pareil. Son coup devenait parfait. Sa puissance bien que loin d’ĂȘtre suffisante pour abattre un capitaine ou un espada permettait de faire de mĂ©chantes blessures. Quand Ă  ces muscles, ils se mouvaient les uns Ă  prĂšs les autres avec grĂące et aisances tel un fĂ©lin en alluma cinq bougies alignĂ©es mais espacĂ© d’un mĂštre Ă  chaque fois. Il se plaça Ă  une distance d’une vingtaine de mĂštre de lĂ . A priori, son sabre ne pourrait pas les toucher. Tout au plus il faisait bouger la premiĂšre, mais elle ne vacillait se concentra et cette fois ci les bougies jumelles furent coupĂ©es. Ce n’était pas bon. Il remplaça les bougies par de nouvelles, se remit Ă  distance respectueuse et cette fois ci, les mĂšches uniquement furent coupĂ©. Il avait remportĂ© cette manche.*Bon, ben Ă  prĂ©sent je fais ça chaque jours au moins une fois et j’augmente les distances si c’est trop facile. Mais je demeure insatisfait de moi-mĂȘme, est cela que trancher son propre ego* -Jolie Ines ? J’ai peur que tu attrape froid si l’on reste ici, le jour va se lever dans quelques heures. Met ma tenue sur il l’enveloppa de sa tenue puis attendit qu’elle se rĂ©veille. AprĂšs tout, il avait bien le temps. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Dim 25 Oct - 2156 InĂȘs avait Ă©tĂ© surprise et heureuse de ce qu'il lui avait que ses sentiments Ă©taient partagĂ©s,le fait qu'il voulait la protĂ©ger et surtout la demande de contact physique la rendait extrĂȘmement fait qu'ils aient dormi sur le sable ensemble l'avait rendu une image de couple avait rĂȘvĂ© pendant cette rĂȘve bien trop grand alors qu'ils ne venaient que de dĂ©buter leur effet quand ses parents connaĂźtraient la nature de leurs relations cela pouvait barder car son pĂšre n'Ă©tait pas des plus gentils ou bien des plus comprĂ©hensifs et sa mĂšre n'Ă©tait pas du genre a laisser avoir le dernier ses rĂȘves Esperanza lui Ă©tait apparu,une grande femme d'une peau un peu bleutĂ©e,cheveux attachĂ©s de la mĂȘme maniĂšre qu'une geisha,un kimono bleu ayant pour motifs des superbe moitiĂ© d'InĂȘs lui donna pour conseil de bien veiller a l'Ă©tat Ă©motionnel ainsi que physique de avait bien enregistrĂ© ce conseil dans sa mĂ©moire car pour elle son supĂ©rieur comptait avait un peu froid pendant son sommeil et se rĂ©veilla seulement quand quelqu'un la couvrit de quelque chose de ouvra difficilement ses paupiĂšres et regarda son s'approcha de lui et lui dĂ©posa un dĂ©licat baiser sur les Tempa"Un peu rouge comme a son habitude,InĂȘs avait fait son plus beau sourire puis dĂ©tourna la tĂȘte a cause de la gĂšne qui se provoquait en elle lorsqu'elle regardait son supĂ©rieur dans les yeux. Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mer 4 Nov - 021 Tempa cĂąlinait sa douce nouvelle petite amie lorsqu’il aperçut un papillon de l’enfer arriver vers eux un peu comme un missile a tĂȘte chercheuse. Alors il se saisit de son Ă©charpe en fit une boule et emprisonna la bestiole. *SaletĂ©, on ne peut pas ĂȘtre tranquille ou quoi ?*Il l’embrassa, lui rĂ©alisa de nombreux tourments oh combien agrĂ©able. Caresses, baisĂ©s du matin furent le lot d’Ines. Cela dura de nombreuses heures, et Tempa en avait oubliĂ© le temps qui s’ loin sur une sorte de kiosque, une musique naquit, cinq musiciens jouait en harmonie, cette musique donnait des envies de danser. -"viens Ines, on va danser avec les autres couples. QU'importe qu'il nous voie ou pas. Profitons l'un de l' le petit concert, Tempa reprit son Ă©charpe se doutant que l’on l’appelait. Et alors qu’il remettait son Ă©charpe, ce ne fut pas un papillon qui se posa sur lui mais une multitude pour lui donner des messages. Et la majoritĂ© Ă©tait je vous le donne en mille des messages de Sistia. On voyait mĂȘme plus Tempa cachĂ© sous les Il plongea dans les eaux fraĂźches bien qu’il prĂ©fĂ©rait les courants plus chauds. *Mais elle va me lĂąchĂ©e elle ?*Lorsqu’elle fut partie mais avant, Sistia eut la joie immense de titiller cette douce Ines, Tempa revint sur la plage en cachant du mieux qu’il pouvait son reaitsu. Il revint sur la plage. Cette peste, il en devenait allergique et quelque part c’était grĂące Ă  elle qu’il Ă©tait en vieaujourd’hui alors qu’il avait frĂŽlĂ© la mort contre Kazuki. Il rechercha quelque temps sa jolie femme et revint Ă  elle. Il longea la plage, mais la premiĂšre crĂ©ature qu’il rencontra fut un stupide hollow, mais plutĂŽt que d’user de sonzampakuto, il envoya un sort de kido de flamme, la fumĂ©e vit de la vapeur, et la mort sorti de son fourreau, fit un aller retour avant de revenir dans sa gaine. Avant mĂȘme que le hollow leva sa tĂȘte Ă  pics vers le shinigamis, il avait disparu. AprĂšs cela, il aperçut Sistia de loin avec son stupide appareil photo. Il l’a vu revenir déçu dans le seiretei. Alors il put continuer la recherche de celle qu’il aimait. Lesvagues chantait un doux champs qui le pressait vers d’une seconde Ă  l’autre, il l’a vit. Belle dans toute sa splendeur. SirĂšnes parmi les sirĂšnes, joyaux parmi les astres. Il l’embrassa, puis lui voir, tu sais que sa m’a arrachĂ© le cƓur de t’avoir perdu pendant ce temps ? J’ai besoin de toi mon cƓur."Un papillon de l’enfer rĂ©clamant la prĂ©sence de Tempa pour rĂ©gler un litige entre un de ces hommes qui avait un poil trop but et qui avait ravagĂ© un bar et blessĂ© plus de vingt personnes plus ou moins gravement blessĂ©es et lepatron de l’établissement."Bien, Ă  prĂ©sent, que faisons-nous Ă  prĂ©sent mon cƓur ? Tu veux venir avec moi pour rĂ©gler cetteaffaire ou tu prĂ©fĂšre que l’on se retrouve aprĂšs ?"[Court post, pour longue attente mais j'avais vraiment pas d'inspiration, dĂ©solĂ© pour l'attente] InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mer 11 Nov - 2114 [list]InĂȘs soupira en voyant le papillon de l'enfer mais elle retrouva vite son sourire ainsi que ses rougissements grĂące aux caresses lentes,au baisers langoureux,aux regards doux que Tempa et elle temps passait et a prĂ©sent des musiciens aux doigts de fĂ©e ont commencĂ© a jouer de leurs magnifiques instruments qui laissaient sortir de magnifiques notes de bien..."Rigolant doucement,InĂȘs Ă©tait surprise d'une telle attention venue de son petit ami puisqu'elle n'Ă©tait avec lui que depuis 1 jours et le concert,son idylle eut la mauvaise idĂ©e de reprendre son Ă©charpe ce qui lui valu des papillons de l'enfer rouĂ© sur lui donc il tomba a l' ce temps la jeune fille avait lancĂ© a la poursuite d'InĂȘs ,ses papillons de l' de vous dire que la gentille siĂšge ne fit que d'essayer de calmer les ardeurs de Sistia qui semblait adorer la vie privĂ©e de sĂ»r aprĂšs avoir photographiĂ© le moindre faits et gestes de Tempa,la petite shinigami les quitta déçue de ne pas avoir eut une scĂšne amoureuse tourna les yeux vers le visage d'ange de son le baiser,InĂȘs soupira doucement tout en s'installant bien dans les bras de te suivrais jusqu'au bout du monde Anata ..." Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mer 11 Nov - 2316 Elle Ă©tait lĂ , respirant avec toute la sensibilitĂ© qui la caractĂ©risait tant. Ces cheveux noyant la frimousse du troisiĂšme siĂšge ravit d’ĂȘtre accolĂ© Ă  lui, il se sentait comment dire, un homme heureux, comblĂ©. Pour l’une des toutes premiĂšres fois, il se sentait Ă  sa place, Ă  l’endroit mĂȘme ou il devait ĂȘtre, Ă  la seconde ou il le fallait. Ces traits s’étaient apaisĂ©s. Lentement, il se mit devant Ines, lui caressa dĂ©licatement le visage, sorti comme par magie, la plume cachĂ© dans la tunique d’Ines, lui accrocha dans les cheveux la parure. "C’est un cadeau de mon bankai et de as sa bĂ©nĂ©diction, cela signifie aussi une chose importante. Je sais que je suis quelqu’un comment dire de instable, mais mon cƓur, il n’y a qu’une personne qui Ă  rĂ©ussit Ă  le prendre, et cette personne c’est toi. A chaque fois que je me trouve devant une fille, je me sens attirĂ© vers elle, aussi laide sois elle, soit dit en passant. Bref, je vais essayer de m’amĂ©liorer par amour pour toi mais ce n’est pas gagner." En venant de dire cela, il avait certainement tout cassĂ©, mais il l’aimait trop pour la trahir, et une petite dĂ©ception valait certainement mieux qu’une grande claque. Qu’avait elle vu comme qualitĂ©s en lui? Un homme prĂȘt Ă  mourir pour sa compagnie si c’était pour les protĂ©ger, un homme sĂ©vĂšre mais juste avec ces hommes, ou sa bontĂ© d'Ăąme? Il avait perdu sa sƓur, c’est vrai, mais Ă  prĂ©sent, il allait pouvoir chĂ©rir la femme qu’il aimait du plus profond de son ils passĂšrent dans la porte les ramenant Ă  la Soul Society. Il dĂ©fiait du regard toute personne ayant un peu trop l’envie de passer quatriĂšme siĂšge tout commeceux qui regardait d’un Ɠil un peu trop dragueur celle qu’il l’aimait. Peu Ă  peu, il monta dans l’immense bĂątisse, alors qu’il traversait les sombres couloirs, il arriva devant une porte fermĂ©, surveillĂ© par deux gardes. "Sortez le shinigami qui Ă  fait des misĂšres au patron de sa retraite messieurs, et convoquer de suite ce civil dans mon bureau. Lorsque le capitaine n’est pas disponible pour des conflits de ce genre, c’est au lieutenant de les rĂ©aliser, et si celle-ci n’est pas prĂ©sente au troisiĂšme siĂšge d’officier la rĂ©union."Un temps passa, Tempa aurait adorĂ© prendre ce temps en intimitĂ© mais, si il faisait ceci, il risquait de ne plus ĂȘtre objectif. Aussi, prit il son air le plus dĂ©tachĂ©, le plus polaire, le plus serein dĂ©s lors qu’il fut dans la vertu des pouvoirs qui me sont confĂ©rĂ© de maniĂšre exceptionnelle , et en tant que tĂ©moin de cette rĂ©union, puis en tant que conseillĂšre, Dame Watanabe me donnera Ă©galement son avis sur l’affaire. Le shinigami en question avait Ă©tĂ© placĂ© dans une cellule qui d’habitude servait de remise. Pour l’occasion, elle avait servit de cellule. Car, on se devait de rĂ©glĂ© cette affaire en discrĂ©tion sans en mĂȘler les autres compagnies. Le prisonnier et le gĂ©rant de l’établissement furent introduits dans la grande salle. -GĂ©rant, vous avez eut votre Ă©tablissement ravagĂ© de l’intĂ©rieur,c’est cela mĂȘme ? -"Mes clients ne reviendront pas dans un taudis pareil. Je rĂ©clame donc un nouveau bar Ă  sakĂ©, une glace, des tables, chaises, et une belle glace. De plus, je souhaite, que cet homme soit dĂ©mis de ces fonctions et de tous ces objets de valeur, notamment de son katana."Tempa regarda ensuite le shinigami en question. Il ne se souvenait pas vraiment de lui, il faut dire que les siĂšges infĂ©rieurs Ă  quinze se ressemblaient tant, mis Ă  part Sistia que l’on n’en faisait plus attention. Sa dĂ©fense se limitait Ă  je m’excuse messieurs, mais j’ai aucun remord, j’avais certes, un poil trop bus mais la bagarre Ă©taient gĂ©nĂ©rale. Et si, ce n’était pas moi, c’était d’autre qui m’aurait plantĂ© un de leur couteau. Tempa n’avait pas tout dĂ©voilĂ© aux deux partis en avait regardĂ© le dossier du shinigami. L’homme Ă©tait un pauvre type, un peu trop bagarreur dans l’ñme et surtout un homme rongĂ© par l’alcool. Apparemment, il devait faire un sevrage mais le repoussait toujours Ă  une Ă©chĂ©ance future quoi qu'il en soit, il Ă©tait hors de question de confisquer le katana Ă  l'homme. Il regarda ensuite le dossier du gĂ©rant du bar. Puis dĂ©clara. A ce que je vois, votre enseigne n’a pas vraiment une bonne rĂ©putation, et vous ĂȘtes plutĂŽt sur le point de fermer monsieur. Votre Ă©tablissement avait Ă©tĂ© jugĂ© invivable et dĂ©clarer comme dangereux pour la sociĂ©tĂ©. Quand Ă  votre clientĂšle, elle n’accueille en gĂ©nĂ©ral pas les gens de bonne qualitĂ©. C’était un constat froid, impartial comme la justice. Quand Ă  vous, soldat, votre attitude dans cet Ă©tablissement, ou mĂȘme la raison qui vous a poussĂ© Ă  y mettre les pieds en tant que client, est indigne de votre montra les deux dossiers Ă  la belle Ines, qui dans cet enfer administratif reprĂ©sentait presque l’humanitĂ©, ou du moins le conseil sage des je vous prie de sortir de la salle, le temps que Dame Watanabe et moi-mĂȘme dĂ©cidions du sort de cette affaire. Les gardes avaient fait sortirent les deux parties en prĂ©sences et les avaient placĂ© dans deux salles diffĂ©rentes afin qu’il ne se parle pas ni ne s’affronte. Une fois seul avec sa femme, Tempa Ă©mit un soupir de soulagement. Il caressa la main d’ines, puis l’a porta Ă  ces lĂšvres. Peu Ă  peu, ces lĂšvres remontĂšrent sur le bras puis sur l’épaule de la jeune femme. Il poussa l’hardiesse jusque dans le bas du cou, cachĂ© par la belle chevelure Ă©bĂšne, puis il lui rĂ©alisa un suçon qui, il l’espĂ©rait lui en donnerai de doux frissons. fiouuuuuuuuuuuu J’en pouvais plus de ces deux lĂ . Tu en pense quoi? Il parlait autant de cet affaire que du plaisir qu'il avait occasionnĂ© et qui avait prit sa... rit puis enchaĂźna en plaisantant c’est lĂ  que l’on plaint le capitaine hein mon aimĂ©e ». InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Mer 11 Nov - 2352 InĂȘs fit un doux sourire et susurra;InĂȘs"Parfois quand je m'entraine a essayer d'atteindre le bankaĂŻ je deviens un peu volage et je crois que je pourrais comprendre tout a fait ce que vous faites et je vous aime malgrĂ© ce drĂŽle de comportement que vous puisez avoir."AprĂšs l'avoir embrassĂ© de toute la tendresse qu'elle Ă©prouvait pour son supĂ©rieur,ils franchirent ensemble la porte qui conduisait a la leur arrivĂ©e,quelques regards gĂȘnants leur furent accordĂ©s il Ă©tait clair qu'ils n'y s'attendaient pas enfin c'est ce que pensa la quatriĂšme siĂšge qui tira un trait sur cette histoire car pour le moment ils avaient des choses a sĂ»r aprĂšs avoir attendu que les gardes se dĂ©cident a faire confiance au deux membres de la dixiĂšme Tempa la prĂ©senta,en signe de respect elle fit une rĂ©vĂ©renceinĂȘs est respectueuse envers tout ĂȘtre,hollow,arrancar et mĂȘme Aizen.En entendant le jugement de son supĂ©rieur,InĂȘs avait un peu des sueurs froides,ces hommes Ă©taient si mauvais que le quatriĂšme siĂšge qui avait tuĂ© de nombreux hollows se sentait comme un les dossiers que son petit-ami lui avait passĂ©,InĂȘs se permit de jeter un oeil sur les documents et apparemment ce gĂ©rant n'Ă©tait pas un pour InĂȘs le shinigami ne devrait absolument pas se retrouver dans cette piĂšce par hasard donc elle conclut qu'elle ne devrait avoir aucune pour son compagnon d'armes ni pour la pauvre Ăąme qu'Ă©tait le voyant les deux hommes ĂȘtre sĂ©parĂ©s et emmenĂ©s dans des salles diffĂ©rentes,InĂȘs grogna,elle n'aimait pas qu'on se batte pour des broutilles de ce genre elle trouve Aizen plus intĂ©ressant,gaspiller autant d'Ă©nergie,de temps et de force dans un combat a la place de l'utiliser a faire le bien rendait InĂȘs en que son homme Ă©tait lĂ ,d'ailleurs celui-ci se sentait de meilleure humeur seul avec elle plutĂŽt qu'ĂȘtre avec ces drĂŽles d' sentant que Tempa l'embrassait sa main puis son bras ensuite le cou pour finir par laisser la magnifique trace d'un suçon qui en passant lui avait fait par lui arracher un rougissement digne d'une tomate ainsi qu'une drĂŽle de sensation montait en elle,un peu comme de l'Ă©lectricitĂ© qui montait en elle a toute trouve qu'aucun de ces hommes mĂ©ritent d'ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme des mĂ©ritent un chĂątiment pour des actes aussi ridicules et aussi tu est toujours aussi douĂ© pour me dĂ©guiser en tomate."La brunette dĂ©signa ses joues rouges impossibles a ne pas me demande comme Hitsugaya-taĂŻsho et Matsumoto-fukutaĂŻsho peuvent supporter des choses pareilles." Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Jeu 12 Nov - 206 Tempa avait prit sa dĂ©cision. Tu as sans doute raison. Mais en chĂątiant d’un trop gros coĂ»t ce soldat, nous ne faisons pas honneur, Ă  notre capitaine. AprĂšs tout, ce doit ĂȘtre lui qui Ă  dĂ©cider de l’embauche de cet homme, aussi par respect pour nos supĂ©rieur, nous ne pouvons que proposer une peine, alternative, et ce sera au capitaine d’en juger. Sa tĂąche n’en sera ainsi que plus viens te blottir contre moi douce amie que je puisse distinguer au mieux ton joli visage et que nul autre que moi n’aperçoive ce fabuleux trĂ©sor. Seul toi, peu me dire si je suis douĂ© pour te dĂ©guiser entomate, mais je dois dire que je trouve ça attendrissant. Devant les deux partis, Tempa Ă©crivit un manuscrit en trois exemplaires qu’il lut tout haut. Nous autres Ines Watanabe et Tempa Chakam dĂ©claront sur l’honneur avoir Ă©coutĂ© en toute impartialitĂ© les deux partis avant d’avoir dĂ©cidĂ© de l’éventuelconduite Ă  tenir en cas d’absence de notre capitaine. Le vingt septiĂšme siĂšge de la dixiĂšme compagnie Ă  rĂ©aliser nombre de dĂ©gĂąts dans l’établissement de la partie adverse. Tout porte Ă  croire, que l’homme s’est dĂ©fendu afin de ne pas succomber sous le poids de ces ennemis. La bataille prit rapidement fin, au vu des nombreux civils Ă  terre. Cependant, l’établissement avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© insalubre et dangereux et devait ĂȘtre fermĂ© la veille au soir de la dite bagarre. En consĂ©quence de quoi, nous autres titulaires de notre capitaine, rĂ©clamons pour le soldat en question, un avertissement suivit d’intĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©raux qui aideront la compagnie Ă  avancer ainsi qu’un sevrage immĂ©diat de son addiction. Quand Ă  l’aubergiste, il n’est pas dans notre juridiction,il nous est donc impossible de le sanctionner comme il se doit. Mais au vu de la situation, il ne lui sera versĂ© aucune indemnitĂ© si ce n’est peut ĂȘtre une aide physique de la partie adverse pour la rĂ©paration du mobilier. La prĂ©sente ne sera valable que si notre capitaine est absent ou dans une durĂ©e de trente jours complet Ă  datĂ© de ce jour suivit de la signature des troisiĂšmes et quatriĂšme siĂšges ainsi que des deux parties pesta comme un damnĂ© mais qu’importe. L’affaire Ă©tait close. La journĂ©e touchait Ă  sa fin. Mais, pour Tempa, le temps ne s’écoulait plus. Il regarda attendricelle qui dĂ©sormais partageait sa vie. Il s’attarda sur le fourreau et le katana d’Ines. Le sabre Ă©tait beau mĂȘme sous sa forme scellĂ©. Il s’harmonisait bien avec le physique d’Ines. La belle dans ces bras, il l’emmena dans sa chambre, seul endroit, ou il ne risquait pas de voir cette peste de Sistia. Dit moi, c’est une impression ou plus nous restons ensemble et plus nous avons besoin l’un de l’autre, et que l’amour grandit petit Ă  petit pour devenir un vĂ©ritable volcan? Tu sais ce qui me ferait plaisir ma douce ? C’est que tu chante quelque chose juste pour toi et moi. J’ai toujours aimĂ© entendre ta voix percer les tristes murs de la compagnie. Alors qu’il disait cela, au dehors un groupe de filles Shinigami passĂšrent, ou bien peut Ă©tait ce des Ă©tudiantes qui venaient voir comment s’organisait une compagnie avant de s’y engagĂ©. Avant qu’Ines ne commença Ă  faire percer des sons de sa voix, il se mit Ă  leur faire de grands signes Ă  travers la fenĂȘtre mais malheureusement, elles ne l’avaient pas aperçut. Il commença Ă  ouvrir la fenĂȘtre et faillit mĂȘme par en tomber tellement il bougeait comme un regarda Ines, un peu gĂȘnĂ©, et lui dit sans y croire qu’il avait ouvert la fenĂȘtre par ce qu’il avait trop chaud. Trop chaud ? le menteur, il grelottait de froid mais bon, un homme veut toujours se montrer fort que voulez vous et puis surtout il avait l’air ridiculeIl se coucha Ă  proximitĂ© d’Ines, dĂ©esse Ă  ces yeux oh combien dĂ©sirable. Un long temps passa, et Tempa avait recouvrit son sĂ©rieux, enfin, pas pour longtemps. Au bout de quelque instant, il se rendit compte que la robe d’Ines Ă©tait lĂ©gĂšrement fendue. Il regarda fugitivement dans l’espoir de voir la culotte de sa charmante Ines. N’y arrivant pas, il se re-concentra sur le chant magique qu’Ines lui accordait et caressa les jambes la jeune fille tout en posant sa tĂȘte contre Ines Mi sirĂšne, mi ange qui donnait nombres d’apaisements au troisiĂšme homme le plus puissant de la compagnie. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Sam 14 Nov - 2323 InĂȘs grogna de plaisir comme mon grognon de chat,tu lui fais une caresse et le nain ose grogner,elle ne voyait pas comment elle pouvait ĂȘtre jolie aussi rouge qu'une dire que cela ne faisait que quelques heures qu'ils Ă©taient ensemble et dĂ©jĂ  aussi le gĂ©rant,la quatriĂšme siĂšge de la dixiĂšme division dĂ©montrait un regard las et une position trop langoureuse puisque aprĂšs qu'il aie finit de pester,il n'arrĂȘtait pas de la quant a elle,n'arrĂȘtait pas d'insulter de le gĂ©rant qui osait poser les yeux sur sa petite protĂ©gĂ©e car pour Esperanza,InĂȘs Ă©tait comme sa l'emmena dans une chambre,la chambre de son n'est pas une impression c'est un fait bien par la voix grave et a la fois si douce de Tempa,InĂȘs ne put s'empĂȘcher de suivait son homme des yeux en de Tempa Ă©tait plus fort que lui,mais cela n'empĂȘchait pas a la maĂźtresse des eaux d'Ă©largir son sourire puisqu'elle connaissait la ne s'Ă©tait pas arrĂȘtĂ©e de chanter,mĂȘme pas quand celui-ci se coucha prĂšs d'elle,malgrĂ© le caresses qui la rendaient faiblement rouge et tremblante,InĂȘs termina son chant sans faire une seule fausse c'est en riant doucement,qu'elle embrassa Tempa avec douceur,lĂ©gĂšretĂ© et surtout avec seulement que je suis tombĂ©e amoureuse de toi depuis que je t'ai vu pour la premiĂšre fois ? Tempa shakamShinigami de la 10Ăšme division Nombre de messages 306Age 35Localisation lorraineDate d'inscription 21/01/2009ConnaissancesRace shinigamisConnaissance Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Dim 22 Nov - 1501 Plus que de donner, recevoir un baiser, gratuit, lĂ©ger et avec tout la douceur et l’amour d’Ines Ă©tait pour Tempa quelque chose de fabuleux. PlutĂŽt que de se mettre Ă  cĂŽtĂ© de celle qui partageait Ă  prĂ©sent sa chambre, il se plaça juste Ă  ces cotĂ©s, c’était la place qu’il prĂ©fĂ©rait prendre. Il caressa de façon appuyĂ© certain endroit du corps d’ines, et d’autre endroit avec toute la lĂ©gĂšretĂ© qu’il pouvait. Il noya son nez dans la belle chevelure tout en enserrant de ces bras la belle. Ce parfum, il l’ Ines. Dit moi, je suis sourd Ă  ce que dit le zampakuto des autres, que dit le tien Ă  mon sujet ? "Il ne se relĂąchait pas, Ă©tait toujours vigilant Ă  ce que nul ne puisse l’attaquer par surprise. Peu Ă  peu, heures aprĂšs heures, Tempa plongea dans les tĂ©nĂšbres des songes. Brusquement, il se ratatina sur lui-mĂȘme comme si un adversaire invisible le transperçait de part en part, puis il se cambra tel un possĂ©dĂ© dans les mauvais films que l’on voit de temps en temps Ă  la tĂ©lĂ© ou dans les jeux vidĂ©os. C’est alors, que sa bouche perça le silence de la chambre et atteignit les cieux si indiffĂ©rents au sort de chacun, c’était en mĂȘme temps, empli de tristesse, de terreur et d’inhumanitĂ©. Pourquoi y avait il un cri si poignant, pourquoi Ă©tait il si emplit de peur? Un homme comme Kempachi aurait clairement jouit de la situation si elle devenait rĂ©elle. Ces lĂšvres murmurĂšrent la phrase de libĂ©ration tandis que son main cherchait aveuglĂ©ment son Ă©pĂ©e fantĂŽme sans vraiment la trouver, ses yeux s’était ouvert en parfait somnambule mais ne voyait rien. Il fallait s’en sortir, il fallait trouver un Ă©chappatoire. Le dĂ©mon en Tempa se rĂ©veillait, demandait son lot de sang mĂȘme dans les tous 
mourir", fut les paroles qu’il dit tout haut. Alors il se jeta sur la masse de hollows qui apparaissait dans ces rĂȘves. Mais pour la premiĂšre fois de sa vie, il pleura tout en Ă©tant une bĂȘte furieuse, massacrant l’énorme armĂ©e qui Ă©tait devant lui. Il voyait tout ces amis, il voyait Ines, il voyait, il voyait Toshiro, il voyait Matsumoto et Byakuya, et mĂȘme sa sƓur qu’il n’avait jamais revu dans le monde Ă©taient Ă  terre et inerte. Beaucoup de hollow furent massacrĂ© sous sa lame. Puis lorsque le combat fut fini, il voyait un numĂ©ro un sur la main d’un des ennemis devantlui. Avant qu’il ait pu l’attaquer, trois balles le figĂšrent autour d’une vingtaine d’hollows. MuĂ© par une haine invincible, muĂ© par un amour d’une redoutable tristesse, il se rĂ©gĂ©nĂ©ra entiĂšrement grĂące Ă  son shikai, puis autant la bĂȘte que lui-mĂȘme, invoquĂšrent le griffon cĂ©leste. Des colonnes d’éclairs attaquĂšrent l’ombre qui portait le numĂ©ro 1, formant une prison autour de lui. L’épĂ©e se figea dans le sol, un Ă©clair foudroyant percuta la cible de plein fouet, avec la puissance de la foudre de Zeus. L’ombre chuta et dĂ©jĂ  deux boules d’énergie fusĂšrent vers la cible avec derriĂšre eeux cachĂ© dans la lumiĂšre le griffon et Tempa. La chair fut tranchĂ©e, le blanc du numĂ©ro 1 devint rouge sang. Tempa ne se suffisait pas d’un coup d’épĂ©e pour tuer un arrancar, de plus celui-ci Ă©tait encore vivant. Aussi mit il toute sa puissance et piqua en flĂšche sur l’ennemi son Ă©pĂ©e percuta la lame de son adversaire mais le griffon avait chargĂ© de l’autre cĂŽtĂ©, puis le troisiĂšme siĂšge vint Ă  trancher son Ă©go, il fit un coup de genou qui fit suffoquer l’ombrecar une Ă©paisse capuche avait masquĂ© l’arrancar. Son coude vint percuter de la plus puissante force le cou de son adversaire le faisant s’agenouiller au pied du troisiĂšme siĂšge. Le bourreau avait prit la place du troisiĂšme siĂšge. Tous, il allait ĂȘtre tous vengĂ© 
 Ă  dĂ©faut d’avoir pus les lame s’abattit sur le coup de son adversaire, la mort prit dans ces mains l’arrancar. Le cauchemar prit fin Ă  cet instant. En sueur, en agitation extrĂȘme, le troisiĂšme siĂšge se contorsionna pour venir dans les bras de sa bien aimĂ©e. De longues minutes passĂšrent il reprenait son souffle, s’apaisait. Alors qu’il allait se rendormir, un papillon de l’enfer vint l’avertir que le capitaine demandait une rĂ©union des membres de sa compagnie. Il se leva, attendit devant la fenĂȘtre sa femme, et lorsqu’elle fut prĂȘte, ce fut ensemble qu’ils y allĂšrent. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] les portes sous les Ă©toiles [PV d 'Ines et Tempa] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Fin de cours.....ouf ! avec TEmpa» Pour retrouver la lumiĂšre [Tempa]» Je serais toujours lĂ  pour toi [Tempa]» [ScĂ©nario Rukon Pagai PV de Mayuri-Guts et Tempa]» Chasse aux dĂ©mons, ceux prĂ©sents et ceux passĂ© Pv TempaPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumBleach Highway PREMIERE SAISONSauter vers Il y a des moments oĂč l’on ne peut s’empĂȘcher de se mĂ©fier des actions de notre partenaire, surtout si ces actions sont quelque chose qu’il ne montre pas habituellement lorsque vous ĂȘtes dans les parages. Les femmes sont prĂȘtes Ă  faire presque n’importe quoi pour savoir ce que fait leur petit ami, jusqu’à espionner le tĂ©lĂ©phone de ce dernier. Vous vous demandez alors comment espionner un tĂ©lĂ©phone ? Heureusement, il existe des moyens d’espionner le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami sans le toucher Utiliser un logiciel espion fiable pour espionner le tĂ©lĂ©phone d’une personne. Pour utiliser un site d’espionnage gratuit. Croyez-le ou non, certaines de ces applications peuvent Ă©galement activer le microphone du tĂ©lĂ©phone Ă  distance et vous permettre d’entendre ce que fait votre proche. Si vous recherchez une application fiable pour, espionner un portable sans le toucher, le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami, mSpy est sans aucun doute l’une des meilleures options. Il s’agit d’une excellente application de suivi de couple qui vous permet de surveiller le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami et toutes ses activitĂ©s liĂ©es au tĂ©lĂ©phone sans avoir accĂšs Ă  son tĂ©lĂ©phone. L’application reste complĂštement cachĂ©e en arriĂšre-plan , elle ne sera donc pas facile Ă  dĂ©tecter. Elle collecte secrĂštement les donnĂ©es du tĂ©lĂ©phone, puis les tĂ©lĂ©charge sur le site Web de mSpy, oĂč vous pouvez les consulter en vous connectant Ă  votre compte. Les informations stockĂ©es Ă©tant cryptĂ©es, vous n’avez pas Ă  craindre que d’autres personnes y aient accĂšs. De plus, l’application est disponible sur les appareils iOS et Android. Vous pouvez donc ĂȘtre tranquille en sachant que vous pouvez espionner le tĂ©lĂ©phone portable de votre petit ami, quelle que soit sa plateforme. CaractĂ©ristiques de mSpy L’une des principales raisons de la popularitĂ© de mSpy est le fait qu’il est livrĂ© avec plusieurs fonctionnalitĂ©s inhabituelles conçues pour rendre l’espionnage tĂ©lĂ©phonique beaucoup plus facile. Voyons quelles sont ces caractĂ©ristiques Journaux d’appels Suivi GPS et gĂ©ofencing Affichage des fichiers multimĂ©dias Affichage des applications installĂ©es Surveillance de l’activitĂ© des mĂ©dias sociaux Surveillance et blocage de l’historique Web Enregistrement du clavier. Comment synchroniser le tĂ©lĂ©phone de mon petit ami avec le mien Android & iOS mSpy peut ĂȘtre installĂ© sur les plateformes Android et iOS. Cependant, vous devez tĂ©lĂ©charger et installer une version distincte pour assurer la compatibilitĂ© avec votre tĂ©lĂ©phone cible. → Pour Android, le processus d’installation peut ĂȘtre aussi simple que l’installation d’une application typique tĂ©lĂ©chargĂ©e via Google Playstore. → Pour les appareils iOS, vous devez d’abord jailbreaker l’appareil si vous voulez accĂ©der Ă  toutes les fonctionnalitĂ©s de mSpy. Vous pouvez toujours espionner le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami sans jailbreak, bien que les fonctionnalitĂ©s puissent ĂȘtre limitĂ©es. Espionnez l’appareil Android de votre petit ami Pour commencer Ă  espionner le tĂ©lĂ©phone Android de votre petit ami, vous devez d’abord avoir un accĂšs physique Ă  l’appareil. Étape 1 CrĂ©ez un compte et installez mSpy sur le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami. Une fois installĂ©e, l’application restera cachĂ©e, de sorte que votre petit ami ne se doutera de rien. Étape 2 AprĂšs cela, connectez-vous au site Web de mSpy en utilisant votre compte. Sur votre panneau de contrĂŽle, choisissez l’option Android. Étape 3 Vous pouvez alors commencer Ă  surveiller les activitĂ©s tĂ©lĂ©phoniques de votre petit ami quand vous le souhaitez. Étape 4 Visitez votre panneau de contrĂŽle de temps en temps. Espionnez l’appareil iOS de votre petit ami Vous avez deux options lorsqu’il s’agit d’installer mSpy sur un appareil iOS 1 Avec le jailbreak de l’appareil iOS 2 Sans le jailbreaker. Jailbreak de l’appareil cible Les nouvelles versions d’iOS n’ont pas encore de version jailbreakĂ©e. Cela signifie que vous ne pouvez utiliser cette option que pour les appareils iOS Ă  partir de la version 7 jusqu’à la Étape 1 Pour installer l’application, vous devez jailbreaker l’iPhone cible. Étape 2 TĂ©lĂ©chargez l’application mSpy et installez-la. Étape 3 Allez dans le panneau de configuration de votre mSpy puis choisissez l’iPhone pour commencer le suivi. Par rapport aux appareils Android, cette mĂ©thode prend environ 15 minutes. Sans jailbreak de l’appareil cible Vous aurez besoin de ses identifiants iCloud pour procĂ©der Ă  l’installation sans jailbreaking de son appareil. Étape 1 tĂ©lĂ©chargez l’application et installez-la sur le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami. Étape 2 Connectez-vous Ă  votre panneau de contrĂŽle pour commencer le suivi. Étape 3 Activez la sauvegarde de l’iPhone > allez dans les RĂ©glages de l’appareil cible > activez l’option Sauvegarde iCloud > allez dans Sauvegarde > tapez sur Sauvegarder maintenant. Avantages et inconvĂ©nients Peut Ă©galement fonctionner avec les ordinateurs de bureau sous Mac et Windows. Permet la surveillance de 9 applications de messagerie diffĂ©rentes telles que Snapchat, Facebook, etc. Vous permet de surveiller en dĂ©tail l’activitĂ© tĂ©lĂ©phonique de votre petit ami. Fonctionne silencieusement en arriĂšre-plan sans que votre petit ami ne le sache jamais. Ne fonctionne pas sur les appareils Symbian ou Blackberry. Ne dispose pas de fonctions de surveillance avancĂ©es comme l’enregistrement des appels ou l’activation de la camĂ©ra secrĂšte. RĂ©sumĂ© IndĂ©pendamment de ses inconvĂ©nients, les avantages de l’utilisation de mSpy peuvent facilement l’emporter sur tous les autres. Il s’agit d’une application pratique qui vous permet d’espionner le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami sans qu’il ne le sache. Elle est trĂšs efficace, surtout si vous vous mĂ©fiez des agissements de votre petit ami. Le moyen le plus simple d’espionner gratuitement le tĂ©lĂ©phone de son petit ami sans le toucher Les services offerts par mSpy ne sont pas gratuits. Par consĂ©quent, si vous ne voulez pas dĂ©penser de l’argent supplĂ©mentaire juste pour surveiller l’activitĂ© tĂ©lĂ©phonique de votre petit ami, vous pouvez opter pour des sites Web en ligne qui offrent un tel service. En fait, l’utilisation de ces sites Web est le moyen le plus simple d’espionner le tĂ©lĂ©phone de votre petit ami sans y toucher et gratuitement. Cependant, les sites Web gratuits comportent de nombreux risques. Plus particuliĂšrement, vous risquez de mettre en pĂ©ril la sĂ©curitĂ© de vos appareils et des donnĂ©es de votre petit ami. Voici quelques-uns des risques associĂ©s que vous pourriez encourir en utilisant ces sites Web gratuits d’espionnage tĂ©lĂ©phonique Partage d’informations – Étant donnĂ© que ces sites vous demanderont de fournir des informations sur votre cible, cela pourrait signifier que vous transmettez sans le savoir des informations sensibles Ă  un tiers que vous ne connaissez mĂȘme pas. La plupart d’entre eux peuvent Ă©galement fouiller dans ces informations pour trouver d’éventuels exploits. Partage de la localisation – Bien sĂ»r, le partage de la localisation est une fonction courante des applications de suivi des tĂ©lĂ©phones, mais si vous utilisez un service gratuit, cela peut signifier que vous mettez en danger la localisation de votre petit ami. Logiciels malveillants – Un grand nombre de ces sites Web gratuits peuvent Ă©galement vous demander de tĂ©lĂ©charger un logiciel susceptible de contenir des logiciels malveillants. En consĂ©quence, vous risquez de perdre toutes les informations sensibles de votre appareil cible. Bien que ces services soient gratuits, ce ne sont pas les meilleures options en matiĂšre de sĂ©curitĂ©. Que faire si vous surprenez votre petit ami en train de vous tromper ? S’il s’avĂšre que vous avez surpris votre partenaire en train de vous tromper, voici quelques mesures Ă  prendre 1. Respirez profondĂ©ment avant d’affronter votre partenaire. Il est facile de tomber dans le piĂšge de lui crier dessus, mais cela ne fera qu’empirer les choses. Vous pouvez prendre une douche, pleurer tout seul ou vous accorder quelques instants pour digĂ©rer tout ce que vous venez de dĂ©couvrir. 2. Parlez avec votre petit ami. À ce stade, vous voulez ĂȘtre sĂ»re qu’il vous a vraiment trompĂ©e. Heureusement, avec une application de suivi, vous pouvez avoir des preuves de sa liaison secrĂšte. 3. Demandez des rĂ©ponses. Vous pouvez lui demander pourquoi il a fait ça, etc. Mais autant que possible, essayez de garder l’esprit ouvert. 4. DĂ©cidez s’il s’agit vraiment d’une rupture. Vous devez dĂ©cider si votre relation vaut encore la peine d’ĂȘtre sauvĂ©e ou non. Si c’est le cas, il est prĂ©fĂ©rable de demander conseil Ă  un thĂ©rapeute professionnel avant de prendre une dĂ©cision finale. 5. Donnez-vous le temps de guĂ©rir. Si jamais vous avez rompu tous les deux, il est temps de vous donner du temps pour guĂ©rir. Puisque vous lui avez trĂšs probablement rĂ©vĂ©lĂ© que vous aviez installĂ© une application de suivi sur son tĂ©lĂ©phone, vous devez vous assurer de la dĂ©sinstaller. Ainsi, vous n’aurez plus Ă  vous soucier de ses allĂ©es et venues depuis que vous n’ĂȘtes plus ensemble. Anjelica a prĂšs de 10 ans d'expĂ©rience dans le domaine du suivi des tĂ©lĂ©phones portables, de la surveillance en ligne et de la cybersĂ©curitĂ©. En tant que propriĂ©taire d'entreprise, elle a cherchĂ© des moyens efficaces de surveiller ses employĂ©s, ce qui lui a permis d'acquĂ©rir de nombreuses connaissances pratiques. Son dĂ©vouement Ă  l'apprentissage et aux tests sur les applications d'espionnage, les menaces de cybersĂ©curitĂ©, les attaques de piratage contribuent vĂ©ritablement Ă  l'Ă©laboration d'un contenu actualisĂ© sur Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Ven 9 Avr - 013 Quelle sale journĂ©e... Enfin, elle venait Ă  peine de commencer, et pour James, c'Ă©tait dĂ©jĂ  horrible. LevĂ© Ă  7 heures par un rĂ©veil trĂšs capricieux, le grand brun se jeta sous une bonne douche chaude, sous peine de se rendormir instantanĂ©ment. Ensuite, il batailla pendant une petite demie heures avec son armoire et enfila finalement un jean moulant, ainsi qu'une chemise Ă  carreau rouge Ă  laquelle il laissa deux boutons ouvert, et retroussa les manches jusqu'aux coudes il faisait bon dehors, et heureusement. AprĂšs s'ĂȘtre coiffĂ©, il compris enfin qu'il Ă©tait en retard... Oh et puis, rien a faire... Toute façon, pour une heure de mathĂ©matiques, parce que sois disant c'est important... Il prĂ©fĂ©rait faire l'innocent en retard pour le prit sa sacoche sans mĂȘme vĂ©rifiĂ© son contenu et partit. A pied. Parce qu'il fallait arrivĂ© en retard, ou mĂȘme ne pas arriver du tout, autant le faire bien. Pour une fois qu'il avait dĂ©cidĂ© de... Ne pas ĂȘtre sĂ©rieux. Il se rendit alors Ă  l'universitĂ©, le pas lent, les yeux posĂ©s sur le paysage, et tout ce qui l'entourait. Dommage, il avait oubliĂ© son appareil photo. Enfin bref. Il venait de franchir les portes de l'Ă©tablissement, de bonne humeur, il avait dĂ©cidĂ© d'ĂȘtre cool » aujourd'hui. D'habitude, il Ă©tait plutĂŽt du genre retirĂ© du monde, il ne cherchait rien ni personne et se contentait de venir ici pour suivre ses cours, il vivait dans sa bulle, et peu de monde arrivait Ă  la percer. Joyeux, il observait les gens, un petit sourire malicieux sur les lĂšvres. ForcĂ©ment, il fallait que l'une des filles passent devant lui avec l'un de ses sourires tout bĂȘte tout naĂŻf, c'Ă©tait assez flatteur, il l'a trouvait jolie d'ailleurs, et se contenta de lui faire une sorte de clin d'Ɠil, le genre de truc qui pourrait le faire passer pour un macho sĂ©ducteur impitoyable... Son regard resta alors sur la jeune fille de passage alors qu'il continuait de marcher sans faire attention Ă  ses pas. Il se rĂ©veilla juste quand il remarqua qu'il venait de se cogner contre quelqu'un. Ou plutĂŽt, qu'il venait de cogner quelqu'un. Par rĂ©flexe, il attrapa le bras de la personne qu'il n'avait pas encore identifiĂ©, par peur de la voir tomber. Quel imbĂ©cile il faisait... Il n'y avait pas grand monde dans les couloirs, et pourtant, il fallait qu'il dĂ©gomme quelqu'un. - Eh dĂ©solĂ©.. Vraiment je n'ai pas fais...Son regard se posa alors sur un visage qui lui semblait familier. C'Ă©tait ce jeune homme qu'il avait dĂ©jĂ  entendu jouer, il Ă©tait littĂ©ralement tombĂ© en admiration face Ă  la façon de jouer de ce mec. Et puis, il le trouvait assez mystĂ©rieux, et mignon au passage, et ça il apprĂ©ciait. Ayant l'Ăąme d'un vrai snobe... D'ailleurs, il avait dĂ©jĂ  pensĂ© vouloir en faire une connaissance, et l'aborder... Mais il Ă©tait plutĂŽt timide, par moment... Il prĂ©fĂ©rait l'observĂ© quand il l'apercevait, et se dire qu'il avait l'air sympathique, et qu'il jouait magnifiquement bien. - Attention... Heum, je ne t'ai pas fais mal ?Il afficha spontanĂ©ment un sourire amical, ce petit sourire si innocent et ravageur dont il avait le secret. Il prĂ©fĂ©ra le tutoyer tout de suite, plutĂŽt que de crĂ©e un malaise inutile. Il remarqua alors qu'il ne lui avait pas lĂącher le bras et se sentit tout Ă  coup gĂȘnĂ©. Une petite moue s'afficha sur son visage et il lĂącha immĂ©diatement le bras du jeune homme...- DĂ©solĂ©, j'ai eu peur de te faire tomber...Étrange d'ailleurs qu'il ai fait ça, habituellement, il n'en a rien Ă  faire. Peut ĂȘtre un Ă©lan de bontĂ©, et de gentillesse. En tout cas, il Ă©tait content que cela tombe sur cet homme, peut ĂȘtre un pur hasard, ou le destin 
 ? InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Ven 9 Avr - 125 Une nouvelle journĂ©e de cours venait de se lever, c'est alors qu'il avait la flemme, Embry dĂ©cide de rester dans sa chambre, il avait besoin de ne plus trop penser Ă  quoi que ce soit, Ă  rester dans son lit, il Ă©tait six heures du matin, vous allez dire que va-t-il faire ? Bah tout simplement ranger la maison, parce que de toute façon sa mĂšre n'Ă©tait pas lĂ  et qu'il devait bien s'en occuper sinon sa mĂšre serait capable de demander Ă  l'une de ses tantes de venir s'installer ici et le jeune homme n'Ă©tait pas d'accord. Alors qu'il commence Ă  ranger, il va dans la cuisine, la vaisselle trainer depuis quelques jours, alors qu'il fait la vaisselle, il ne voit pas le temps dĂ©filait, c'est alors qu'il regarde sur l'horloge de la cuisine qu'il remarque qu'il Ă©tait passĂ© sept heures et qu'il allait ĂȘtre en retard, il se presse d'aller dans sa chambre de prendre des vĂȘtements et d'aller dans la salle de bain. Alors qu'il se dĂ©shabille et met toutes ses affaires au sale, le jeune homme va sous la douche, il passe environ une vingtaine de minutes et puis sort, il prend son caleçon et l'enfile, puis se regarde, comme il Ă©tait claquĂ©, il se devait de s'habiller comme un clown pour ne pas qu'on voit qu'il Ă©tait claquĂ©, alors il dĂ©cide de s'habiller de façon assez originale, alors qu'il se balade en caleçon chez lui, il va dans sa chambre, il prend un tee-shirt marron clair, avec un de ses gilets bleus foncĂ© en velours version barman qu'il aimait tant, un jean noir avec des coutures blanc, ensuite il va dans la salle de bain. Il venait de voir qu'il avait dĂ©jĂ  choisi ses affaires, mais ce n'Ă©tait pas grave, il les met de cĂŽtĂ© puis s'habille assez rapidement, il n'avait pas oubliĂ© qu'il Ă©tait en retard. Une fois habillĂ©, le jeune homme retourne dans sa chambre, va prĂȘt de son bureau, lĂ  oĂč Ă©tait toutes ses affaires, il prend son sac, puis aperçoit son collier, il l'attache puis prend ses lunettes bleues qu'il met sur son nez et ce dirige vers le salon, puis dĂ©cide de passer par la cuisine et de manger un petit prend une pomme, il avait dĂ©jĂ  mis ses pompes il Ă©tait dĂ©jĂ  prĂȘt Ă  partir, mais le jeune homme courageux comme pas deux, il va se dirige vers la Fac, c'Ă©tait l'une des meilleures choses qu'il aimait faire, il avait une voiture, mais il s'en servait que trĂšs rarement, alors qu'il arrive au carrefour, il remarque qu'il n'avait pas pris ses Ă©couteurs et son Ipod, il se tape gentiment la tĂȘte, mais il n'allait pas retourner en arriĂšre pour si peu, alors qu'il Ă©tait Ă  mi-chemin. Alors qu'il arrive devant les portes de la Fac, c'est un petit sourire qu'il affiche, en fait c'Ă©tait toujours la mĂȘme chose, il revoyait ses homophobes qui essayaient de le rabaissĂ©s dĂšs qu'il le pouvait, mais comme il avait de la rĂ©partie, il les casser aussi vite. En fait, tout le monde le jugĂ© sur son look, sur le fait qu'il ne se prenait pas au sĂ©rieux, c'Ă©tait sans doute parce qu'il aimait faire rire les autres et sans s'en apercevoir les gens rigolĂ©, c'Ă©tait sans doute un paris gagner alors qu'ils ne savaient pas que c'Ă©tait son but, enfin alors qu'il continuait sa route, le jeune homme ne faisait pas du tout attention Ă  ce qu'il se passait autour, alors qu'il passe par les couloirs, ceux qui avaient gĂ©nĂ©ralement beaucoup de monde. Mais par chance il n'y avait personne, il avait vu ce mec, le mec qu'il croisait que dans les couloirs, qui Ă©tait assez mignon, mais Embry n'osait pas l'abordait de peur de se faire traiter, il avait comme une habitude, on va dire qu'Ă  chaque fois qu'il abordait un mec dans la Fac, bah il se faisait traiter de tous les noms, alors du coup, il n'osait plus de tout faire le premier pas. Alors qu'il continuait d'avancer sans faire attention Ă  quoi que ce soit, ce mĂȘme mec, celui donc Embry avait eu un petit flash, le bouscule, parce qu'il Ă©tait trop en train de mater un mec, il allait perdre l'Ă©quilibre jusqu'Ă  ce qu'il sente qu'une main assez forte le retient, il lĂšve la tĂȘte et voit que c'Ă©tait le jeune homme. Au dĂ©but, Embry croyait que c'Ă©tait une blague qu'il avait mis en plan avec ses amis pour ce moquer de lui, alors au dĂ©but, il n'osait pas parler, mais quand il s'Ă©tait excusĂ© Emb' le n'est pas grave... Embry s'Ă©tait toujours cru comme le mec solitaire, que personne ne regarde, que personne n'Ă©coute, c'Ă©tait pour ça qu'il jouait de temps en temps dans la cour quand il y avait personne, ou alors dans la salle de musique, c'Ă©tait ses endroits prĂ©fĂ©rĂ©s, il avait beau ĂȘtre un intello, le jeune homme aimait se cultiver, faire du sport, ce n'Ă©tait pas trop dans le clichĂ©, du moins, pas trop, enfin faut le connaĂźtre pour savoir comment il l'Ă©tait, il le regarde encore et ça va, je ne vais pas m'Ă©vanouir, ou je n'es rien de casser. Il prenait cette situation un peu comme une scĂšne d'humour, il avait seulement peur qu'on le blesse de nouveau, c'Ă©tait sans doute qu'il devienne marrant » et qu'il ne montrait jamais ce qu'il ressentait, c'Ă©tait une chose que les gens n'aimaient pas chez lui, c'Ă©tait peut-ĂȘtre parce qu'il n'Ă©tait pas celons eux, pas assez franc, alors qu'en fait quand on ne le connait, il Ă©tait trĂšs franc et direct, quand il voulait quelque chose, il faisait tout pour l'avoir, il le regarde de nouveau, c'Ă©tait dingue, il avait passĂ© du temps Ă  le regarder, Ă  l'espionner du coin de l'oeil, mais lĂ , il venait de le pousser c'Ă©tait tellement bien. D'ailleurs il avait laissĂ© sa main sur mon bras, cela me faisait un sourire, voir mĂȘme mes joue rougir, le jeune homme Ă©tait trop timide, du moins il n'avait pas l'habitude qu'on fasse ce genre de geste Ă  son Ă©gard, alors qu'il se redresse et rĂ©cupĂšre ces lunette qui Ă©tait tombĂ©e, il le regarde et trĂšs gentil de ta ne savait pas trop ce qu'il devait faire, mais il ne voulait pas le voir partir, il sourit et sans le montrait il cherchait quelque chose Ă  lui dire et la seule chose que le jeune homme trouvait Ă©tait bien-sĂ»r une chose trĂšs stupide, mais malheureusement il le dit de suite. Alors, tu es nouveau ?Puis le regarde et se tape la tĂȘte je sais que ce n'est pas vrai. Je me prĂ©sente Embry Stenford et toi ?Une approche plus digne de Monsieur Stenford, il le regarde tout en attendant sa rĂ©ponse, en espĂ©rant qu'il ne le prend pas pour un dĂ©bile ou autre chose, il n'avait pas l'habitude que quelqu'un vient lui parler, disons que d'habitude les seules personnes qui viennent lui parler c'est ses cousines ou sa best, c'Ă©tait rare qu'un homme aussi beau que lui, vient vers lui, tout le monde savait son orientation sexuelles et avait peur qu'il les contamines. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Ven 9 Avr - 1630 James n'Ă©tait au courant de rien sur la rĂ©putation que s'Ă©tait faite cet homme. Et puis, mĂȘme si on lui en avait parlĂ©, ça n'aurait rien changĂ©. Il s'en fichait. Et n'aimait pas que les gens se mĂȘlent des affaires des autres. Et puis, qu'il soit gay, qu'est ce que ça change ? Toujours des Ă©tiquettes... Les gens ont rĂ©ellement peur de ceux qui sont diffĂ©rents de toute façon. Enfin bref, pour lui, il n'Ă©tait rien d'autre qu'un fabuleux musicien qui avait attirĂ© son attention. Par chance, aprĂšs la collision, il le retint par le bras avant de le voir tomber, Ă©vitant qu'il se fasse humilier par les rires de dizaines de singes idiots. AprĂšs s'ĂȘtre excusĂ©, James s'apprĂȘta Ă  recevoir un mauvais retour, normal quoi, il venait de le bousculer... Lui mĂȘme n'aurait pas apprĂ©ciĂ© qu'on lui fasse un truc Ce n'est pas Par chance, il avait bien rĂ©agi. Le sourire du grand brun s'accentua d'avantage, tendit qu'il restait la, plantĂ© comme une andouille. Il est vrai qu'a chaque fois qu'il avait remarquĂ© ce bonhomme, il Ă©tait... Seul. Pourquoi ? Il y avait pleins de monde ici, de toutes sortes, on peut forcĂ©ment y trouver des personnes avec lesquels passer du temps ! Ou peut ĂȘtre que c'Ă©tait voulu... Enfin, ce n'Ă©tait pas le moment de penser Ă  ça, et puis, ça ne le regardait garçon ajouta une petite dose d'humour, ce qui fit rire James. Bon, tant mieux, il l'avait bien prit. En tout cas, il est vrai que le hasard avait bien fait les choses... Depuis le temps qu'il essayait de lui adresser la parole pour lui dire Ă  tel point il jouait bien du piano. - C'est trĂšs gentil de ta Oh tu sais, ce n'est rien, c'est quand mĂȘme moi qui t'ai bousculĂ© !James lui adresse un sourire amical, montrant une derniĂšre fois son dĂ©sarroi quand Ă  cette petite bousculade. Puis il s'apprĂȘta Ă  partir. En fait, il avait peur de le dĂ©ranger. Peut ĂȘtre que celui ci allait en cours ? Il devait bien aller quelque part avant de se faire bousculer par ce grand bolide. - Alors, tu es nouveau ?AprĂšs un arrĂȘt, celui ci ajouta - DĂ©solĂ©, je sais que ce n'est pas vrai. Je me prĂ©sente Embry Stenford et toi ?James, qui Ă©tait dĂ©jĂ  prĂšs Ă  retourner on ne sait ou, peut ĂȘtre voir son professeur de MathĂ©matiques pour s'excuser s'arrĂȘta et reposa ses deux perles bleus sur l'homme, enfin, Embry. PrĂ©nom qu'il aimait d'ailleurs, ça change de l'ordinaire Ă  vrai dire. D'ailleurs, il avait remarquĂ© que celui ci semblait un peu gĂ©ner. Il n'y avait vraiment pas de Ne t'excuses pas, tu as raison, je suis arrivĂ© rĂ©cemment... Et disons que ça change de Londres ! EnchantĂ© alors Embry, moi c'est James tendit la main, pour serrer la sienne. Puis il repensa bien sur Ă  l'autre fois, quand il l'avait vu jouer derriĂšre son piano. Il ajouta alors, bien sur de lui - Je t'ai vu jouĂ© l'autre fois ! Tu te dĂ©brouilles vraiment bien ! Tu comptes faire carriĂšre dans le monde musical ?James tenait Ă  lui dire. Lui qui, depuis tout petit, avait toujours souhaitĂ© jouĂ© d'un instrument. Surtout de la guitare... Bien sur, il s'Ă©tait vite rendu compte qu'il n'Ă©tait pas fait pour ça. Pas assez patient surement. Il prĂ©fĂ©rait restĂ© bouche bĂ© devant les plus grands musiciens, les vrais ! Lui, c'Ă©tait le dessin, la photographie, et la peinture, mais pas la musique... InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Ven 9 Avr - 2007 Ce n'Ă©tait pas une Ă©vidence, mais sa rĂ©putation n'Ă©tait pas Ă  refaire. Tout le monde savait ce qu'il ressentait, ce qui le faisait vivre c'Ă©tait sans doute les mecs, mais il pouvait s'en passer de toute façon il n'Ă©tait pas le genre de mec Ă  coucher avec d'autres mecs, quoi qu'il savait qu'il pourrait le faire de temps en temps. Embry n'Ă©tait pas le genre de mecs Ă  se prĂ©occuper de ce qu'on disait de lui, disons qu'il aimait faire son propre avis, quand on lui disait que la personne Ă©tait une garce, bah il prĂ©fĂ©rait se faire son propre opinion, mais gĂ©nĂ©ralement il se disait que les gens avaient tort et tout, mais c'Ă©tait une grosse erreur, tout le monde devrait se faire son propre avis sur les gens, si c'Ă©tait toujours la mĂȘme chose, les gens seraient perdus, du moins c'est ce qu'il pense, peut-ĂȘtre ce n'Ă©tait pas une bonne façon de voir les choses, mais c'Ă©tait sa façon de voir. Il n'avait pas peur d'aller contre les gens, surtout si c'Ă©tait pour dĂ©fendre une personne qu'il aimait beaucoup, il ne laissait jamais ses amis dans la merde, il Ă©tait toujours le premier sur le front, surtout quand on insultait ses amis et oui, le jeune homme Ă©tait peut-ĂȘtre homosexuel, mais il n'Ă©tait pas trop dans le clichĂ©, il savait se battre, surtout quand il en avait besoin, il n'avait seulement qu'Ă  serrer le poing et taper, gĂ©nĂ©ralement il en faisais pas attention lĂ  oĂč il visait, mais la personne souffrait vraiment, en plus mĂȘme quand il ne voulait pas, il tapait lĂ  oĂč ça faisait mal, surtout si c'Ă©tait un mec. Enfin Emb' n'avait pas honte d'ĂȘtre homo, il aimait les hommes et alors ? En quoi cela pouvait gĂȘner franchement ? Il pouvait faire ce qu'il voulait dans sa vie. Avec ses lunettes bleues, il avait des chances qu'on se foute de lui encore et toujours, mais justement c'Ă©tait l'effet qu'il voulait faire, mĂȘme si on parle de lui, comme ça le jeune homme les faisaient rire, c'Ă©tait sans doute sa façon d'ĂȘtre. Le fait que le jeune homme le retient, l'avait un peu surpris d'habitude quand une personne le bouscule, la personne ne le rattrape pas, le laisse tomber puis aprĂšs c'est les rires des gens qui rĂ©sonnent dans sa tĂȘte, il faut croire que le jeune homme n'Ă©tait pas comme ça, c'Ă©tait ... Ă©trange, mais c'Ă©tait surtout sympa il en Ă©tait fier, enfin il ne le montrait pas, tout simplement parce qu'Ă  chaque fois qu'il faisait des sourires le pauvre s'en prenait plein la figure et il en avait un peu marre, donc du coup, il souriait juste de sympathie, mĂȘme s'il avait l'impression que le jeune homme n'Ă©tait pas comme les autres, alors qu'il Ă©tait toujours devant lui, il savait que cet homme Ă©tait mystĂ©rieux, dans le couloir, il Ă©tait mignon c'est vrai, mais il devait le savoir, tout le monde lui disait, du moins surtout les filles. Quand le jeune homme faisait de l'humour personne ne rigolait, sauf lui, mais lĂ  l'homme en face de lui, avait l'air de bien le prendre, c'Ă©tait exceptionnel, il en Ă©tait tout content, mais bon, il le regarde dans les yeux quand il lui dit que c'Ă©tait tout de mĂȘme de sa faute, oui, mais il aurait aussi regardĂ© devant lui, peut-ĂȘtre que la collision n'aurait pas eu lieu, enfin il avait vu cet homme, c'Ă©tait sans doute pour ça qu'il avait eu ce petit pĂšte. Il y avait toujours ce moment oĂč la vie apportĂ©e sont plus, dans ce cas-lĂ  ce n'Ă©tait que du positif, Embry Ă©tait content de pouvoir parler avec lui, mais il ne savait pas quoi lui dire, c'Ă©tait bĂȘte, lui qui Ă©tait un moulin Ă  parole aujourd'hui il ne savait pas quoi dire, c'Ă©tait peut-ĂȘtre parce que c'Ă©tait James, c'Ă©tait bizarre, mais que voulez-vous c'Ă©tait comme ça. Il le regarde et lui rĂ©pond. Bah disons que les torts sont partagĂ©s, je ne regardais pas trop oĂč j'allais.*Ne pas dire que c'Ă©tait surtout parce que je te regardais, tu es mignon, depuis tous ce temps que je te voyais, j'avais envie de te parler, mais j'Ă©tais trop timide.* Embry lui sourit, ce qui Ă©tait normal. Face au sourire amical de son interlocuteur, le jeune homme en fait, c'Ă©tait bien la premiĂšre fois qu'il voyait que quelqu'un lui souriait, cela faisait plaisir, c'Ă©tait tellement bien de ne pas se sentir fantĂŽme » dans cette grande Fac, mais ceci dit, ce n'Ă©tait pas pour autant qu'il allait ĂȘtre pote, du moins pour le moment ce n'Ă©tait pas encore le cas. Embry avait tellement envie de faire connaissance avec qu'il ne voulait pas le laisser partir, il aurait bien voulu lui attraper le bras, lui dire qu'il veut qu'il reste, mais ce n'Ă©tait pas possible, il n'Ă©tait pas comme ça. Il le regarde tout en souriant, quand il lui dit qu'il Ă©tait ici depuis trĂšs peu de temps, il le savait, il n'avait jamais vu un mec qui le regardait souvent dans les couleurs, les mecs ont plus le regard qui fuient, quand il arrive dans la place, enfin quand il finit de parler, le jeune homme pose son regard marron sur me disais bien que tu avais un accent d'ailleurs. Et cela ne te dĂ©stabilise pas trop ? Enfin ça ne doit pas ĂȘtre simple de vivre en AmĂ©rique alors qu'on vient de Londres. EnchantĂ© James. Quand il lui sert la main, le jeune homme le regarde tout en souriant. Embry savait jouĂ© d'instrument divers, le piano, la guitare c'Ă©tait des instruments que le jeune homme aimait jouer, c'Ă©tait sans doute parce que la musique Ă©tait une Ă©chappatoire pour lui, ce qui n'Ă©tait pas Ă©vident pour ses amis, ils ne comprenaient pas comment on pouvait passer du temps Ă  jouer d'un instrument, c'Ă©tait bĂȘte, parce que pour lui c'Ă©tait toute sa vie, il composait ses propres textes, mais personne ne les avaient pas entendus, oĂč du moins il n'Ă©tait pas au courant, alors qu'il le regarde une nouvelle fois, il sourit et lui beaucoup, je ne savais pas que quelqu'un m'avait entendu, je suis ... gĂȘnĂ©, disons que j'aimerais bien, je joue de quelques instruments, je compose mes textes et je m'enregistre, alors j'espĂšre pouvoir percer dans la musique, mais sinon je verrais bien, je me crĂ©erais un label pour pouvoir produire les gens. Et toi tu joues d'un instrument ?Le jeune homme voulait apprendre Ă  le connaĂźtre mĂȘme si une attirance physique Ă©tait lĂ , il Ă©tait un humain, il n'allait pas se jeter sur lui, comme si c'Ă©tait son dernier espoir, il Ă©tait mignon, mais apprendre Ă  connaĂźtre quelqu'un est avant tout l'une des choses qu'il voulait faire, avant de coucher du moins, il le regarde dans les yeux et sourit. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Sam 10 Avr - 007 James n'Ă©tait pas du genre Ă  suivre le troupeau. On aurait beau lui dire de ne pas approcher Embry, il ferait exactement l'inverse pour voir ce que ça changerait... On ne lui avait rien apporter sur le compte de ce bonhomme, alors il n'avait surtout pas Ă  s'Ă©tonner, ou Ă  penser que c'est un complot pour l'embĂȘter ou quoi que ce soit d'autre... Pour le grand brun, c'Ă©tait mĂȘme censĂ© tout ce qu'il venait de faire. S'excuser, le retenir alors qu'il manquait de tomber, et parler tout Ă  fait normalement avec lui. Il n'y avait aucun soucis. Et il apprĂ©ciait dĂ©jĂ  ce dĂ©but de discussion, si bien qu'il venait d'oublier le cour qui venait Ă  prĂ©sent de commencer. Cour de quoi dĂ©jĂ  ? Ah ouais histoire des arts... Oh et puis, il n'avait plus grand chose Ă  apprendre Ă  ce sujet, il Ă©tait tellement passionnĂ© par les Bah disons que les torts sont partagĂ©s, je ne regardais pas trop oĂč j' ça, ils Ă©taient deux Ă  ĂȘtre bien rĂȘveur et maladroit. Mais James Ă©tait assez heureux d'ĂȘtre tombĂ© sur lui finalement. Depuis le temps qu'il pensait Ă  venir l'aborder en fait. C'Ă©tait vraiment idiot, mais il y a des moments ou les sentiments ne s'expliquent pas. Et la, il avait prĂ©fĂ©rĂ© instaurĂ© une barriĂšre, pour ne pas allez bavarder tout Ă  fait normalement avec Embry... Pourquoi ? On ne sait pas, c'est ce genre de bĂȘtise qui crĂ©e toute la complexitĂ© du grand brun. Laissant ce petit sourire malicieux au coin de ses lĂšvres, James serra amicalement la main du musicien, sans lui faire mal bien sur, faire la brute ne lui allait pas du tout !- Je me disais bien que tu avais un accent d'ailleurs. Et cela ne te dĂ©stabilise pas trop ? Enfin ça ne doit pas ĂȘtre simple de vivre en AmĂ©rique alors qu'on vient de Londres. EnchantĂ© Pour ĂȘtre honnĂȘte, j'ai du mal Ă  m'y faire... Ça change rĂ©ellement, ce n'est pas du tout la mĂȘme chose. Ici, tout est grand, et il y encore plus de monde que dans la capital Anglophone... Mais je finirais par adopter le changement... J'espĂšre du moins. Et toi ? Tu as toujours vĂ©cu ici ?Et oui, il avait mĂȘme beaucoup de mal. Le mal du pays... New York, ce n'Ă©tait pas vraiment comme Londres. Ni mĂȘme Southampton. Loin de la. Beaucoup de choses lui manquait. Mais Ă  cause de son pĂšre, il se sentait obligĂ© Ă  prĂ©sent de rester ici. Et puis, il savait que pour essayer de devenir mannequin, ou mĂȘme de se lancer dans l'art, les Etats Unis, c'Ă©tait le bon endroit !- Merci beaucoup, je ne savais pas que quelqu'un m'avait entendu, je suis ... gĂȘnĂ©, disons que j'aimerais bien, je joue de quelques instruments, je compose mes textes et je m'enregistre, alors j'espĂšre pouvoir percer dans la musique, mais sinon je verrais bien, je me crĂ©erais un label pour pouvoir produire les gens. Et toi tu joues d'un instrument ?James pensait bien que Embry aimait la musique autant que lui aimait l'art, et la photographie... C'Ă©tait en quelque sorte un point en commun. Des gens Ă©taient toujours Ă©tonnĂ© de voir que l'on pouvait passer autant de temps derriĂšre un appareil photo, ou un chevalet, ou encore Ă  crayonner...Cela devait ĂȘtre la mĂȘme chose pour Embry. Les musiciens avec autant de talent, sont en gĂ©nĂ©ral un peu pareil, ils passent beaucoup de temps avec leur instrument, et y accordent une rĂ©elle importance...- Je t'encourage Ă  le faire en tout cas. Et moi, non, je ne joue d'aucun instrument... J'aurais voulu apprendre Ă  jouer de la guitare, mais ce n'est vraiment pas ma tasse de thĂ©... Je manque de patience je crois !Il fit une petite grimace aprĂšs ces quelques mots... Et oui, dommage, on ne peut pas tout avoir, loin de la. Il avait son domaine de prĂ©dilection, le reste, il Ă©chouait. C'est peut ĂȘtre pour ça qu'il admirait la façon de jouer de Embry, il l'enviait beaucoup a vrai dire. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Sam 10 Avr - 1333 Suivre le mouvement ce n'Ă©tait pas ce que Embry ferait, si vous lui demandez, il vous rĂ©pondrait qu'il n'aimait pas ĂȘtre comme tout le monde, il aimait ĂȘtre diffĂ©rent, qu'on le remarque en fait, c'Ă©tait une chose qu'il aimait, que les gens le remarquent, pourtant il y avait diffĂ©rente façon Ă  se faire remarquĂ©, la premiĂšre Ă©tant la plus simple Avoir de bonnes notes et de se fait, se faire traitĂ© d'intello de service, la seconde qui est aussi un moyen assez facile C'est de faire rire les autres. Une chose que le jeune homme savait faire, il venait toujours avec des accessoires qui font rire les autres, c'Ă©tait donc un paris gagnĂ© pour le jeune homme, mais eux, qu'en pensaient-ils vraiment ? Peut-ĂȘtre qu'il se tape la honte, il ne le savait pas, mais cela lui importait vraiment en fait, parce que s'il les autre souriait c'Ă©tait gagnĂ© pour lui, mais eux ne le pensait pas c'Ă©tait ça le plus marrant pour lui. Enfin revenons au jeune homme, il n'avait pas l'air de faire partie d'un complot pour le ridiculiser, parce que sinon il ne l'aurait pas rattrapĂ©, mais c'Ă©tait apparemment une preuve d'amitiĂ©, d'un moins un dĂ©but, il ne s'attendait pas Ă  cela de la part d'un garçon, bon il Ă©tait nouveau, mais depuis son arrivĂ© et surtout quand Embry le voyait, il n'arrĂȘtait pas de le regarder, mais James le faisait aussi, c'Ă©tait Ă©trange, il avait toujours voulu le voir, mais dans son fort intĂ©rieur, on lui disait de ne pas s'approcher, qu'il allait encore tomber sur un os. Mais c'Ă©tait surement sa peur, ça plus grande peur, le jeune homme n'aimait pas cela. Il n'aimait pas avoir peur, il n'aimait pas que la peur prenne le dessus sur lui, c'Ă©tait comme-ci il ne pouvait pas s'approcher, il savait qu'il aurait dĂ», il aurait peut-ĂȘtre appris Ă  le connaĂźtre bien avant, cela aurait Ă©tĂ© cool, il Ă©tait mignon, en plus de ça il avait de beaux yeux, enfin le jeune homme regarde ailleurs, il ne voulait pas devenir tout rouge devant James, il se demanderait quoi. En outre, Embry croyait que James savait qu'il Ă©tait homo, donc il aurait peut-ĂȘtre tout compris, puis regarde les gens autour, ils Ă©taient certainement en train de se demander ce que James faisait avec l'homo, celui qui voulait se taper » tous les mecs, quand on y pense, cela lui faisait beaucoup rire, parce qu'il n'avait pas voulu s'envoyer » tous les mecs, bon quand il est bourrĂ© il serait capable, mais sinon cela lui arrivait jamais en temps normal de vouloir coucher ou autre avec les mecs, surtout qu'il aimait beaucoup prendre son temps. Enfin oui Embry Ă©tait trĂšs maladroit, il serait capable de faire tomber son sac alors qu'il est ouvert devant tout le monde, tellement qu'il ne fait pas attention, ou du moins qu'il est trop maladroit. Le jeune homme le regarde toujours, en fait il ne pouvait mĂȘme pas s'empĂȘcher de ne pas le regarder, c'Ă©tait plus fort que lui, c'Ă©tait stupide parce que le jeune homme savait qu'il ne pouvait rien se passer, du moins pour le moment. C'est dingue quand mĂȘme qu'Embry n'est jamais osĂ© l'abordait, pourtant dans la vie en gĂ©nĂ©ral il aborde vite les gens, il leur parle, mĂȘme s'il se fait remballĂ© au bout de quelques minutes, c'Ă©tait sa façon d'ĂȘtre. Mais lui, c'Ă©tait diffĂ©rent comme si quelque chose l'empĂȘchait, cela ne venait peut-ĂȘtre pas d'Embry, mais peut-ĂȘtre de James qui sait ? Personne ne pouvait vraiment savoir ... Ce qui Ă©tait bien dommage il faut avouer. Embry avait remarquĂ© son sourire, il baisse la tĂȘte le temps de quelques secondes, puis aprĂšs le regarde de nouveau. Alors qu'il lui reprend la parole, ils Ă©taient toujours en trains de se serrer la main, mais Embry ne voulait pas la retirer, mais c'Ă©tait malheureusement le moment, ils n'allaient pas toujours se serrer la main hein ? Alors qu'il enlĂšve dĂ©licatement sa main, il l'Ă©coute et sourit. Je me doute, la vie est plus 
 Rapide, on va dire qu'ici on doit beaucoup se presser, surtout si tu ne veux pas arriver en retard par exemple. Oui, il avait fait une allusion Ă  ne pas arriver en retard en cours. Mais pour le moment il s'en foutait d'arriver en cours ou non, il voulait apprendre Ă  le connaĂźtre Ah bah ça, c'est New York, c'est toute la complication de vivre ici, mais au final, la plupart des gens s'y sentent chez eux, il faut le temps d'adaptation. Oui, c'est une trĂšs longue histoire, mais oui j'ai toujours vĂ©cu ici, pourquoi cela ne se voit pas ? Je ne suis pas comme ses bourgeois ? En dĂ©signant les mecs qui Ă©taient toujours en train de les regarder. Il avait l'impression que James allait mettre beaucoup de temps avant que Londres ne lui manque plus, mais ici tout arrive vite, les amis, les invitations aux fĂȘtes, d'ailleurs Ă  ses fĂȘtes, le jeune homme n'Ă©tait pratiquement pas invitĂ©, c'Ă©tait normal, il avait dĂ©jĂ  une mauvaise rĂ©putation, alors qu'il ne faisait rien de mal, mais que voulez-vous ? C'est aussi l'un des gros problĂšmes de New York, certaines personnes avaient une bonne mentalitĂ© et ne rejetait pas trop les homos, les autres par contres ils sont sur et certains que les hommes doivent aller avec les femmes, c'Ă©tait ce qu'ils pensaient les mecs autour qui n'arrĂȘtaient pas de les regarder d'ailleurs. Mais comme dans tous les mĂ©tiers c'Ă©tait ici que les gens avaient le plus de chance de rĂ©ussir leur carriĂšre professionnelle, vous allez demander pourquoi ? Tout simplement qu'ici il y avait tout, il y avait les plus grands Label de musique, les plus grands Restaurants, les plus beaux Palais de Justice, il y avait beaucoup de choses ici, si vous voulez vous lancer dans la musique, les labels ils ont en gĂ©nĂ©ral 90% de chance de vous faire cartonnĂ© pendant plus de dix ans. Enfin, il le savait parce qu'il avait fait beaucoup de recherche, c'Ă©tait pour cela. Il ne savait pas trop comment expliquer son amour pour la musique, c'Ă©tait sans doute une chose qu'il aimait trop, qu'il ne serait l'expliquĂ©, la musique avait bercĂ© toute sa vie, quand sa mĂšre n'allait pas bien, il allait dans sa chambre, puis ils Ă©coutaient de la musique ensemble, ils passaient leur temps Ă  discuter, Ă  rigoler, c'Ă©tait sans doute parce qu'Embry vivait sans pĂšre qu'il avait prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre proche de sa mĂšre. Les gens l'appelaient le no-life » parce qu'il ne sortait jamais, du moins pas avec ces looser et qu'il allait dans les boites homo, mais sa personne le savait, du moins Ă  part ses cousines et ses meilleurs amis. Mais c'est vrai que la plupart du temps, le jeune homme est avec son piano dans la piĂšce rĂ©servĂ©e Ă  la musique, c'est sa mĂšre qui lui avait fait construire, il y avait son piano, sa guitare et tous les autres instruments de musique, le jeune homme ne jouait pas de tous les instruments, mais il aimait en apprendre chaque jour, quand il savait maĂźtrisĂ© un instrument il apprend un autre. Enfin quand James lui dit qu'il l'encourageait Ă  le faire, il en Ă©tait assez surpris, mais cela lui faisait trĂšs plaisir, il prend la parole et lui rĂ©pond. Ah bon ? Cela me surprend un peu. C'est vrai que pour apprendre Ă  jouer d'un instrument il faut ĂȘtre patient, ça peut prendre du temps avant de savoir jouer d'un instrument, mais quand on a la volontĂ©, on y arrive, mais c'est vrai qu'il faut ĂȘtre patient. Et c'est quoi ton talent cachĂ© alors ?Le jeune homme Ă©tait trĂšs nul en dessin, c'Ă©tait pourquoi il n'avait pas pris le dessin comme cours, c'Ă©tait une matiĂšre ou il aurait pas plus d'un E- » en cours et si sa mĂšre voyait cela elle serait certainement en pĂ©tard et il voulait Ă©viter ça Ă  tout prix. Il regarde le jeune homme tout en souriant, en fait Embry n'avait toujours pas perdu son sourire, c'Ă©tait Ă©trange, mais c'Ă©tait comme cela et il n'allait pas changer. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Sam 10 Avr - 2048 Si Embry Ă©tait venu le voir, James ne l'aurait surement pas rejetĂ©, et encore moins humilier. Il n'aimait pas qu'on lui fasse ce genre de chose, alors le faire Ă  quelqu'un qui aurait le courage de venir discuter, c'est grave... Pourtant ce n'Ă©tait pas un ange. Lui jouait plutĂŽt avec les sentiments. Il aimait que l'on s'attache Ă  lui, et par moment, il se sentait obligĂ© de blesser ses proches, surement pas pour se faire plaisir, mais par peur. Enfin, c'Ă©tait l'une de ses parties complexe et sombre, il ne fallait pas y penser. A prĂ©sent, il avait vraiment envie d'en savoir plus Ă  propos d'Embry. Cet homme semblait vraiment intĂ©ressant, et pleins de mystĂšres. Les gens pleins de banalitĂ©s ne l'intĂ©ressaient pas. Et Ă  premiĂšre vu, Embry, c'Ă©tait tout le contraire. Cela crĂ©ait d'ailleurs une certaine attirance aux yeux de James... Lui qui d'habitude, se lassait assez rapidement de la compagnie des autres, la, il se voyait dĂ©jĂ  passer sa journĂ©e Ă  apprendre Ă  le connaĂźtre. Quitte Ă  rater les cours, c'Ă©tait moins important de toute Je me doute, la vie est plus 
 Rapide, on va dire qu'ici on doit beaucoup se presser, surtout si tu ne veux pas arriver en retard par exemple. - Exactement ! Et ça me stresse assez en faite... J'ai du mal Ă  trouver un endroit paisible ici... Et puis, pour ce qui est d'ĂȘtre en retard, je pense qu'aujourd'hui, j'ai touchĂ© le fond...Embry venait de lui enlever les mots de la bouche. C'Ă©tait ça, NY, mĂ©tro boulot dodo. Il n'y avait pas de calme, c'Ă©tait vraiment la ville, c'Ă©tait les gens pressĂ©s par le temps, parfois peu aimable, Ă©goĂŻste mĂȘme, et toutes ces choses vraiment idiotes et surtout, pas obligatoires... Et puis, pour le fait d'ĂȘtre en retard, il est vrai qu'aujourd'hui, James avait eu le gros lot. Lui qui d'habitude Ă©tait trĂšs ponctuel et sĂ©rieux quand il s'agissait des Ă©tudes. Il y avait un certain laisser aller...- Ah bah ça, c'est New York, c'est toute la complication de vivre ici, mais au final, la plupart des gens s'y sentent chez eux, il faut le temps d'adaptation. Oui, c'est une trĂšs longue histoire, mais oui j'ai toujours vĂ©cu ici, pourquoi cela ne se voit pas ? Je ne suis pas comme ses bourgeois ?Que voulait-il dire par la ? Quoi qu'il en soit, en terme de mentalitĂ©, il n'avait pas l'air de ressembler Ă  ces petites enfants de bourgeois, c'est sur... En tout cas, James se fiait aux dires du petit brun, il espĂ©rait vraiment finir par se sentir chez lui ici. Avec le temps, ça irai surement mieux, au fur et Ă  mesure, il ne ferai plus la diffĂ©rence. Et puis, comme lui avait dit son pĂšre, il Ă©tait ici pour rĂ©ussir. C'Ă©tait le meilleur endroit pour se faire remarquer, mĂȘme dans la rue, un photographe l'avait aborder pour faire de la publicitĂ©...- Non, tu n'as pas l'air de leur ressembler... Et c'est tant mieux d'ailleurs !Il avait dit ça Ă  haute voix pour provoquer les imbĂ©ciles qui continuaient de les observer comme s'ils Ă©taient des bĂȘtes de cirques... Il les regarda avec un petit sourire malicieux aux coins des lĂšvres, puis finit par reposer son regard sur Embry, qui Ă  coter, semblait un peu plus gĂȘner par cette situation..- Oui, et il faut dire que je n'ai jamais eu cette patience, surtout pour l'apprentissage. Je prĂ©fĂšre peindre, photographiĂ© surtout, et dessiner aussi..Se sentant un peu au centre de tout en Ă©tant postĂ© Ă  cet endroit du couloir, James chercha un endroit ou se poser, et son regard s'arrĂȘta sur un banc juste en face d'eux. Il regarda ensuite Embry, et lui adressa un Ça te dis qu'on aille s'asseoir ? Je commence Ă  avoir mal aux jambes...Une excuse dĂ©bile certes, mais il aurait eu l'air bĂȘte s'il lui aurait dit qu'il n'aimait pas ĂȘtre en pleins milieu du couloir. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Sam 10 Avr - 2128 C'Ă©tait dur d'imaginer que des personnes qu'on connaissait au dĂ©part vous fasse des coups dans le dos, bien-sĂ»r c'Ă©tait arrivĂ© au jeune homme c'Ă©tait sans doute pour cela qu'il n'avait plus trop d'amis qu'il Ă©tait un peu distant envers les autres, il avait sans doute encore peur qu'on lui fasse des coups dans le dos, il n'essayait plus de faire confiance, parce que lui faire du mal, les gens savaient bien le faire. Il faut dire que nous avons tous nos petits dĂ©faut, le jeune homme Ă©tait pessimiste, il n'arrivait pas Ă  se faire assez confiance pour se dire que quelqu'un puisse le trouver mignon ou autre, il savait que cela n'Ă©tait pas possible, comme vous le savez, le fait que le jeune homme soit comme il l'est, c'est surtout via Ă  son passĂ©. En regardant le jeune homme, Embry avait seulement envie d'ĂȘtre son ami, mĂȘme voir plus, c'est vrai quoi il Ă©tait mignon, mais pour le moment il aimait parler avec lui, vu que c'Ă©tait le seul qui accepte de lui parler normalement. Embry n'aimait pas trop parler de lui, c'Ă©tait rare qu'il parlait de son passĂ©, de ce que son pĂšre avait fait, qu'il n'avait jamais pris contact avec pourtant pendant une soirĂ©e, il l'avait appelĂ©, c'Ă©tait choquant pour lui... Il n'avait mĂȘme pas osĂ© parler de cela Ă  sa mĂšre, il savait dĂ©jĂ  ce qu'elle allait dire Il n'a jamais voulu prendre soin de toi, ni t'appeler et lĂ  il veut prendre contact avec toi ? Refuse » elle pensait comme une mĂšre protectrice, Embry la comprenait, mais il avait vraiment envie de parler avec lui, mais pour le moment ce n'Ă©tait pas encore le cas, il avait seulement pris contact, maintenant il fallait laisser le temps qu'il le rappelle, qu'il dĂ©cide de lui dire de venir dans le sud des Etats Unis, dans la tribu de son pĂšre, il regarde encore le jeune homme, il Ă©tait vraiment mignon. Il ne voyait pas le temps passĂ©, mais cela ne le dĂ©range pas, la conversation avec James Ă©tait trĂšs intĂ©ressante, apprendre Ă  faire connaissance avec quelqu'un c'Ă©tait vraiment le bon truc, mĂȘme si c'est vrai qu'il aimerait savoir des choses personnelles sur lui. Il sourit quand il lui dit que c'Ă©tait dur de trouver un endroit calme, il le regarde et lui rĂ©pond. Moi je connais des endroits calme. Oh pour arriver en retard, je pense que tu arriveras encore en retard, ce n'est pas la premiĂšre fois et je pense que cela se reproduira, je ne te juge pas, je te dis seulement les faits, je me suis toujours dit que je n'arriverais jamais en retard et finalement ça doit ĂȘtre la dixiĂšme fois que j'arrive en retard. Dit-il en rigolant, en parlant de New York, le jeune homme c'Ă©tait toujours fait Ă  cette ville, il faut dire que vu qu'il avait toujours vĂ©cu ici, il Ă©tait obligĂ© de s'y ĂȘtre fait, la vie Ă©tait parfois compliquĂ©e, mais ici c'Ă©tait malgrĂ© tout, une bonne ville, les gens ici sont parfois dĂ©sagrĂ©ables il le savait parce qu'on ne pouvait pas toujours ĂȘtre au mieux de sa forme, mais la plupart des gens peuvent ĂȘtre d'une gentillesse surprenante, il le sait une fois il n'avait pas d'argent pour manger, il avait oubliĂ© sa carte bancaire et un commerçant lui avait donnĂ© un sandwich, bon il faut dire que le jeune homme n'aimait pas qu'on lui paie ou donne quelque chose sans rien faire, alors le lendemain il avait voulu donner de l'argent pour le sandwich, l'homme n'avait pas voulu, alors il avait trouvĂ© un compromis, Ă  ce moment, la façade de la supĂ©rette tombĂ©e en ruine, alors il lui avait fait un chĂšque et il l'avait refaite, bon il faut dire qu'il avait Ă©tĂ© sans doute le perdant, mais il avait rendu quelqu'un trĂšs heureux et cela n'avait pas de prix Ă  ce qui paraĂźt et c'Ă©tait vrai. En fait c'Ă©tait dans toutes les villes, mais il savait qu'ici c'Ă©tait Ă  part, les gens Ă©taient bien, sauf peut-ĂȘtre ici. Niveau cours, il faut avouer que le jeune homme est considĂ©rĂ© comme un intelligent » pourtant ce n'Ă©tait pas le cas, sinon il aurait une moyenne de A+ » pourtant ce n'Ă©tait pas vraiment le cas, il lui arrivait d'avoir des C- » mais que voulez-vous les gens Ă©taient obligĂ©s de faire marchĂ© leur grande babaille, il se rappelle un jour, alors qu'il Ă©tait en cours de Math, Monsieur Patterson, un beau professeur il faut avouer, lui avait demandĂ© de rester Ă  la fin du cours, c'Ă©tait surtout pour lui demander s'il se passait quelque chose, vu que ses notes baissĂ©s et certains avaient lancĂ©s une rumeur comme quoi Embry couchĂ© avec le prof, c'Ă©tait assez marrant, mais le prof' de Math avait eu des problĂšmes bien-sĂ»r il avait Ă©tĂ© convoquĂ© et il avait dit que c'Ă©tait de mauvaises rumeurs qu'il ne se passait rien, de toute façon c'Ă©tait la vĂ©ritĂ©. Alors qu'il lui rĂ©pond, le jeune homme le j'ai eu peur je croyais que tu allais me dire que je leur ressemble. Ah ouais et pourquoi cela ?Le jeune homme Ă©tait gĂȘnĂ© dans le sens ou il n'aimait pas qu'on le regarde, ou alors d'ĂȘtre en train de parler avec un beau gosse comme lui, alors qu'il lui dit que c'Ă©tait bien mieux, il l'avait dit bien fort, surement pour provoquer les autres ? Mais de toute façon ils n'allaient pas venir, la sonnerie retentissait et ils partent en direction de leur salle, le jeune homme le regarde, il n'avait pas envie de le laisser, alors il continuait la conversation, alors comme cela il avait l'art dans le sang, le jeune homme sourit en le regardant puis lui rĂ©pond. Cela arrive, mais comme tu as d'autre talent c'est cool, je pourrais alors voir un jour ce que tu fais ? Enfin pour donner mon avis, j'avoue que je ne suis pas un expert, mais je dis toujours ce que je ressens oĂč je pense, c'est un peu, une de mes qualitĂ©s ou dĂ©faut cela dĂ©pend comment les gens prennent la qu'Embry regarde un peu autour, il voyait que les gens disparaissaient petit Ă  petit, mais ils Ă©taient toujours debout, mais avant tous les gens les regardĂ©s et cela agaçait un peu le jeune homme. Quand il lui demande s'il ne voulait pas s'asseoir c'est vrai qu'il avait un peu ses jambes qui tremblent, mais avec lui il irait partout hein ? Non, non, il n'Ă©tait pas en manque ne vous inquiĂ©tez pas. Il sourit en le regardant dans les veux bien, moi aussi ça commence Ă  me faire mal. Le jeune homme se dirige vers le banc tout en le regardant, bien-sĂ»r s'il y avait mal aux jambes, c'Ă©tait qu'il habitait assez loin de la Fac et donc il Ă©tait venu Ă  pied, alors qu'il s'assoit, il dĂ©pose son sac entre ses jambes et regarde le jeune homme, il avait envie de le connaĂźtre davantage, les cours paraissaient vraiment loin maintenant et ce n'Ă©tait pas une mauvaise chose, il sourit en le regardant. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 11 Avr - 325 Embry lui affirma qu'il connaissait des lieux calmes, et mĂȘme si James avait bien du mal Ă  le croire, son sourire s'accentua et une petite idĂ©e vint lui taquiner l'esprit...- Des lieux calmes ? Tu pourras me les faire visiter ?Quel question, en gĂ©nĂ©ral, on ne partageait pas ce genre d'endroit. Du moins, c'est ce que faisait James, peut ĂȘtre qu'il Ă©tait vraiment trop Ă©goĂŻste ? Peu importe, il n'aime pas montrer des choses qui en quelques sortes lui appartiennent, ou qui lui sont importantes. Ce serait comme dĂ©voiler une partie de sa vie... Laisser la porte ouverte Ă  n'importe quel escroc qui voudrait lui faire du mal. Et oui, il Ă©tait vraiment sur ses gardes, il s'Ă©tait fait avoir bien trop de fois durant son adolescence... - Oh pour arriver en retard, je pense que tu arriveras encore en retard, ce n'est pas la premiĂšre fois et je pense que cela se reproduira, je ne te juge pas, je te dis seulement les faits, je me suis toujours dit que je n'arriverais jamais en retard et finalement ça doit ĂȘtre la dixiĂšme fois que j'arrive en Je pense que tu as raison James ressentait une profonde lassitude en ce moment, et plus cette lassitude l'emporterait, moins il aurait envie d'aller en cours. Et puis, les cours sĂ©rieusement... Il n'avait plus l'age Ă  ça. Depuis son arrivĂ© ici, on voyait qu'il avait rĂ©ellement envie de prendre son envole, d'entrer dans le monde du travail par ses propres moyens. Et sans les pistons de papa surtout... Il n'avait eu qu'un pĂšre, mais celui ci s'Ă©tait peut ĂȘtre trop occupĂ© de lui, et en avait fait l'un de ces enfants un peu trop gĂątĂ© et couvĂ©. -Et bien parce que je n'aime pas leur façon d'ĂȘtre... Le fait qu'il nous regarde bĂȘtement depuis tout Ă  l'heure, leur façon de se pavaner leur manque d'ouverture d'esprit, leur banalitĂ©, ainsi que leur tĂȘte Ă  claque... Enfin, il ne faisait pas de gĂ©nĂ©ralitĂ©. Il parlait juste de ceux qui Ă©taient Ă  coter d'eux Ă  cet instant. Mais malgrĂ© qu'il vienne de les provoquer, ces derniers ne bronchĂšrent pas, et allĂšrent plutĂŽt en cours... Embry enchaina, et lui demanda si, un jour, il aurait le droit de voir ses crĂ©ations. Ce qui surpris James d'ailleurs.. Il Ă©tait rare qu'on lui demande une telle chose. Mais il en serait ravi, mais Ă  une seule condition. - D'accord, avec plaisir... Mais en Ă©change, je veux que tu joues pour moi !En fait, il lui demandait de jouer, mais juste pour lui, pas en public. Il voulait avoir ce privilĂšge. Il avait tellement accrochĂ© l'autre jour, qu'il voulait le voir Ă  l'Ɠuvre une seconde fois ! Mais il faisait encore une fois preuve d 'Ă©goĂŻsme et le demandait pour lui Je veux bien, moi aussi ça commence Ă  me faire rire s'Ă©chappa alors des lĂšvres du grand brun. Un peu inexplicable, mais finalement, ce n'Ă©tait pas lui qui avait mal aux jambes mais son interlocuteur. L'excuse avait marchĂ©. Il vit alors Embry s'Ă©loigner pour aller s'installer sur ce fameux banc. Le grand Dawson l'observa un instant, petit moment d'absence... Puis il alla le rejoindre, s'asseyant Ă  coter. - Au fait, tu as cours toi aussi la non ? Ça ne te gĂȘne pas de les manquer ?Bin oui, ça l'embĂȘtait de le dĂ©ranger alors que celui ci devait ĂȘtre en cours. Enfin, c'Ă©tait de sa faute s'ils en Ă©taient arriver la, alors forcĂ©ment, il se sentait coupable Ă  prĂ©sent. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 11 Avr - 822 Des endroits calme, Embry en connaissait c'Ă©tait cependant des coins assez calme, il y avait d'abord son appartement oĂč mĂȘme s'il y avait beaucoup de monde qui vivait dans l'immeuble, on n'entendait rien, ou alors il y avait prĂȘt du parc, un de ses endroits secrets, lĂ  oĂč personne n'avait idĂ©e d'aller, ce qui Ă©tait une bonne chose il faut avouer. Il le regarde quand il lui demande de lui faire visitĂ©, il de problĂšme si cela ne te fait rien d'entrer dans l'appartement d'un homo et de savoir oĂč je suis planquĂ© quand rien ne va dans ma vie. Mais il ne faudra jamais montrer cet endroit, il n'est rien qu'Ă  moi et il sera aussi Ă  toi une fois que tu l'auras dĂ©couvert. Sans vraiment s'en rendre compte, il venait de dire qu'il Ă©tait homo, en plus de ça il ne savait pas qu'il n'Ă©tait pas au courant qu'il Ă©tait homo, enfin cela ne le dĂ©rangeait pas vu que la plupart des gens de la Fac savaient pour lui, donc une personne de plus, ou une personne de moins qu'est-ce que cela pouvait bien faire ? Contrairement Ă  ce qu'on pourrait croire, c'est que le jeune homme n'avait aucun problĂšme, il pouvait inviter des gens chez lui, c'Ă©tait son appartement, c'Ă©tait aussi son lieu secret, c'Ă©tait lĂ  oĂč il passait beaucoup de temps, c'est lĂ -bas aussi ou il composait ses chansons, bon ses chansons Ă©taient trĂšs personnelles et c'Ă©tait sans doute pour cela qu'il ne prenait pas l'habitude de chanter devant tout le monde, il savait que s'il voulait en faire son mĂ©tier, il fallait qu'il commence Ă  se dĂ©coincer assez vite. Il ne voulait pas trop que les gens sachent de choses sur lui, mais ce n'Ă©tait pas non plus de choses trop personnelles, lui montrait son appartement ou son endroit secret ne le dĂ©ranger pas, cela aurait Ă©tĂ© diffĂ©rent s'il lui aurait montrĂ© sa chambre directement, mais Embry savait se tenir, c'Ă©tait sans doute un peu son dĂ©faut, il avait du mal Ă  se lĂącher sauf quand il buvait beaucoup, mais sinon quand il Ă©tait normal le jeune homme ne faisait pas trop le fou, du moins il le faisait, mais moins vachement moins. Il savait que s'il montrait son endroit secret, aprĂšs James pouvait faire ce qu'il voulait parce qu'il ne sera pas toujours derriĂšre lui, mais il lui faisait confiance, dĂ©jĂ  parce qu'il ne lui avait pas fait de coup comme les autres et qu'en plus de ça, Embry commencĂ© de plus en plus Ă  lui faire confiance. Il Ă©tait content c'est que contrairement aux autres personnes c'est qu'il ne le contre disait pas, du moins pour certaines choses peut-ĂȘtre qu'il le contre dirais, mais ce n'Ă©tait pas le cas pour le moment et ça c'Ă©tait bien et puis en mĂȘme temps il Ă©tait mignon alors mĂȘme s'il le contre dit ce n'Ă©tait pas si grave. Enfin les cours n'Ă©taient pas si important, en plus aujourd'hui c'Ă©tait l'Ă©nerver donc s'il n'y allait pas ce n'Ă©tait pas grave et puis il pourrait demander les cours Ă  un de ses amis de cours. Alors qu'il Ă©tait toujours en train de le regarder, Embry commençait Ă  penser Ă  son pĂšre qui venait de prendre contact avec lui, ce n'Ă©tait pas le sourire qu'il aurait dĂ» avoir, il aurait dĂ» ĂȘtre content qu'aprĂšs dix-huit ans d'absences qu'il veut reprendre contact, mais dans le fond il Ă©tait dĂ©goutĂ©, pourquoi avait-il attendu autant de temps pour prendre contact ? Pourquoi ne l'avait-il pas reconnu depuis dix-huit ans ? C'est vrai que toutes ses questions resteraient sans rĂ©ponses s'il ne les pose pas Ă  l'intĂ©resser. Vivant qu'avec sa mĂšre ce n'Ă©tait pas si mal que ça, c'Ă©tait mĂȘme bien il faut avouer, alors qu'il rĂ©torque qu'il n'aimait pas leur façon d'ĂȘtre, ce qui voulait dire qu'il aimait la façon d'ĂȘtre du jeune homme ? C'Ă©tait bon Ă  savoir. En mĂȘme temps il n'avait pas tort, ils Ă©taient tellement intolĂ©rant que des fois cela allait loin, il se souvient quand toute la Fac l'avait su, donc il n'y a pas si longtemps que ça, il s'Ă©tait souvent retrouvĂ© par terre Ă  saigner de la bouche, du nez, il avait mĂȘme fait plusieurs stages dans les toilettes, jusqu'au jour oĂč il en a eu marre et qu'il leur botte le cul un par un, aprĂšs cela il avait Ă©tĂ© tranquille c'Ă©tait super, Ă  part sans doute les moqueries, mais il avait du rĂ©pondant, c'Ă©tait sans doute cela qui les dĂ©range le qui veut dire que tu aimes ma façon d'ĂȘtre ? Ah ! Mais tu sais, tu n'Ă©tais pas lĂ  le jour ou ... Non, laisse tombĂ© ce n'est pas du tout important, en tout cas tu as raison ils sont trĂšs intolĂ©rants, mais nous n'y pouvons rien. Parler de ce que les crĂ©tins lui ont fait, lui faisait un peu trop mal, mĂȘme si aujourd'hui il Ă©tait tranquille, il savait que si une autre personne faisait son coming out, c'Ă©tait reparti, ils allaient leur faire subir ce qu'il avait eu, mais cela n'allait pas ce passĂ© comme ça, il leur avait promis qu'il serait leur pire cauchemar ce n'Ă©tait sans doute pas une chose qu'il fallait prendre Ă  la lĂ©gĂšre surtout quand il disait ça gĂ©nĂ©ralement il tenait ses promesses et c'est dire et lĂ , ce n'Ă©tait pas bon pour les personnes en question. Il avait aperçu dans le regard du jeune homme qu'il Ă©tait Ă©tonnĂ© plutĂŽt surpris qu'il lui demande de voir ses arts, pourtant le jeune homme Ă©tait d'une nature curieuse, ce n'Ă©tait pas trop une mauvaise chose, ni une surprise surtout quand on connaissait le jeune homme. Il Ă©tait content qu'il accepte, mais il savait qu'il allait y avoir un mais ... » il sourit et lui dit en que pour toi ? Quoi d'autre. Rigole puis reprend vite son sĂ©rieux. D'accord, mais c'est un peu mĂ©chant entre guillemet parce que tu m'as dĂ©jĂ  entendu jouer du piano, mais je suis d'accord j'accepte le marchĂ©. MĂȘme s'il y a des risques que je joue mal, je n'ai jamais jouĂ© devant un public. Sourit, bon un public qui sera composĂ© que d'une seule personne, mais c'Ă©tait dĂ©jĂ  cela non ? En plus de ça, ce n'Ă©tait pas n'importe qui, c'Ă©tait un beau gosse, c'Ă©tait un mec avec qui le jeune homme pourrait avoir une aventure mĂȘme plus ... Mais il fallait qu'il tient sa part du marchĂ©, si le jeune homme lui montre ses dessins, ses photographies alors il prendra sur lui-mĂȘme et jouera comme c'Ă©tait le qu'il parlait d'avoir mal aux jambes -dĂ» au fait qu'il avait fait plus de trente minutes de marcher pour venir ici bon un peu moins- il avait un peu les jambes qui se fatiguaient, mais alors qu'Embry Ă©tait arrivĂ©, le jeune homme n'Ă©tait pas encore Ă  ses cĂŽtĂ©s, il avait dĂ» ĂȘtre bloquĂ©, Ă  ce moment-lĂ , le jeune homme c'Ă©tait dit que James voulait partir, mais non peu de temps aprĂšs qu'il le rejoint et le regarde dans les yeux. Quand il parlait des cours, Embry fermait les yeux, en fait il faisait semblant de rĂ©flĂ©chir, la rĂ©ponse Ă©tait dĂ©jĂ  vite trouvĂ©e, mais il ne voulait pas que le jeune homme croit qu'il Ă©tait intĂ©ressĂ© ou autre. Hum, je pourrais recopiĂ© sur une de mes amies de cours, donc je peux manquĂ© et toi ? Enfin je pense que si tu voudrais allez en cour, tu y serais dĂ©jĂ  le regarde, d'un coup il comprend quelque chose, le jeune homme Ă©tait tellement mignon qu'il avait envie de dĂ©poser ses lĂšvres sur les siennes, il se frotte dĂ©licatement la tĂȘte, puis le regarde de nouveau, il fallait qu'il enlĂšve ses pensĂ©es de sa petite tĂȘte, en plus de ça il ne savait mĂȘme pas si le jeune homme Ă©tait homo ou bi et puis avec la chance qu'il avait, il Ă©tait hĂ©tĂ©ro... Quoi qu'il en doutait un peu. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 11 Avr - 1451 Dans la suite de la discussion, Embry lui annonça qu'il Ă©tait gay, surement sans le vouloir... Et, c'est Ă  dire que cela Ă©tonna assez James. Un mec comme lui, il pourrait se faire pleins de filles, et finalement non, il prĂ©fĂ©rait les hommes. Enfin... Le grand Dawson n'avait vraiment rien contre ça. Il n'avait pas peur d'aller dans son appartement. Embry n'avait pas l'air d'ĂȘtre un psychopathe qui torture des enfants, alors ça lui allait. Puis qu'il sache ça ne changeait vraiment pas la donne. Et il ne faut pas toujours attacher l'homme gay, Ă  la fofolle qui saute sur tout le monde. S'il Ă©tait heureux de cette façon, c'Ă©tait bien, et encore mieux s'il l'assumait pleinement. Mais cela expliquait du coup les regards mĂ©prisants des hommes de tout Ă  l'heure. - Ah... Mais je ne vois pas du tout ou est le problĂšme. Et c'est vraiment cool de ta part, adressa un large sourire suite Ă  cette phrase, lui montrant qu'il n'avait rien d'un homophobe. Et pourquoi il le remerciait ? Parce que Embry avait l'intention de lui montrer un lieu qu'il ne montrait Ă  personne d'habitude... Cela prouvait qu'il y aurait surement une grande complicitĂ© entre les deux hommes, et une amitiĂ© ? En tout cas, ils se projetaient dans le futur, et comptaient se revoir...- Ce qui veut dire que tu aimes ma façon d'ĂȘtre ? Ah ! Mais tu sais, tu n'Ă©tais pas lĂ  le jour ou ... Non, laisse tombĂ© ce n'est pas du tout important, en tout cas tu as raison ils sont trĂšs intolĂ©rants, mais nous n'y pouvons Oui.. Mais qu'est ce qu'ils t'ont fais ?!Les sourcils du grand brun se froncĂšrent spontanĂ©ment quand il entendit ceci. Quoi ? Ils lui avaient fais du mal ? Ou il l'avaient humiliĂ© ? En tout cas, James voulait savoir ce qui s'Ă©tait passĂ©, et ça l'Ă©nervait d'avance. Comment est ce qu'on peut embĂȘter quelqu'un, juste Ă  cause de son orientation sexuelle ? Mais dans quel monde vit-on ? En tout cas, ici c'est pas le paradis...- Rien que pour toi ? Quoi d'autre. D'accord, mais c'est un peu mĂ©chant entre guillemet parce que tu m'as dĂ©jĂ  entendu jouer du piano, mais je suis d'accord j'accepte le marchĂ©. MĂȘme s'il y a des risques que je joue mal, je n'ai jamais jouĂ© devant un Mais je suis sur que tu t'en sortiras Ă  merveille !En entendant ce quoi d'autre, James se mit Ă  sourire bĂȘtement. Avait-il compris ce petit semblant d'arriĂšre pensĂ©e ? Hum... En tout cas, il Ă©tait convaincu que Embry allait trĂšs bien s'en sortir. Et puis, il fallait qu'il s'habitue Ă  avoir un public s'il voulait faire une grande carriĂšre... C'Ă©tait la moindre des choses. James prit un peu de temps avant de le rejoindre sur le banc. Lui mĂȘme ne sait pas pourquoi, petit moment dans son monde, cela lui arrivait souvent, comme des flash... - Hum, je pourrais recopiĂ© sur une de mes amies de cours, donc je peux manquĂ© et toi ? Enfin je pense que si tu voudrais allez en cour, tu y serais dĂ©jĂ  Oui, ce n'est pas une mauvaise idĂ©e.. Et moi, dĂ©jĂ  Ă  mon rĂ©veil je n'avais pas envie de venir... Mais finalement, j'ai bien heureusement mĂȘme qu'il Ă©tait venu. Sinon, il n'aurait pas eu la chance de le bousculer. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 11 Avr - 1646 Embry venait de se confier sur un sujet qu'il n'aimait pas trop aborder, parce que gĂ©nĂ©ralement les gens sont dĂ©jĂ  au courant, il croyait surtout que cela se voyait c'Ă©tait ce qu'un des couillons qui lui avait dit aprĂšs son coming out, pourtant ce mec-lĂ  c'Ă©tait son meilleur ami, jusqu'Ă  la rĂ©vĂ©lation, il n'avait pas compris, ils avaient beaucoup dĂ©lirĂ©s tous les deux Ă  faire les homosexuels pour virer des meufs trop collant, il lui avait mĂȘme dit qu'il jouait bien et qu'il serait bien acteur, Ă  cette Ă©poque il savait trĂšs bien qu'il Ă©tait homo, bon il n'Ă©tait pas tombĂ© amoureux de lui, c'Ă©tait ça le pire, il n'avait pas compris sa rĂ©action. Il en Ă©tait plus du tout Ă  ça pour le moment. Dans un sens il avait peut-ĂȘtre bien fait de dire qu'il Ă©tait homo, parce que comme cela il ne s'attendait pas Ă  trouver des choses qui le supposeraient, comme des photographies de ses exs et lui, il sourit, il avait pris toutes les photos de lui et de ses exs et les avaient mis partout dans son appartement, ce n'Ă©tait pas parce qu'ils les aimaient encore, c'Ă©tait surtout parce qu'il Ă©tait dessus, bon il faut avouer qu'il avait gardĂ© les photos oĂč il se trouvait super mignon, c'Ă©tait peut-ĂȘtre un peu prĂ©tentieux, mais c'Ă©tait comme cela. Alors qu'il lui avait dit, il s'attendait Ă  ce qu'il s'en aille, mais non il restait lĂ  Ă  ses cĂŽtĂ©s c'Ă©tait sympa de sa part de ne pas partir parce qu'il Ă©tait gay. Contrairement Ă  ce qu'on pouvait raconter sur lui, il Ă©tait quelqu'un de trĂšs Ă©quilibrĂ© il ne faisait pas si souvent la fĂȘte, il faisait du sport. Il mangeait sainement du moins dĂšs qu'il le pouvait et surtout dĂšs qu'il en avait envie, surtout que c'Ă©tait un trĂšs bon cuisinier, il aimait faire la cuisine, mais malheureusement il n'aimait pas se faire Ă  manger, dĂ©jĂ  parce que quand il Ă©tait tout seul il n'avait pas faim. Et puis contrairement au clichĂ©, il ne sautait pas sur tout ce qui bougeait et il n'Ă©tait pas du tout effĂ©minĂ© tout ce qu'il dĂ©teste en fait, il aimait les mecs, les vrais pas ceux qui sont dans la caricature. Enfin alors qu'il Ă©tait en train de lui rĂ©pondre, le jeune homme suis content que tu ne prennes pas la fuite aprĂšs la rĂ©vĂ©lation, enfin je ne pense que cela le soit, vu que tout le monde le sait ici, alors peut-ĂȘtre que tu as entendu parler quelque chose sur moi ? C'est normal et puis il faut bien de temps en temps se rĂ©vĂ©ler aux autres, mĂȘme si ce n'est pas un grand secret. Ce qui Ă©tait Ă©trange c'est qu'il voyait bien que le jeune homme n'avait pas de problĂšme avec ça, ce qui Ă©tait une bonne chose, il savait alors qu'il pouvait compter sur lui, lui parlait, mĂȘme s'il n'allait pas vraiment le faire, il n'aimait pas reparler du passĂ©, il avait toujours une boule Ă  l'estomac quand il le faisait, mais ce n'Ă©tait pas tant le fait que les mecs l'ont traĂźnĂ©s et humiliĂ©, c'Ă©tait surtout que c'Ă©tait son ancien meilleur ami. Comment avait-il pu osĂ© faire ça ? Lui qui se disait ne pas ĂȘtre homophobes, il n'avait pas du tout compris, mais c'Ă©tait comme ça, alors que James voulait qu'il en parle il se lĂšve, puis se dirige vers les toilettes, s'approche des lavabos puis se passe un peu d'eau sur le visage, puis quand il regarde le miroir il se revoit tout ce qu'ils lui avaient pu en faire baver, c'Ă©tait douloureux, Ă  part le clan des homophobes, personne ne le savait, il n'avait rien dit et eux non plus apparemment. Il lĂšve la tĂȘte, pile poil en face de lui, c'Ă©tait lĂ  que tout avait commencĂ©, mais lĂ  oĂč tout c'Ă©tait arrĂȘtĂ© cela avait Ă©tĂ© la pĂ©riode de sa vie la plus sombre, la seule que le jeune homme ne voulait pas Ă©voquer, de peur de se faire juger encore et toujours. Encore la douleur qui se formait dans sa poitrine, il tourne la tĂȘte et voit le jeune homme et lui de si grave je t'assure. C'est vrai qu'il n'aurait jamais dĂ» commencer sa phrase, mais sur le coup il n'avait pas rĂ©flĂ©chis, il ne voulait pas que le jeune homme se battre ou fasse quelque chose parce que dans le passĂ©, ils l'avaient touchĂ©, malheureusement on ne pouvait pas refaire le passĂ©, malheureusement parce que sinon Embry se serait rebellĂ© bien plus tĂŽt et cela aurait surpris pas mal de monde. New York Ă©tait peut-ĂȘtre l'une des plus belles villes c'Ă©tait certes le cas, mais pourtant il y avait toujours un problĂšme de mentalitĂ©, ce qui Ă©tait assez grave, mais bon on ne pouvait blĂąmĂ© personne sauf peut-ĂȘtre les parents ? Les Grands-Parents et tous ceux qui ont un esprit moment du marchĂ© arriver, ce qui Ă©tait assez bizarre c'est que le jeune homme ne stressait pas vraiment, il savait ce qu'il allait arriver, aprĂšs tout s'il se plantait ce n'Ă©tait pas grave, c'Ă©tait devant qu'une personne, ce n'Ă©tait pas comme-ci il y avait trente mille personnes ce qui serait sans doute impossible. Mais les mots du jeune homme lui faisait trĂšs plaisir, il le regarde dans les yeux, puis lui rĂ©pond aussi le sais-tu ? Tu lis dans une boule magique ou je ne sais trop quoi ? Si seulement la vie pouvait ĂȘtre aussi simple qu'une belle chanson d'amour ? Cela serait trop beau pour durer ce qui Ă©tait sur mais de toute façon la vie Ă©tait comme ça, il n'avait pas peur, il ne savait pas ce qu'il allait ce passĂ©, mais c'Ă©tait de la musique, si c'Ă©tait un casting, il comprendrait qu'il ne fallait pas se planter, mais lĂ  c'Ă©tait devant un ami, alors rien ne pouvait le dĂ©ranger, il avait mĂȘme un peu hĂąte, mais cela pouvait aussi attendre, une boule dans l'estomac se formait, il avait peur, peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur et il se disait que s'il n'Ă©tait pas Ă  la hauteur devant une personne, il se pouvait qu'il ne soit pas Ă  la hauteur durant toute sa vie, mĂȘme si cela se travaille. Il le regarde quand il lui rĂ©pond, le jeune homme baisse la tĂȘte, puis la relĂšve aussi bon pourquoi tu as bien fait ? Tu voulais me parler ? Avait-il dit sur un ton ironique. Il ne pensait pas vraiment ce qu'il venait de dire, d'ailleurs si on voyait le jeune homme pour la premiĂšre fois, on voyait bien qu'il avait un gros problĂšme de confiance en soi, mais aussi qu'il Ă©tait pessimiste, il se disait que le seul mec qu'il pouvait plaire, il habitait Ă  des centaines de kilomĂštres et c'Ă©tait terminĂ© depuis longtemps, encore une belle et longue histoire que le jeune homme aimait garder pour lui, aprĂšs tout qui ça pouvait bien regarder qu'il Ă©tait tombĂ© amoureux d'un Espagnol, qu'il avait rencontrĂ© lors de son voyage en Espagne. Enfin voyage, non ce n'Ă©tait pas le bon terme c'est sans doute les Vacances en Espagne avec sa mĂšre, MatthĂ©o Ă©tait mĂȘme venu vivre Ă  New York avec lui, mais il avait dĂ» repartir Ă  cause de sa famille et ce sot donc quittĂ© comme ça. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 11 Avr - 2135 James fut assez Ă©tonnĂ© par ce que lui dit Embry. Comme s'il trouvait Ă©trange que celui ci ne prenne pas la fuite... D'ailleurs, il pensait mĂȘme que James Ă©tait dĂ©jĂ  au courant pour cela. Alors que non, personne ne lui avait rien dit a propos du musicien, encore moins des choses mĂ©chantes. Il lui demanda au passage si on avait dit quelque chose sur Non, on ne ma rien dit, et je ne savais rien. Et mĂȘme si c'Ă©tait le cas, ça n'aurait rien changer... Je ne fonde pas d'opinion avec ce que les autres me disent...Embry se leva donc, suivit par James, et ils se dirigĂšrent vers les toilettes. Tout Ă  coup, on pourrait dire que le sourire d'Embry s'Ă©tait effacĂ©... Il avait dit quelque chose de mal ? Ou il s'Ă©tait vraiment passĂ© quelque chose de grave avec ces individus ? En tout cas, il s'inquiĂ©tait Ă  prĂ©sent. Mais il n'osait rien dire... James l'attendait, mais il ne bougeait plus, il l'observait, se demandant un peu se qu'il cachait. Il prĂ©fĂ©rait ne pas insister, par peur de le blesser. Mais c'Ă©tait plus fort que lui...- Tu est sur que ça va ? Je suis dĂ©solĂ©, ça ne me regardait pas..Oui, il n'aurait pas du lui demander ce qui s'Ă©tait passĂ©. Cela semblait avoir ravivĂ© quelques souvenirs chez le petit brun. Enfin, il s'en voulait Ă  prĂ©sent, et cherchait plutĂŽt Ă  se rattraper. Il lui arrivait si souvent d'ĂȘtre maladroit...- Comment le sais-tu ? Tu lis dans une boule magique ou je ne sais trop quoi ?- Non... Mais tu est vraiment talentueux, et je crois en toi !Oui, il croyait en ce don qu'il avait. Et pour lui, c'Ă©tait certain, Embry pouvait s'en sortir comme un roi. Il ne fallait pas tout gĂącher Ă  cause de cette peur... Peur de mal gĂ©rer le stress, et surtout, cette montĂ©e d'adrĂ©naline, lorsque l'on joue sur scĂšne, c'est ça le meilleur, on prend son pied, et l'adrĂ©naline devient une drogue. Il le savait, car avec les dĂ©filĂ©s, il avait dĂ©jĂ  connu ça...- Ah bon pourquoi tu as bien fait ? Tu voulais me parler ?- Pas spĂ©cialement, mais je suis content d'avoir fait ta rencontre en tout fait, il Ă©tait content d'ĂȘtre tombĂ© sur lui, et rien que lui. D'avoir pu lui dire qu'il admirait sa façon de se dĂ©brouiller musicalement et d'avoir discutĂ© avec lui. ForcĂ©ment, s'il n'Ă©tait pas venu, il ne se serait rien passĂ© de tout cela... Et ça aurait Ă©tĂ© dommage. Le destin avait, pour une fois, jouĂ© eu sa faveur. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 11 Avr - 2207 Comme on dit souvent, le passĂ© revient toujours quand tu n'as pas envie qu'il revient, mais pourtant il Ă©tait revenu, mais c'Ă©tait pire qu'un flash, il revoyait les scĂšnes, dans les toilettes, des fois mĂȘme dans la cour, c'Ă©tait tellement une chose insupportable que le jeune homme avait mĂȘme faillit mettre fin Ă  ses jours, mais cela personne ne le savait, il savait que sinon il se serait pris la tĂȘte avec les gens et mĂȘme s'il n'allait pas bien, ce n'Ă©tait pas pour autant qu'il devait enfoncer un coup de couteau sur la plaie. Il n'avait pas rĂ©flĂ©chis sur le moment quand il Ă©tait parti au toilette, mais disons qu'il avait besoin de ce passĂ© un peu d'eau sur la figure, de vouloir effacer ce mauvais passage, mais on ne pouvait pas supprimer le passĂ©, il Ă©tait lĂ , c'Ă©tait une partie de nous. C'Ă©tait surprenant que les gens n'avaient rien racontĂ© Ă  James sur lui, c'Ă©tait mĂȘme surprenant, gĂ©nĂ©ralement Ă  chaque fois qu'il rencontrait quelqu'un de nouveau, il le connaissait dĂ©jĂ , alors qu'Embry ne le connaissait pas, il savait que les gens faisaient tout pour que personne ne lui parle, mais heureusement qu'il y avait des gens intelligents. Il le regarde, puis s'approche un peu de lui et lui rĂ©pond. C'est surprenant alors, parce que d'habitudes les gens disent beaucoup de choses sur moi, dans un sens je suis content parce qu'il parle de moi. Rigole puis continue de parler. Ah bah lĂ , j'ai devant moi quelqu'un de trĂšs intelligent, il faudra dire cela a tous ceux qui ne m'ont pas adressĂ©s la parole hein ? Non, Embry plaisantait il s'en foutait en fait des autres, dans la vie du jeune homme il y avait ses amis, ses cousines, ceux sur qui il pouvait compter, mais les autres non, il les envoyait boulets parce qu'il n'avait pas envie de perdre du temps, un temps qu'il avait bien perdu. C'est vrai que son sourire avait disparu, il avait tant essayĂ© de faire comme-ci ce passĂ© ne lui faisait plus trop mal, mais en fait c'Ă©tait impossible, il Ă©tait lĂ  et faisait toujours aussi mal, sans doute parce que c'Ă©tait soit-disant son meilleur ami qui lui avait fait subir ça. C'Ă©tait dĂ©gueulasse, mais c'Ă©tait comme cela il avait essayĂ© par tous les moyens de lui faire payer ça, mais tout ce qu'il arrivait Ă  faire, il ne le faisait pas, puis un jour la rage au coeur quand il a croisĂ© son regard, c'Ă©tait prĂȘt de chez lui en plus, il s'Ă©tait approchĂ© de lui et la tabassĂ© et ensuite c'Ă©tait Ă  chacun son tour, ensuite il Ă©tait tranquille, sauf peut-ĂȘtre les insultes qui fusaient, mais que voulez-vous c'Ă©tait comme ça, les gens aimaient perdre leur temps comme ça, alors que lui il pouvait trĂšs bien s'en passĂ© c'Ă©tait comme ça. Alors qu'il respire un bon coup, il le regarde dans les yeux, ils Ă©taient qu'Ă  quelques centimĂštres l'un de l'autre. Ce n'est pas grave, ce qu'ils m'ont fait, je croyais que la douleur c'Ă©tait apaisĂ© avec le temps, mais en fait non, ce n'Ă©tait pas du tout le on Ă©tait curieux, c'Ă©tait normal qu'on pose la question, le jeune homme en avait seulement marre de les croisĂ©s souvent, alors qu'il le regarde dans les yeux, il se mord la lĂšvre infĂ©rieure, mais regarde de l'autre cĂŽtĂ©, il avait une envie soudaine de l'embrasser, de le prendre dans ses bras, mais quelque chose le retenait il ne savait pas quoi, mais c'Ă©tait une force, comme-ci une fois au fond de lui, lui disait de ne pas le faire, parce que sinon il allait le perdre comme ami, surtout que maintenant au fond de lui il n'Ă©tait mĂȘme pas sĂ»r que le jeune homme soit gay et si ce n'Ă©tait pas le cas, alors il allait certainement se faire traiter de tarĂ© ou de givrĂ© sans doute il aurait raison et c'Ă©tait grĂące Ă  cette petite voix que le jeune homme ne faisais rien. Alors que leur conversation s'orienter sur le futur mĂ©tier du jeune homme, Embry Ă©tait vite surpris de voir que le jeune homme lui avait dit qu'il croyait en lui, il sentait ses joues passĂ© du bronzer au rouge, mĂȘme si sa couleur de peau Ă©tait bronzer, on pouvait tout de mĂȘme voir quand il rougissait. Puis reprend aussi vite la gentil de croire en moi, alors qu'on ne se connait pas vraiment. GĂ©nĂ©ralement on dit que pour rĂ©ussir il fallait faire confiance en son talent et Ă  ce qu'on faisait, c'est que ce n'Ă©tait pas bĂȘte, mais comment dire il avait seulement peur de dĂ©cevoir les gens, de ne pas faire une grande carriĂšre, il avait peur d'avoir fixĂ© ses rĂȘves un peu trop haut et de ne pas rĂ©ussir Ă  atteindre ses objectifs, mais il fallait qu'il ait plus confiance en lui c'est sĂ»r. Mais il savait une chose qu'une fois qu'il serait sur scĂšne, l'adrĂ©naline serait lĂ , elle ferait certainement tout et lui il n'aurait seulement qu'Ă  jouer, chantĂ© et faire un magnifique Show, oui le jeune homme aime mettre la barre haute, mais ce n'Ă©tait pas pour rien, c'Ă©tait sans doute parce que depuis tout petit, sa mĂšre lui avait appris Ă  mettre les barres hautes, cela avait des bons et des moins bons cĂŽtĂ©q, mais c'Ă©tait comme ça, alors qu'il le regarde dans les yeux et lui rĂ©pond. Moi aussi, ça faisait longtemps que je te voyais dans les couloirs, mais je n'osais pas te parler, mais content que cette bousculade nous est permis de se qu'il le regarde dans les yeux, sa patience ne tenait plus, alors qu'il s'approche de lui, il passe ses mains sur la taille du jeune homme le regarde dans les yeux et ferme ses derniers puis dĂ©pose ses lĂšvres sur les siennes, mais c'Ă©tait un acte incontrĂŽlĂ©, il savait qu'il allait surement se faire tuer par le jeune homme, parce qu'il dira qu'il n'Ă©tait pas comme lui et tout, mais il n'arrivait plus trop Ă  se contrĂŽler. [J'adore ton nouvel Avatar ] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Lun 12 Avr - 1408 Quelques minutes plutĂŽt, Embry se passait de l'eau sur la figure... Et la, il se retrouvait Ă  seulement quelques centimĂštres du grand brun aux yeux bleue. Ce qui... Le dĂ©stabilisa un peu au passage. Il ne lui arrivait pas souvent d'ĂȘtre aussi proche d'une personne, et encore moins d'un homme qu'il venait de rencontrer... Mais il ne fit rien, pensant qu'Embry n'avait pas fait ça pour s'approcher d'avantage de lui...- C'est surprenant alors, parce que d'habitudes les gens disent beaucoup de choses sur moi, dans un sens je suis content parce qu'il parle de moi. Ah bah lĂ , j'ai devant moi quelqu'un de trĂšs intelligent, il faudra dire cela a tous ceux qui ne m'ont pas adressĂ©s la parole hein ? - Oui... Je n'y manquerais le souhaitait vraiment, James en Ă©tait capable. Pourquoi ils ne lui parlaient pas ? Embry avait l'air d'ĂȘtre un chic type, avec lequel on pouvait passer de bons moments, on ne pouvait pas l'ignorer. Enfin, c'est bien ce que pensait James. Peut ĂȘtre encore ce problĂšme de rĂ©ticence face Ă  l'homosexualitĂ© de celui ci ? Quelle bĂȘtise... - Ce n'est pas grave, ce qu'ils m'ont fait, je croyais que la douleur c'Ă©tait apaisĂ© avec le temps, mais en fait non, ce n'Ă©tait pas du tout le Il ne faut plus que tu y penses... C'est du passĂ©. Et tu sais s'ils essayent encore, je ne les laisserais pas faire. Je ne souhaiterais ça Ă  personne... Oui, il dĂ©fendrais n'importe qui dans une telle situation. Et cette fois si, c'Ă©tait Embry. Il posa sa main sur l'Ă©paule de celui ci, lui montrant qu'il pouvait compter sur lui. C'est si simple de se mettre Ă  plusieurs contre une seule personne... Bande de lache. AprĂšs lui avoir dit qu'il croyait en lui, celui ci ce mit Ă  rougir, ce qui amusa le grand brun. Il n'avait pas cherchĂ© Ă  le mettre mal Ă  l'aise en tout cas. - MĂȘme si on ne se connait pas, je t'ai entendu jouĂ©, et c'est le plus important !Embry lui avoua alors qu'il l'observait depuis quelques temps et qu'il aurait voulu lui parler, mais qu'il n'avait pas osĂ©. Ils Ă©taient tombĂ© dans la mĂȘme situation au final. Il est clair que James aurait du aller lui parler plus tĂŽt... Et alors qu'il ne s'y attendait pas vraiment, Embry s'approcha d'avantage de lui, posa ses mains sur sa taille, et colla ses lĂšvres aux siennes. James Ă©tait plutĂŽt surpris, et il ne bougea mĂȘme pas, bien trop dĂ©boussolĂ© pour penser Ă  reculer... Il laissa un instant ses lĂšvres contre les siennes, puis il baissa la tĂȘte et posa son front sur l'Ă©paule de celui ci. Quoi ? Il venait vraiment de faire ça ? Mais pourquoi ? Trop de questions lui chamboulaient l'esprit... Il releva la tĂȘte, posant ses mains sur les Ă©paules d'Embry et recula d'un pas. Il ne savait pas vraiment pas dire, il fit juste un signe de tĂȘte, lui demandant de ne pas refaire ça... Il se sentait gĂȘner, vraiment gĂȘner, et ne savait plus quoi penser de cela. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Lun 12 Avr - 1601 Embry avait depuis le dĂ©but de leur rencontre, du moins bien avant qu'ils se parlent, quand il l'avait vu dans le couloir, une attirance, une chose qu'il n'arrivait pas Ă  comprendre, mais pourtant il se croyait incapable de faire quelque chose avec un mec, dans le sens oĂč le mec n'Ă©tait pas homo comme lui, mais c'Ă©tait bizarre dans le fond, il ressentait quelque chose, mais ce n'Ă©tait pas de l'amour, c'Ă©tait une attirance, qu'il n'arrivait pas Ă  oublier, mais bon ce n'Ă©tait pas trop dĂ©rangĂ©, il sourit en le regardant dans les yeux puis lui rĂ©pond aussi c'est trĂšs gentil. Ce que son ex meilleur ami et ses acolytes avait fait, il n'arrivait pas Ă  oublier pourtant le problĂšme n'Ă©tait pas le fait qu'il devait se vengĂ©, alors qu'il le regarde, il avait l'impression que James voulait savoir, est-ce qu'il se sentirait capable de dire Ă  quelqu'un ce qu'il s'est passĂ©, les gens autour de lui, du moins ceux qui Ă©taient lĂ , s'en rappeler beaucoup vu comment il Ă©tait, il avait vĂ©cu les pire moment de sa vie, mais comment dire Ă  quelqu'un qu'on ne connaissait pas vraiment ce qu'il se passait, mais enfin c'Ă©tait la vie malheureusement il n'y arrivait pas trop Ă  rĂ©aliser que quelqu'un qui voulait ĂȘtre avec lui, du moins il voulait parler avec lui c'Ă©tait dĂ©jĂ  qu'il lui dit qu'il ne fallait pas y pensĂ© c'Ă©tait souvent dur, surtout quand il s'agissait de votre ancien meilleur ami, que vous passez du temps avec lui, Ă  discuter de tout et de rien, c'Ă©tait dur d'imaginer que son meilleur pote Ă©tait capable de faire les pires choses au monde. Mais il n'avait pas tort, c'est vrai quoi il ne devait plus y penser, il le regarde puis lui rĂ©pond tout en le regardant dans les yeux. Je sais, c'est ça le pire, mais je n'y arrive pas, Ă  chaque fois que je viens ici, Ă  chaque fois que je passe les portes de la Fac, je revois les scĂšnes qui c'est dĂ©roulait, Ă  ton avis pourquoi je fais tout pour qu'on me remarque ? Pour faire rire et pour oublier ce qu'il s'est passĂ© ici, pour que j'oublie ce qu'il s'est passĂ©, je pense qu'une fois que j'aurais mon diplĂŽme je ne serais plus lĂ . Enfin si j'arrive Ă  dĂ©crocher. Merci beaucoup c'est gentil de ta part, mais je sais qu'Ă  prĂ©sent ils ne feront plus rien Ă  part sans doute parler sur mon de plus en plus grave, il avait osĂ© faire ce qu'il n'aurait jamais cru faire un jour, du moins sans que son interlocuteur soit d'accord c'est rare, mais cela arrive bien-sĂ»r mĂȘme trop souvent, mais que voulez-vous c'Ă©tait comme ça. Alors qu'il lui dĂ©pose sa main sur son Ă©paule, il comprenait alors que James ne le laisserait pas tomber, du moins il l'espĂ©rait. Il Ă©tait content de savoir qu'il pouvait au moins compter sur une personne de confiance. Ce qui Ă©tait bizarre, il rougissait, mais il n'Ă©tait pas mal Ă  l'aise, il Ă©tait bien il le regarde tout en souriant et lui rĂ©pond. Oui, c'est vrai on va dire que tu es le seul Ă  m'avoir Ă©coutĂ© donc je te fais confiance si tu me dis que j'ai du talent, alors je vais essayer de jouer devant un public, mais d'abord il faudra que tu montres tes que Embry Ă©tait diffĂ©rent, il faut dire que s'il regardait quelqu'un et qu'il n'osait pas aller lui parler c'est qu'il l'attirait, mais comment dire cela un mec certainement hĂ©tĂ©ro ? Il ne le savait pas, il ne parlait pas souvent de ses sentiments, sauf Ă  sa cousine ce qui Ă©tait rare. AprĂšs le baiser le jeune Embry le regarde, il venait de prendre conscience de ce qu'il venait de faire, c'Ă©tait bien plus grave, il baisse la tĂȘte, il savait qu'il n'aurait pas dĂ», pourtant il avait dĂ©posĂ© sa tĂȘte sur son Ă©paule. Il le regarde quand il lui faisait comprendre qu'il ne devait plus jamais refaire ce qu'il venait de faire. Il se retourne et va prĂȘt de la fenĂȘtre des toilettes et n'ose pas le regarder, puis bien-sĂ»r il le regarde, mais sans le suis dĂ©solĂ©, je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je sais que je n'aurais jamais dĂ» faire ça, pardonne retourne puis s'approche de la porte lĂ  oĂč Ă©tait James, le regarde puis dĂ©cide de sortir des toilettes doucement et le regarde nouveau en attendant qu'il prononce un mot, un petit quelque chose. Il sourit tristement, il savait qu'il n'aurait pas dĂ» c'Ă©tait dur la vie, mais lĂ  il avait Ă©tĂ© loin, trop loin il n'aurait pas dĂ», cela il le savait dĂ©jĂ . InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 18 Avr - 532 James n'aimait pas que l'on maltraite les autres. Et encore moins quand on se met Ă  plusieurs contre un. La, il semblait carrĂ©ment remonter contre ces mecs qui se prenaient pour les maitres du monde.. Enfin, il Ă©tait arrivĂ© trop tard. S'ils les avaient vu en train de le maltraiter, il ne serait surement pas restĂ© de marbre face Ă  ça.. - Oui mais plus personne ne te fait de mal... Alors il faut que tu passes a autre fait, il n'aimait pas jouer les psy, et devoir rassurer les gens sur des choses ou d'autres. Ce n'Ă©tait pas ce qu'il faisait de mieux. Il savait les amuser, pour que ceux ci pensent Ă  autres choses qu'a leur problĂšme, mais blablater pendant des heures pour qu'ils aillent mieux, ça non...En tout cas, Embry semblait ĂȘtre content d'avoir trouvĂ© une personne en laquelle il pouvait faire confiance... Du moins, c'est ce qu'il pensait. James n'Ă©tait pas non plus un ange. Il faisait du mal aux autres, consciemment ou non, juste pour se protĂ©ger du monde extĂ©rieur. Quoi qu'il en soit, il ne fallait pas toujours penser que c'Ă©tait un homme c'est vrai on va dire que tu es le seul Ă  m'avoir Ă©coutĂ© donc je te fais confiance si tu me dis que j'ai du talent, alors je vais essayer de jouer devant un public, mais d'abord il faudra que tu montres tes MarchĂ© conclu !Ça ne le gĂȘnait pas tant que ça de montrer son travail. AprĂšs tout, il faisait ça pour le partager, pour attirer l'Ɠil, pousser Ă  la rĂ©flexion, faire passer un message, susciter une rĂ©action... C'Ă©tait ça aussi, faire des photos, des dessins, pour que les gens donnent un opinion, une idĂ©e. Il ne faisait pas ça pour lui, et son par la suite qu'il se passa quelque chose de peu souhaitable... Enfin, il n'avait pas compris ce geste, pourquoi ? Il n'avait jamais rien compris Ă  toutes ces choses, et il n'en voulait pas, pas maintenant. Pas avec une personne qu'il venait de rencontrer, et avec laquelle il ne parlait que depuis tout a l'heure... Enfin... Non. Il n'arriva pas Ă  le repousser, il se contenta de reculer. Et resta sans voix. - Je suis dĂ©solĂ©, je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je sais que je n'aurais jamais dĂ» faire ça, pardonne moi. - Ce n'est rien... Mais je ne peux pas...Il ne savait pas quoi dire de plus, et ne prĂ©fĂ©ra pas rĂ©agir quand il vu Embry s'Ă©carter pour partir des toilettes... James venait d'ĂȘtre dĂ©sorientĂ© par cela, lui qui ne s'Ă©tait jamais consacrĂ© Ă  ces choses... L'amour, ou le sexe, enfin, tout ce monde qui attirait les gens au quotidien. Et on ne lui avait pas souvent fait ce genre d'avance, surtout aussi ouvertement. La, il ne savait plus quoi dire, il ne voulait plus rien dire. Il ne voulait pas de ça, tout simplement... C'Ă©tait comme une claque, un truc qu'il n'avait pas apprĂ©ciĂ©, car impensable au dĂ©part... InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re It's time to be happy... [ PV - Embry S. ] Dim 18 Avr - 1146 Si la bĂȘtise Ă©tait humaine, elle aurait pour prĂ©nom Embry » c'Ă©tait toujours comme cela il faut dire que le jeune homme faisait tout pour qu'on le remarque, ou alors il fait de choses que personne ne ferait, comme il venait de faire, c'Ă©tait stupide, il le savait dans le fond, c'Ă©tait surtout pour attĂ©nuer son envie, maintenant qu'il se sent mieux, il savait que James pouvait lui en vouloir, c'Ă©tait sans doute pour ça qu'il n'avait pas d'ami et que les autres prĂ©fĂ©rĂ©s lui en faire bavĂ© que d'ĂȘtre son ami, c'est vrai qu'il pouvait trĂšs bien comprendre, malheureusement c'Ă©tait comme ça, il n'arrivait pas trop Ă  garder des amis mecs, c'Ă©tait parce qu'il les trouvait trop mignon Ă  chaque fois et il ne pouvait pas rĂ©sister c'Ă©tait dans sa nature, il Ă©tait faible, il le savait dans le fond. Il n'avait pas tort, il ne devait plus y penser, mais c'Ă©tait toujours difficile vu qu'il croisait le regard des mecs tous les jours, qu'il savait que si un jour il se retrouvait seul, tout cela allait recommencer et il en sera encore plus coupable, mais bon il regarde de nouveaux le jeune homme et lui doute, je ne devrais pas, mais le fait que je croise leur regard tous les jours, c'est difficile d'oublier, je sais qu'un jour j'oublierais, cela dit il me faut du temps, mais je sais que j'y arriverais, avec le temps, je ne serais que plus fort de cette expĂ©rience du moins je l'espĂšre du fond du au jeune homme, Embry Ă©tait bien dans son rĂŽle de psychologue, Ă©coutĂ© les autres, les conseillĂ©s, les guidĂ©s tout ça c'Ă©tait un peu ce qu'il avait toujours rĂȘvĂ© de faire, mais depuis qu'il Ă©tait ici, rien ne ce passĂ© comme prĂ©vue, c'Ă©tait souvent lui qui avait besoin de parler, ce n'Ă©tait pas une mauvaise chose, il le savait dans le fond cela pouvait lui faire du bien vu qu'il n'aimait pas trop parler de ça, mais quand on peut rien faire, c'Ă©tait comme faisait bizarre de rencontrer quelqu'un de bien sympathique et lui il gĂąche tout, c'Ă©tait con, mais il faisait ça, en fait ce n'Ă©tait pas calculĂ©, mais quand il le voyait dans les couloirs il avait cette envie d'ĂȘtre avec lui, de lui parler, mais comme toujours ce n'Ă©tait qu'un film qu'il se faisait dans sa tĂȘte, il avait beaucoup de mal Ă  se mettre dans le bon Ă©tat d'esprit, il le regarde, le jeune homme n'osait pas sourire, n'osait rien faire, il savait qu'il avait pris gros en l'embrassant comme il venait de faire, c'Ă©tait Ă©trange, mais dans le fond de son ĂȘtre, il savait qu'il n'aurait jamais dĂ» faire ça, ce n'Ă©tait pas bien, mais pourtant c'Ă©tait son envie il se devait de le faire pour voir comment il allait rĂ©agir, il pourrait faire croire au jeune homme que c'Ă©tait un test pour voir comment il allait rĂ©agir, mais il le savait, il se ferait passĂ© pour un gros pervers ou un tarĂ© et c'Ă©tait bizarre il ne voulait pas que James pense ça de lui, parce que d'une Il n'Ă©tait pas un pervers et de deux, il n'Ă©tait pas tarĂ©, un peu fou sur les bords, mais pas tarĂ©, c'Ă©tait comme ça, des fois c'est notre courage qui prend le dessus et il faut dire que Embry n'avait pas l'habitude d'embrasser un garçon comme cela et rapidement, c'Ă©tait juste sur le coup de l'envie, il baissait cependant la tĂȘte parce qu'il s'en voulait, il ne voulait pas perdre un de ses futurs amis, il s'en voudrait s'il ne lui pardonnait pas, mais il s'en prendrait qu'Ă  qu'ils Ă©taient en train de faire un marchĂ©, le jeune homme lui dit marchĂ© conclu » il en Ă©tait tout content, il allait pouvoir voir pour la premiĂšre fois les dessins de son interlocuteur, c'Ă©tait peut-ĂȘtre une preuve de leur amitiĂ© qui sait ? Alors qu'Embry sourit encore une fois, il Ă©tait content de pouvoir parler avec quelqu'un d'autre que ce qu'ils connaissaient ! J'essaierais de ne pas ĂȘtre bien-sĂ»r ironique, le jeune homme n'Ă©tait pas mĂ©chant, il ne supportait dĂ©jĂ  pas la mĂ©chancetĂ© gratuite, il faut dire que pour qu'il soit mĂ©chant, il fallait dĂ©jĂ  le pousser assez loin, une chose que James n'avait pas fait, donc il ne voyait pas pourquoi il serait mĂ©chant, c'Ă©tait seulement que pour Embry l'art Ă©tait trĂšs important, donc les personnes qui utilisent lĂ  pour communiquer ne peut ĂȘtre qu'une bonne chose, il sourit en le aprĂšs la scĂšne du baiser dans les toilettes, le jeune homme se sentait un peu ... Stupide d'avoir fait cela comme-ci c'Ă©tait mal, dans un sens oui, ça l'Ă©tait il n'y avait pas de sentiment, seulement une envie, une toute petite envie de le faire, mais ce n'Ă©tait pas sexuelle, c'Ă©tait juste qu'il avait envie de l'embrasser depuis qu'ils se croisaient dans les couloirs sans jamais se parler, alors quand ils se sont parlĂ©, le jeune Embry avait cru qu'il en avait aussi envie, mais apparemment ce n'Ă©tait pas le cas et pour la soixante-dixiĂšme fois Ă  la Fac, le jeune homme venait de se ridiculiser, surtout qu'il venait de dire qu'il ne pouvait pas. C'Ă©tait normal, il pouvait comprendre, qui aurait envie d'embrasser Embry ? Il n'avait eu que des coups d'un soir, il n'avait pratiquement jamais eu de relation sĂ©rieuse avec un mec, mais ce n'Ă©tait pas le plus important, il le regarde et lui suis vraiment navrĂ© pour ce que j'ai fait, je n'aurais pas dĂ» et je m'en veux, je me trompe toujours et j'avais cru que ... Enfin, laisse j'espĂšre que cela ne brise pas notre marchĂ© ? Et surtout notre amitiĂ© qui ne faisait que commencĂ© ? Je m'en voudrais n'avait pas envie de faire croire Ă  James qu'il avait envie que de coucher, ce n'Ă©tait pas le cas, il aimait prendre son temps, mĂȘme si des coups d'un soir, le jeune homme en avait eu quand mĂȘme, il ne recherchait pas ça actuellement, il cherchait des amis et sans doute et pourquoi pas un petit ami, mais il Ă©tait sur et certain que le jeune homme n'Ă©tait pas intĂ©ressĂ©, mais bon il sourit en espĂ©rant qu'il ne lui dit pas que leur amitiĂ© et leur marchĂ© Ă©tait fichu, que James ne voulait plus voir Embry. C'est vrai qu'Embry n'avait pas de complexe, qu'il embrassait les mecs devant tout le monde, le pire dans tout cela, c'est qu'il n'avait pas honte et puis pourquoi aurait-il honte de ça ? C'Ă©tait dans la nature humaine d'embrasser et tout, il le regarde en espĂ©rant que la rĂ©ponse ne soit pas trop nĂ©gative. Il lui sourit. 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comment espionner quelqu un sous la douche