Unbattement d'ailes de papillon et il était devenu l'égal de l'unique Mark Spitz, sacré champion olympique à sept reprises, à Munich en 1972. Phelps terminerait le travail le lendemain, avec
RemcoEvenepoel, né le 25 janvier 2000 à Schepdael, est un coureur cycliste belge, membre de l'équipe Quick-Step Alpha Vinyl.Considéré comme l'un des principaux espoirs du cyclisme, il fait ses débuts professionnels en 2019. Il a notamment remporté la Classique de Saint-Sébastien en 2019 et 2022, le championnat d'Europe du contre-la-montre en 2019, le Tour de Pologne en
Ily aura 3 possibilités de qualification pour cette compétition aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020: via le classement de la FIBA pour le 3x3 (4 places par sexe); via un tournoi de qualification olympique (3 places par sexe); et via un tournoi de qualification olympique universel (1 place par sexe). Plus de détails ici. UIPM . La pentathlète Ilke Ozyuksel a reçu le prix Mustafa
Cesamedi 18 juin, à 16h00, Paris accueillera pour la première fois la mythique Red Bull Cliff Diving. Face à la Tour Eiffel, au port Debilly, la compétition rassemblera les 24 meilleurs plongeurs et plongeuses de la planète, dont l’homme le plus titré du circuit : le français Gary Hunt qui jouera à domicile. Face à lui, le britannique Aidan Heslop, premier au classement général.
LaFrançaise Emilie Fer est devenue championne olympique de kayak dames de slalom, jeudi sur le bassin des JO de Londres à Lee Valley. Fer, 29 ans, s'est imposée en finale devant l'Australienne Jessica Fox et l'Espagnole Maialen Chourraut. Fer, 7e à Pékin en 2008, puis médaillée d'argent à l'Euro-2009, apporte la deuxième médaille d'or au slalom français, deux
Ligue1 : «On ne peut pas réaliser une telle performance sans un état d'esprit exceptionnel», note Génésio Par Le Figaro avec AFP Publié le 07/11/2021 à 23:50 ,
ymi4F. Belga Ancien coureur de demi-fond, Gary Lough est désormais l'entraîneur de Bashir Abdi. Le Britannique, présent à Eugene pour encadrer le Gantois lors du marathon des Mondiaux d'athlétisme, a fait preuve d'un mélange de sentiments malgré la deuxième médaille de bronze acquise par Abdi en moins d'un an, après celle décrochée aux JO de Tokyo l'été dernier. "Si je suis honnête, je dois avouer que je m'attendais à mieux", a lancé tout de go Gary Lough avant de nuancer ses propos. "Mais je pense qu'il faut malgré tout se montrer satisfait car nombreux étaient les athlètes capables d'accrocher une médaille et beaucoup n'y sont pas parvenus. Bashir décroche une médaille de bronze mondiale après celle des Jeux, mais je pense qu'il était potentiellement capable de mieux." Lough a notamment déploré les problèmes de ravitaillement, Bashir Abdi ayant raté six des huit boissons proposées. "On a souffert de problèmes de communication et il ne s'est peut-être pas mis dans la bonne position pour avoir accès à ses bidons. Il y avait beaucoup de gens, peut-être plus qu'anticipé. Cela a provoqué de la frustration et ce n'est pas la meilleure posture mentale quand vous courrez un marathon contre les meilleurs du monde. Peut-être que s'il avait été plus calme et bénéficié de ses boissons, il aurait pu accompagner Tamirat Tola le vainqueur final, ndlr, mais il s'est montré un peu trop hésitant." Belga
Forums des Zéros Une question ? Pas de panique, on va vous aider ! Accueil > Forum > Site Web > PHP > Réaliser un classement Liste des forums 8 avril 2010 à 192743 Bonjour ! j'aimerai réaliser un classement à l'aide d'une table mysql voici ma structure de table table classement saison, equipeid, id_rencontre, num_journee, equipe, score c'est pour un classement de tennis de table mais je vais changer ça ici pour faire avec du foot ça va peut etre, être mieux compris D du coup ça me fait des lignes du genre '2010', '1', '1', '1', 'Lyon', 5 '2010', '1', '1', '1', 'Marseille', 5 ici c'est par exemple saison 2010, en Ligue 1 equipeid, l'id de la rencontre est de 1, journée 1, Lyon 5 - Marseille 5. j'aimerai lister tous les buts de chaque équipe en faisant une somme, les buts encaissés, le nombre de victoire ça je compte faire ça en PHP avec les conditions, le nombre de défaites ainsi que le nombre de buts encaissés. le tout avec des variables. le problème que je suis confronté ==> quand je veux par exemple lister le nombre de buts inscrits par une équipe durant une même période je vois pas trop comment faire ... merci beaucoup de votre aide 8 avril 2010 à 195549 Hello Citationquand je veux par exemple lister le nombre de buts inscrits par une équipe durant une même période je vois pas trop comment faire ... Il faut que tu rajoutes quelques petites choses dans la close WHERE de ta requête SQL. Par exemple, quelque chose comme ça je ne suis pas certain de la syntaxe SELECT SUMscore as buts FROM table WHERE equipe="Lyon" AND num_journee BETWEEN 3 AND 5 Devrait renvoyer le nombre de buts marqués par Lyon entre la 3ème et la 5ème journée. 8 avril 2010 à 201152 oui mais pour faire cela dans toute les équipes ce n'est pas possible ? car s'il faut que je fasse ça dans toutes les équipes de mon club !! merci 8 avril 2010 à 201429 Il doit y avoir moyen de faire ça avec des GROUPE BY, mais mes connaissances en SQL ne sont malheureusement pas assez solides pour t'en dire plus. Tu pourrais peut-être t'en sortir en relisant la partie concernée du tuto PHP. 8 avril 2010 à 201727 merci à toi si certains ont d'autres idées n'hésitez pas Anonyme 8 avril 2010 à 203824 Bonsoir, Tu peux mettre une exportation de ta table j'ai une petite idée mais je voudrais tester avant de marquer n'importe quoi. Si j'ai bien compris ton souhait, totalisé les but et affichage par équipe avec un classement décroissant sur les butSELECT sum`score` as total_but, `equipe` FROM `classement` group by `equipe` order by `total_but` DESC 9 avril 2010 à 173718 en faite ce que j'aimerai faire => afficher un classement en fonction des points obtenus par équipe. j'ai réfléchi et je pense que mettre le nombre de points gagnés par équipe dans la BDD serait plus facile. avec ma table score, j'ai une table qui gère les matchs table rencontres/ voici ma table rencontres CREATE TABLE IF NOT EXISTS `rencontres` `rencontre_id` int11 NOT NULL auto_increment, `saison` int11 NOT NULL, `equipeid` int11 NOT NULL, `num_journee` int11 NOT NULL, `type_champ` varchar100 NOT NULL, `domicile` varchar100 NOT NULL, `exterieur` varchar100 NOT NULL, `score_domicile` varchar10 default NULL, `score_exterieur` varchar10 default NULL, PRIMARY KEY `rencontre_id` ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=7 ; - - Contenu de la table `rencontres` - INSERT INTO `rencontres` `rencontre_id`, `saison`, `equipeid`, `num_journee`, `type_champ`, `domicile`, `exterieur`, `score_domicile`, `score_exterieur` VALUES 1, 2010, 1, 20, 'français', 'Rennes', 'Lyon', '3', '0', 2, 2010, 1, 20, 'français', 'Marseille', 'Paris SG', '1', '1', 3, 2010, 1, 21, 'français', 'Paris SG', 'Rennes', '3', '0', 4, 2010, 1, 21, 'français', 'Marseille', 'Lyon', '1', '1', 5, 2010, 1, 22, 'français', 'Rennes', 'Marseille', '2', '2', 6, 2010, 1, 22, 'français', 'Lyon', 'Paris SG', '3', '0'; - Structure de la table `score` - CREATE TABLE IF NOT EXISTS `score` `saison` int11 NOT NULL, `equipeid` int11 NOT NULL, `num_journee` int11 NOT NULL, `equipe` varchar100 NOT NULL, `score` varchar10 default NULL, `points` int11 NOT NULL, PRIMARY KEY `saison`,`equipeid`,`num_journee`,`equipe` ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8; - - Contenu de la table `score` - INSERT INTO `score` `saison`, `equipeid`, `num_journee`, `equipe`, `score`, `points` VALUES 2010, 1, 20, 'Lyon', '1', 0, 2010, 1, 20, 'Marseille', '1', 1, 2010, 1, 20, 'Paris SG', '1', 1, 2010, 1, 20, 'Rennes', '2', 3, 2010, 1, 21, 'Lyon', '1', 1, 2010, 1, 21, 'Marseille', '1', 1, 2010, 1, 21, 'Paris SG', '2', 3, 2010, 1, 21, 'Rennes', '0', 0, 2010, 1, 22, 'Lyon', '2', 3, 2010, 1, 22, 'Marseille', '2', 1, 2010, 1, 22, 'Paris SG', '0', 0, 2010, 1, 22, 'Rennes', '2', 1; EDIT => je voudrai faire le classement par équipe donc je pensais à une boucle mais le problème c'est qu'il ne faudrait pas que je mette un nom d'équipe dans la requête car il faudrait que le classement se fasse quelque soit les équipes. Le classement se composerait de la manière suivante - nom de l'équipe - match joué en faisant un COUNT - victoires en comptant les 3 points - nuls en comptant les 1 point - défaites en comptant les 0 pt - buts marqués pour ça je ne sais pas comment m'y prendre - buts encaissés pour ça je ne sais pas comment faire. merci Anonyme 9 avril 2010 à 183618 re, Difficile de répondre comme cela directement cela demande tout de même un peut de réflexion car à mon sens en première analyse tu es très mal partie dans la conception des tables beaucoup de chose redondante car pout moi tel que je le vois la en 2mn Une table équipe avec id, id_equip, nom, nb_journees_jouee et point qui va servir au classement Une table match avec id, id_match, journee, id_equip_local, id_equip_exterieur, but_local, but_exterieur qui va servir à afficher les matchs avec une liaison pour reprendre le nom des équipes avec la table précédente et qui lors de la mise à jour doit aussi mettre à jour le nombre de point dans la table précédente en fonction du résultat et si le nb de journée est bien inférieur à la journée table match, mais déjà je vois ce pointer le problème comment gérer les journée en retard quand une journée est décalé bien que j5 est aussi bien inférieur à 8 que 5 si c'est la 5 qui est faite plus tard Donc il faut bien poser le problème sur papier et bien analyser ce que doit faire tout cela.... et d'autre table mais que je n'arrive pas la tout de suite à définir sans bien poser le problème. Si quelqu'un a un autre avis avant que je parte complètement dans la réflexion ou que fasse partir "fandusrfc" sur une fausse piste!! 9 avril 2010 à 185053 bah si une journée est décalée on laisse le 0-0 par défaut non ? mais après je vois pas comment nommer une équipe en variable pour faire le classement ça, çà m'échappe complètement. Merci à toi en tout cas Anonyme 9 avril 2010 à 185608 re, dans la table classement tu va utiliser le nom de l'équipe avec un order by sur les point l'id_equip ne servira que de liaison vers les autres tables la référence en quelque sorte mais comme dit cela mérite une vrais analyse et pas une réponse toute faite en 5mn!! Car la ce qui est important pour que ton script fonctionne bien et de très bien concevoir les tables après le php c'est le dessert!! 9 avril 2010 à 190103 oui et pour prendre les buts marqués et encaissés ? car c'est le même numéro de match par définition juste le nom de l'équipe qui change. ne t'inquiète pas j'ai déjà réfléchi murement à la question ! mais il y a toujours des améliorations ! merci Anonyme 10 avril 2010 à 195912 merci, je vais regarder mais je préfère faire moi même, au moins je sais ce que je fais ! Anonyme 11 avril 2010 à 03035 merci il n'y en a pas de gratuit du même type qui sont bien ? Anonyme 11 avril 2010 à 103834 re, Tu as ici une version gratuite de navicatMysql ==> Navicat Lite par contre je ne sais pas du tout ce qu'il vaut je suis en train de tester un peut la version pleine mysql ==> Navicat for MySQL Exemple en illustration structure des tables seulement deuxCREATE TABLE `equipe` `id` tinyint9 NOT NULL AUTO_INCREMENT, `nom_equipe` varchar50 DEFAULT NULL COMMENT 'Nom de l''equipe', `nb_journees_jouee` int11 DEFAULT NULL, `point` int11 DEFAULT NULL, PRIMARY KEY `id`, UNIQUE KEY `nom_equipe` `nom_equipe` ENGINE=MyISAM AUTO_INCREMENT=6 DEFAULT CHARSET=utf8; - - - Records of equipe - - INSERT INTO `equipe` VALUES '1', 'strasbourg', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '2', 'lyon', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '3', 'laval', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '4', 'auxere', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '5', 'paris', null, null; - - - Table structure for `resultat_match` - - DROP TABLE IF EXISTS `resultat_match`; CREATE TABLE `resultat_match` `id_match` tinyint11 NOT NULL AUTO_INCREMENT, `journee` int11 DEFAULT NULL, `id_equip_local` int11 DEFAULT NULL, `id_equip_exterieur` int11 DEFAULT NULL, `but_local` int11 DEFAULT NULL, `but_exterieur` int11 DEFAULT NULL, `joue_le` timestamp NOT NULL DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP ON UPDATE CURRENT_TIMESTAMP, PRIMARY KEY `id_match` ENGINE=MyISAM AUTO_INCREMENT=6 DEFAULT CHARSET=utf8; - - - Records of resultat_match - - INSERT INTO `resultat_match` VALUES '1', '1', '1', '3', '3', '2', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '2', '1', '3', '4', '2', '2', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '3', '1', '5', '2', '0', '0', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '4', '2', '4', '5', '3', '2', '2010-04-10 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '5', '2', '2', '1', '3', '2', '2010-04-10 235050'; Vue relationnel entre les tables Code php pour la page résultat des match Untitled Document '; echo 'Journée '.$donee['journee'].''; echo 'Le match entre '.$donee['equip_local'].' et '.$donee['equip_exterieur'].''; echo 'Resultat des buts '.$donee['but_local'].'-'.$donee['but_exterieur'].''; } mysql_close$conect; ?> et voila le résulta en affichage Alors la c'est un exemple simple qui ne montre peut être pas complètement l'intérêt de la procédure, mais déjà on constate que la table "resultat_match" ne comporte que des valeur numérique donc très légère et c'est la table "equipe" qui contient du texte et en même temps pourra être réutilisé pour faire l'affichage des statistiques de point sur la saison en cour. Réaliser un classement × Après avoir cliqué sur "Répondre" vous serez invité à vous connecter pour que votre message soit publié. × Attention, ce sujet est très ancien. Le déterrer n'est pas forcément approprié. Nous te conseillons de créer un nouveau sujet pour poser ta question.
Championnats du Monde 2006 Championnats de France 2005 Coupe de France en 2005 Championnats de France 2007 Site Championnats du Monde 2006 VR4 à Gera le hold up » des amis Après les Championnats du Monde 2003, Martial Ferré et moi-même, décidons d’arrêter la compétition Internationale. Mais, pour le plaisir, pour le sport, nous composons une équipe de VR8 avec d’autres anciens champions pour participer aux Championnats de France. Malgré le peu d’entraînement, nous pensons pouvoir réaliser quelques bons sauts et mettre ainsi un peu de pression amicale aux p’tits jeunes » du nouveau VR8 France, afin de les aguerrir pour leurs futurs rendez-vous internationaux. Bilan nous gagnons les Championnats de France 2004. En 2005, à la suite d’un malentendu avec un des équipiers, l’équipe se sépare. Mais Davide Moy, Julo Losantos, et Erwan Pouliquen, me proposent de remplacer dans leur VR4 Marin Ferré, qui doit suivre une formation professionnelle dans le cadre de sa reconversion. L’équipe Nice-Gap-Autrement est née. Elle est complétée par Yves Negrier, remplaçant, et Nicolas Ruellou, Videoman. Nous sommes Champion de France de VR4 en 2005, 2006 et 2007, terminons deuxième au Malievsky cup en 2006 avec une moyenne de points. Mais la plus belle page de l’aventure sera écrite lors des Championnats du Monde 2006 à Gera. Voir la video des championnats du monde 2006 VR4 à Gera En 2006, le contexte au niveau de la Direction Technique Nationale est morose. Il a été décidé de ne présenter aucune équipe de VR4 aux Championnats du Monde. Il n’y a pas d’équipe nationale en titre et le niveau des équipes espoirs est trop faible. Pour la première fois de l’histoire du parachutisme français, il n’y aura pas d’équipe de France aux Championnats du Monde. Nous décidons alors de relever le défi. Nous faisons part aux instances de la FFP de notre volonté de participer à la compétition, avec nos moyens propres. Après réflexion, la Direction technique Nationale accepte d’envoyer aux Championnats du Monde l’équipe qui sera Championne de France. C’est à nous de jouer. L’aventure commence, comme toujours avec sa part d’obstacles et d’incertitudes pour chacun. Pour ma part, après 8 ans de présence dans le VR8 France, je ne suis inscrit sur la liste des sportifs de haut niveau Elite » du ministère de la jeunesse et des sports que jusqu’au 31 décembre 2005. En avril 2006, je demande à mon entreprise, EDF, qui m’a toujours soutenu, du temps pour l’entraînement et les compétitions. Elle est d’accord, à la condition que je sois ré‑inscrit sur la liste des sportifs de haut niveau. Malheureusement les délais administratifs sont échus. Je ne pourrai pas bénéficier de détachements pour les entraînements et les compétitions. En 2006, au niveau international, les équipes fortes sont les américains, avec 2000 sauts d’entraînement, les Italiens, avec 1800 sauts, les Russes, avec 2000 sauts, les Belges, 1600 sauts et les Norvégiens, 1600 sauts et des dizaines d’heures de soufflerie à leur actif. Nous n’atteignons, grâce à l’implication du centre de Gap-Tallard et du CP Nice qu’un volume d’entraînement de … 101 sauts. Malgré l’expérience accumulée pendant de nombreuses années en compétition, le groupe est conscient qu’avec seulement quelques dizaines de sauts, il est difficile d’espérer, sauf miracle, un très bon résultat aux Championnats du Monde. La philosophie du groupe est basée en priorité sue le plaisir de voler ensemble, sans pression. Nous sommes tous animés par la passion de la compétition et nous partageons une grande complicité. L’objectif est de finir dans les 5 premiers et d’approcher 21 points de moyenne. Pour trois d’entre nous, ces Championnats du Monde seront les derniers. Nous voulons représenter la France dignement. Mon expérience du VR4 est bien inférieure à celle de mes coéquipiers, qui sont tous de grands spécialistes, avec des titres prestigieux vice-Champion du Monde en 2001 en Espagne et en 2004 en Croatie, Champion du Monde en 2003 à Gap. Depuis 1987, toutes les équipes de VR4 françaises ont toujours fini premières ou deuxièmes lors des Championnats du Monde. En outre, j’ai la lourde tâche de remplacer, en seulement 100 sauts, Marin Ferré. Si nous terminons au-delà de la cinquième place, la responsabilité en incombera à Polo. J’avoue que je ressens une certaine tension. Il va falloir rester concentré jusqu’au bout, ne rien lâcher quoiqu’il arrive. Rien à perdre » sera mon credo. Notre préparation à la compétition s’articule autour de 2 stages d’entraînement à Gap ; généralement, nous effectuons 10 sauts le matin et l’après-midi est consacrée aux débrieffing, chez Davide. L’entente est parfaite. Le budget fédéral est réservé aux équipes espoirs ; nous respectons cette décision je tiens à confirmer ce point ici. Contrairement à certaines allégations, notamment sur internet, nous n’avons ni pris la place des jeunes », ni profité du budget fédéral ». Nous sommes soutenus par le Centre de Gap-Tallard et par notre ami JP. Roso, Président du CPN qui nous permettent d’ effectuer une centaine de sauts. La société Icarius, Corrine Fitgérald, finance le voyage en Russie. La société Basik Air Concept, Jérôme Bunker, met à notre disposition du matériel pour les Championnats de France et l’entraînement. La société VIGIL, Yahnn Brohnnec nous offre les système de sécurité. Notre ami Bernard Conédéra, directeur de la cave des vignerons réunis de Sainte Cécile les vignes, est chargé … de la lutte contre la déshydratation. Le Championnat de France, à Vannes, est le premier test sérieux. Nous remportons la compétition assez facilement, avec 19 de moyenne, devant nos amis de Véloce qui n’affichent qu’un petit » 15,6. Mais nos sorties sont trop longues, la réalisation des blocs irrégulière. Toutefois, de très bons passages pendant les sauts nous donnent confiance. Nous savons à quoi doivent être consacrés les derniers jours d’entraînement. La compétition commence dans 15 jours. A notre arrivée à Gera, nous sentons que cette semaine des Championnats du Monde sera nerveusement difficile à gérer. Dès les premiers jours, nous retrouvons l’ambiance fébrile de la compétition. Le visionnage des sauts d’évaluation, notamment de l’équipe belge, est assez impressionnant ; le niveau s’annonce très relevé. Nous pensons aux aléas de la météo, aux attentes, parfois longues, mais aussi à l’enrichissement fabuleux que représente cette aventure dont nous avons tant rêvé. J’ai la curieuse sensation que je devais être là . Je suis déterminé à savourer chaque instant, de l’aboutissement de cette aventure pour laquelle nous avons, auparavant, fait tant de sacrifices. J’aime cette ambiance lors des compétitions internationales car toutes les équipes ressentent la même émotion, celle du dépassement de soi. La météo est capricieuse, les attentes sont interminables, les appels à l’embarquement puis les annulations ou les stands by » se multiplient. Les montées en avion jusqu’à 2000 mètres puis les re-descentes, les re-sauts », les re‑re‑sauts » seront le quotidien de ces dix jours de compétition. Nous avons, en plus, à supporter une certaine tension avec les membres de la DTN présents sur place, après des critiques dans Paramag au sujet du refus de la Fédération de prolonger mon statut de sportif de haut niveau. Nous avons tous la conviction que, comme souvent en compétition, c’est le mental qui fera la différence. Malgré cela, la pression est bien gérée. Elle s’efface devant la volonté collective de faire de bons sauts, sans penser au résultat final. Nous voulons profiter pleinement de ces instants magiques, tout en étant conscients qu’avec si peu d’entraînement, il ne faut pas s’attendre à un miracle face à des équipes très entraînées et expérimentées. Avant chaque saut, chacun répète le programme ; les yeux fermés pour certains, les écouteurs d’un baladeur dans les oreilles pour d’autres. La compétition de haut niveau doit s’approcher prudemment, avec finesse, pour être maîtrisée. Elle reflète chaque personnalité, la sérénité ou l’agressivité, sans tricherie possible. C’est d’abord une lutte contre soi-même. Dans quelques instants chacun va puiser au fond de lui toute son énergie pour voler le plus vite possible en harmonie avec le groupe. C’est l’instant où le temps suspend son vol, celui où le présent est le plus présent. J’ai toujours aimé ce moment on l’on oublie l’enjeu, le contexte, pour s’enivrer de la perfection du geste. premier saut 1. Nous sommes dans l’avion, sur axe. Les équipes devant nous quittent l’avion. Tous nos sens sont en éveil. Mise en place pour la figure N en direct. Elle sort parfaitement. Pour ce premier saut nous sommes animés par un stress positif. Le saut se déroule bien, les blocs » et les libres » s’enchaînent. Nous sommes pénalisés de 2 fautes imaginaires, le score final est de 17 points au lieu de 19. Mais qu’importe, nous sommes dans le rythme des meilleures équipes mondiales. Le vol est pur, le plaisir est là . Moi cela me va bien. Nous sommes sixièmes ex æquo avec les Allemands. deuxième saut. Le saut est technique, nous décidons d’éviter la mémo » en jouant avec le joker » ; un joker dans notre jargon, est un choix de construction plus long permettant d’éviter la mémorisation 2 pour certains équipiers. L’option retenue est de bâtir le saut avec des transitions non standards. Avec Julo en solo, le bloc 3 est fulgurant ; … le plus rapide du monde » d’après nos amis américains. Le résultat s’affiche 25 points, ex æquo avec les norvégiens et les belges. Seuls les américains et les italiens sont devant, avec respectivement 27 et 26 points. Nous gagnons une place ; nous sommes cinquièmes. troisième saut. Sur axe les allemands refusent de sauter, car les nuages sont denses, à bord trois autres équipes refusent à leur tour et demandent au pilote de redescendre. Nous manifestons notre volonté de sauter quand même. Dans l’avion la surprise est générale. En riant, nous nous frayons un chemin entre nos concurrents stupéfaits. Nous nous mettons en place. En sortie, la figure D directe est parfaite, les enchaînements rapides et les blocs réguliers. Résultat final 23 points, ex æquo avec les Russes. Nous reprenons un point aux Italiens. Seuls les Américains marquent un beau 25 points et s’envolent vers la victoire. Nous sommes quatrièmes. 1 En compétition de vol relatif à 4 VR4 chaque saut, est tiré au sort par les juges la veille de la compétition. C’est une combinaison de figures libres au nombre de 16, désignées chacune par une lettre et de blocs, qui combinent 2 figures au nombre de 22, désignés chacun par un nombre. Un libre vaut un point un bloc deux points. Pour déterminer un saut, les juges tirent des figures jusqu’à 5 points 6 au maximum 3 blocs. 2 C’est le terme utilisé lorsque 2, ou les 4 équipiers, doivent mémoriser le double de figure pour un saut, à cause du changement de leur place initiale dans la formation à l’issue d’un bloc. quatrième saut. Cette manche est décisive pour nous. Sans le savoir, je vais bientôt effectuer le saut le plus marquant de ma carrière. En sortie, la figure L directe est correcte, le lâché » rapide. Malgré la mémorisation pour Julo et moi, car le joker s’avére trop long pour cette construction. Les enchaînements sont dynamiques et les blocs passent sans accrocs. La plupart des équipes de tête sont à 17 points, sauf les Italiens qui effectuent un saut exceptionnel et marquent 19 points. Il semble que la manche soit pour eux. Notre saut est jugé 18 points. En fait, nous réalisons 19 points, mais nous sommes pénalisés d’un point car nous sommes passés dans les nuages et les juges n’ont pu voir une des figures. Nous avons le choix entre garder nos 18 points ou sauter à nouveau. Avec 18 points nous restons à la quatrième place provisoire au général. Nous hésitons à re-sauter » car nous savons bien que lorsque l’on effectue un bon saut, il est rare de pouvoir le réitérer dans la foulée ; à cause notamment du relâchement naturel de la concentration et de la perte d’influx nerveux. Finalement, nous décidons de tenter à nouveau notre chance. Nos concurrents directs attendent le résultat avec impatience. L’exécution du nouveau » saut est la copie fidèle de celle du précédent. A la surprise générale, nous réitérons notre performance. Le verdict tombe 18 points ; nous sommes encore passés dans les nuages et une figure n’a pu être jugée. Nous avons, à nouveau, la possibilité de refaire le saut. Conscients de vivre un moment inédit, nous nous consultons et … nous acceptons le re-re-saut ». Nos adversaires passent de la surprise à l’incrédulité. Nous avons 45 minutes pour nous concentrer, faire abstraction de la situation et de l’environnement. L’appel des 15 minutes retentit. Nous sommes en fin de journée. Comme un rituel, sous le regard du public, nous repassons une dernière fois les enchaînements sur les planches à roulettes, nous effectuons un bref passage par la maquette de l’avion pour une ultime répétition de la sortie. Cette fameuse sortie L, celle qui ne s’est jamais bien passée lors de nos entraînements à Gap, celle que nous n’avons parfaitement réussie que deux fois, lors des 2 sauts précédents. Il faut que la mise en place soit à nouveau la même. Nous sentons que sommes au nœud de la compétition. La météo est incertaine, sans doute que les dix sauts prévus ne seront pas tous réalisés. Le danger, à ce niveau de la compétition est l’excès de confiance, plutôt que la crainte. Il peut nous faire perdre le sens de l’air », la sensation des mouvements. La conscience de vol n’est pas acquise, elle doit se conquérir à chaque saut. C’est la beauté du sport, de notre sport, au-delà de la technique la plus pure règne l’humain. Au milieu de la foule des supporters nous nous dirigeons vers l’embarquement faire le vide autour de nous, préserver la bulle, garder cette philosophie du plaisir de voler ensemble. Plus que jamais nous n’avons rien à perdre ». Nous sommes la première équipe à sortir de l’avion. Placé prés de la porte vitrée, à 1000 mètres, je regarde le paysage. Je m’efforce d’être dans le même état d’esprit qu’à l’entraînement. 2500 mètres, il faut commencer à s’isoler. D’un même mouvement, nous enfilons casques et gants. Les regards sont remplis de complicité, les altimètres indiquent 3200 mètres, deux minutes avant le largage, la lumière est rouge. La lumière est jaune, nous sommes sur axe. Davide et Julo ouvrent la porte, nous nous mettons en place. La lumière est verte, nous saisissons nos prises, je suis en piqueur, en cater » dans les jambes de Davide, qui est lui-même piqueur, en valise » sur Erwan. Ce dernier, en flotteur bas, se tient avec la main droite à l’avion et avec la gauche, il tient la jambe gauche de Julo flotteur haut. Davide donne le OK. En sortie, la figure L est à nouveau réussie, comme les deux fois précédentes. Le lâché, dans le vent relatif, pour aller en bipole » est rapide. Les transitions s’enchaînent bien, la mémo » n’est plus un problème, l’anticipation et la concentration sont au rendez vous. Les blocs sont fluides, les prises tombent dans les mains. Rien n’accroche dans ce saut. Aujourd’hui, en fermant les yeux, je peux revivre encore et encore chacun de ces instants magiques. Dès l’atterrissage, nous sommes satisfaits, car nous savons que nous avons réalisé un bon saut, en tout cas pas plus mauvais que les deux précédents. Nous attendons le résultat. Le jugement se fait pendant le visionnage de l’enregistrement du saut, en direct dans le grand hangar de l’aérodrome de Gera. Tous les compétiteurs et supporters sont présents. Sur l’écran géant apparaît, à coté du drapeau français, le numéro de notre équipe. On aperçoit notre mise en place. Nous retenons notre souffle. Le OK de départ de Davide est bien visible. Le chronomètre se déclenche. Le silence s’est installé dans ce hangar immense. Chacun de nous vit le saut avec la même intensité que pendant la chute. 17 points, 18 points, il reste encore du temps, à 35 secondes l’image s’arrête sur un score final de… 21 points. Après un instant de stupeur, une clameur retentit, celle des encouragements et des applaudissements des supporters et des compétiteurs. Nous sommes deuxièmes ex æquo avec les Italiens et nous devançons d’un point les russes. C’est la première fois qu’un saut est refait trois fois dans un Championnat du Monde. Je totalise à ce jour 17300 sauts, mais c’est ce septième saut à Gera qui m’a le plus marqué de toute ma carrière. Envahis par une joie profonde, nous sommes conscients, malgré l’euphorie ambiante, que la compétition n’est pas terminée. Nous n’avons rien à perdre, mais nous sentons que quelque chose est train de se passer. Nous devons garder notre sérénité. Le saut suivant sera déterminant ; toutes les équipes sont dans un mouchoir de poche, la moindre erreur peut nous évincer du podium. cinquième saut. Malgré les appels à répétition, les stands by », les montées suivies de re-descentes en avion, il faut rester dans la compétition. Nous sommes dans le dernier avion de la journée. Nous ne savons pas encore que ce saut sera le dernier de la compétition, à cause de la météo. La figure F en sortie d’avion n’est pas difficile à réaliser, mais fragile part sa conception . Sa réalisation peut s’avérer délicate. Malgré notre classement actuel, sans hésitation nous décidons de la sortir en direct. Nous resterons fidèles à l’esprit qui nous anime. Il est difficile de décrire à posteriori les sensations à ce moment là , cette alchimie entre confiance et entente, la concentration à son paroxysme. Nous sommes au crépuscule, mise en place, le OK est donné. La sortie se passe très bien, le saut se déroule avec fluidité, les blocs, la mémorisation pour Julo et moi, l’anticipation. J’ai l’impression que rien ne peut nous arriver. Le vol est intuitif, la pression bien gérée. Quinze minutes après notre posé », tout le monde est réuni devant l’écran géant et attend les derniers résultats. A ce moment, nous sommes deuxièmes ex æquo avec les Italiens, en cas d’égalité sur ce dernier saut, ce sera toujours le cas. Dans cette situation, le règlement stipule que l’avantage est donné à l’équipe qui affiche le meilleur score sur un des sauts. Les Italiens ont réalisé 26 points sur le deuxième, notre meilleure performance, sur le même, est 25 points. Si les deux équipes obtiennent le même score, c’est eux qui seront sacrés vice-Champion du Monde. Il est tard, le verdict définitif tombe les Russes ont 25 points, les Italiens 24 points et nous … 25 points. Nous laissons éclater notre joie. Nous sommes vice-Champion du Monde de vol relatif à 4 après seulement 101 sauts d’entraînement. L’équipe Championne du Monde et la délégation américaine qualifieront cette aventure de hold up du siècle ». Le lendemain, Creg Girard, Gary Smith et Solly Williams, présents aussi à Gera, viendront me féliciter, en m’annonçant que je fais désormais partie du cercle très restreint des cinq relativeurs mondiaux le cinquième est Pete Allum de plus de 40 ans à dépasser les 22 points de moyenne. Voir la video des championnats du monde 2006 VR4 à Gera Au moment où le récit s’achève, je ne peux refermer le livre des souvenirs sans saluer la performance historique, lors de ces mêmes Championnats du Monde, du 8 France ». Qui devient Champion du Monde dans la catégorie VR8, face à des Airspeed déstabilisés par la technique, la discipline et la lucidité de l’équipe française. Cette victoire, ils ne la doivent qu’à eux-même et à leur entraîneur Erwan Pouliquen, qui devient le premier relativeur français à avoir décroché un titre de champion du Monde en VR4 et en VR8. Leur trajectoire les conduira jusqu’aux Championnats du Monde 2008, où ils obtiendront une victoire écrasante sur leurs adversaires. Une pensée amicale aussi pour le VR4 féminin, déçu à Gera. Les filles seront seulement » vice-Championnes du Monde derrière les anglaises, après les avoir largement battues en Coupe du Monde l’année précédente, en Arizona. J’ai toujours été attiré par la compétition de haut niveau. Elle est un moyen, par l’implication personnelle qu’elle impose, l’intensité des émotions qu’elle procure et la rectitude des jugements qu’elle rend, de dépasser son quotidien, de se dépasser. D’entrer dans une relation intime avec soi même 3. Et parfois, rarement, très rarement, d’approcher, d’effleurer ce moment de grâce immédiate, où le présent est immobile. Les grecs anciens, dans la poussière d’Olympie, le connaissaient déjà , il l’appelaient kairos » 4, le moment juste, opportun, l’instant d’éternité ; celui qui laisse des traces indélébiles dans la conscience individuelle et collective de l’Homme. Si un jour j’ai peut être regardé le kairos » dans les yeux, c’est au cours du mois d’août 2006, dans le regard de mes équipiers, de mes amis, au moment où la porte s’est ouverte et où le vent a chanté à nos oreilles. 35 secondes c’est bien court, j’aurais voulu arrêter le temps, rendre cet instant fugitif éternel. Mais, finalement, peut‑être que pour chacun des membres de l’équipe il l’est toujours un peu. POLO GRISONI 3 Qui à pu exprimer mieux ce sentiment que l’éternel poète des antiques jeux olympiques O mon âme ! N’aspires pas à la vie éternelle, mais explore le champ des possibles » Pindare – VI av 4 Euripide V av dira du kairos c’est le meilleur des guides dans toutes entreprises humaines ». Championnats de France 2005 Les photos sont de Jean Pierre Bolle lors des championnats de France 2005 à Lapalisse . Nous gagnons les championnats de France. Crédit photos Jean Pierre Bolle Coupe de France en 2005 La première compétition de l’équipe à Pujaut lors de la Coupe de France en 2005. Nous remportons cette épreuve. Championnats de France 2007 Lors des championnats de France 2007 à Brienne le Chateau. Nous gagnons les championnats de France de vol relatif à 4 et à 8. C’est le doublé. Les photos sont de JP Bolle. Crédit photos Jean Pierre Bolle Site Web
Sans surprise, les pilotes québécois ont dominé la séance de qualifications de la Série NASCAR Pinty’s en prévision du Grand Prix de Trois-Rivières qui sera disputé dimanche après-midi. Kevin Lacroix a célébré l’arrivée de son nouveau commanditaire, NAPA Pièces d’auto, pour réaliser la position de tête avec un chrono de 1 min, 06,947 s. Marc-Antoine Camirand 106,964 l’accompagnera sur la première ligne au départ. • À lire aussi La Coupe NASCAR à Montréal? Quatre autres représentants de la Belle Province ont suivi dans l’ordre, soit Louis-Philippe Dumoulin 107,109, Andrew Ranger 107,191, Alexandre Tagliani 107,261 et Jean-François Dumoulin 107,430. Pour rappel, les sept dernières éditions du GP3R ont été remportées par des Québécois. Villeneuve classé 11e Quant à Jacques Villeneuve 108,374, il a dû se contenter du 11e rang, tout juste derrière Alex Guénette 108,108. Le champion du monde de Formule 1 en 1997 a éprouvé des problèmes de freins lors de la séance d’essais libres en matinée, qui n’ont pas été réglés pour l’étape des qualifications. Les Ontariens Kennington 7e, Treyten Lapcevich 8e et Gary Klutt 9e se retrouvent également dans le top 10. Frayeur en matinée La journée avait pourtant mal commencé pour Lacroix alors que ses mécaniciens n’ont eu d’autre choix que de changer le moteur de son bolide. L’équipe a travaillé fort et je leur en suis reconnaissant, a dit celui qui vise une troisième victoire au GP3R. Je suis heureux de partir premier. Je préfère être devant le peloton pour ne pas avoir à pourchasser un autre pilote.» Lacroix a remporté la dernière épreuve de circuit routier de la série présentée à Toronto à la mi-juillet. Camirand satisfait Camirand, lui, s’est offert une dernière tentative pour ravir le premier rang à Lacroix, mais son quatrième tour en qualifications n’a pas été suffisamment rapide. Je suis très satisfait de ma deuxième place sur la grille de départ, a déclaré le pilote de Saint-Léonard-d’Aston. D’autant plus qu’en matinée, on a connu des problèmes de carburateur.» Camirand a accumulé beaucoup de victoires à Trois-Rivières, mais jamais en série NASCAR Pinty’s.
Fonctions et inéquationsExplications étape par étape1 D'après ton énoncé, tu as Cx = x^3 -60x²+1500x+2000Le logiciel te dit que x-20^3 = x^3 - 60x² + 1200x - 8000 tu n'es pas loin de Cx. En comparant, tu vois que pour arriver à Cx, il faudrait rajouter 300x et 10000. Donc Cx = x-20^3 + 300x + 10 000 donc a = 300 et b=10 0002 Tu sais que chaque canapé est vendu 1200€ donc x canapés rapportent 1200x €.Or le bénéfice, c'est l'argent que tu obtiens à la fin de la journée, une fois que tu as tout remboursé donc c'est-à -dire l'argent que tu as gagné grâce aux ventes moins l'argent que tu as perdu en fabriquant les objets tu sais que pour x canapés, ça te rapporte 1200x par la vente mais ça te coûte Cx. Donc Bx = 1200x - Cx = 1200x - x^3 -60x²+1500x + 2000 = -x^3 - 60x² -300x - 2000Ca ressemble pas vraiment à ceux qu'on te demande dans la consigne...Tu prends le résultat et développes-le10-xx²-50x-200 = 10x²-500x-2000 -x^3 +50x²+200x = -x^3 +60x²+300x-2000Exactement pareil qu'au-dessus donc Bx est bien égal à ce Pour le tableau de signes, il faut voir pour quelle valeur de x, on a un résultat positif et pour quelle valeur on a un résultat 10 x²-50x-2000 soit tu regardes le tableau de signes. Là où tu mets des + et tes -, calcules pour chaque borne le résultat que cela te donnerait. Dès que le résultat est supérieur à 0, cela veut dire que tu as assez de canapés pour faire des Si tu as d'autres questions, n'hésites pas ;
gary réaliser un classement des champions olympiques